Les députés initiateurs de ce projet de loi, au nombre de 121, semblent revigorés par le soutien franc et sans équivoque du secrétaire général de l'organisation des anciens moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, qui a dénoncé ceux qui invoquent les termes des Accords d'Evian pour justifier leur rejet de ce projet de loi. Les députés initiateurs de ce projet de loi, au nombre de 121, semblent revigorés par le soutien franc et sans équivoque du secrétaire général de l'organisation des anciens moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, qui a dénoncé ceux qui invoquent les termes des Accords d'Evian pour justifier leur rejet de ce projet de loi. Les députés, initiateurs du projet de loi criminalisant le colonialisme, n'entendent nullement baisser les bras puisqu'ils envisagent d'entreprendre plusieurs démarches et actions en vue de faire pression sur le bureau de l'Assemblée populaire nationale (APN ) et l'amener à soumettre ce texte à l'appréciation des élus du peuple. Le bureau de l'APN, qui a rendu public l'ordre du jour de la session d'automne, ouverte jeudi dernier, a fait cependant l'impasse sur ce projet de loi ce qui, de toute évidence, n'était nullement une surprise. En effet aucun député ne s'attendait à ce que le bureau de l'APN, qui a annoncé l'examen d'une quinzaine de projets de loi au cours de cette session, programme ce projet de loi. Abdelaziz Ziari et les membres du bureau de l'APN sont on ne peut plus embarrassés par le projet de loi criminalisant le colonialisme, notamment depuis que le gouvernement, qui a été destinataire de ce texte, a renvoyé le projet à la chambre basse sans émettre le moindre avis. « Bien sûr que nous n'allons pas nous taire » souligne d'emblée Moussa Abdi, le principal initiateur de ce projet de loi ajoutant « qu'avec les députés signataires du projet nous comptons entamer une série de rencontres pour examiner cette question et trouver les solutions à même de faciliter la présentation du projet devant la plénière de l'APN ». Ce député, affilié au FLN, et qui a été élu dans la circonscription de la wilaya de Boumerdès, a indiqué que ces rencontres auront lieu au lendemain de l'Aïd El-Fitr. Notre interlocuteur, joint hier par téléphone, a annoncé que « ces rencontres seront ensuite élargies aux partis politiques et aux associations de la société civile car la criminalisation du colonialisme est devenue désormais une revendication populaire ». Pour Moussa Abdi « la responsabilité de cette situation incombe exclusivement au bureau de l'APN que nous comptons interpeller car nous avons le droit de demander des explications sur cette attutide de refus de programmer le projet de loi ». Cependant, le député de Boumerdès reste très confiant quant à l'aboutissement de ce projet de loi. « Le projet de loi sera tôt ou tard adopté par les députés, c'est juste une question de temps » a-t-il affirmé. Il est allé jusqu'à prédire que « si ce projet ne sera pas adopté lors de la présente session il le sera certainement lors de la prochaine session de printemps » qui s'ouvrira au début du mois de mars 2011. Les députés initiateurs de ce projet de loi, au nombre de 121, semblent revigorés par le soutien franc et sans équivoque du secrétaire général de l'organisation des anciens moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, qui a dénoncé ceux qui invoquent les termes des Accords d'Evian pour justifier leur rejet de ce projet de loi. « Les larmes de crocodile versés sur les Accords d'Evian et les arguments avancés pour bloquer ce projet ne tiennent pas debout » avait-il indiqué dans un entretien accordé à un quotidien national. D'autres organisations et associations de la famille révolutionnaire, la fondation du 8-Mai-1945 ainsi que des partis politiques et des personnalités nationales ont laissé clairement entendre qu'«ils allaient mener une intense campagne pour faire pression sur le bureau de l'APN jusqu'à ce qu'il lâche prise et réponde ainsi favorablement à cette revendication de criminaliser le colonialisme qui n'est qu'une réponse à la loi française du 23 février 2005 glorifiant le colonialisme». Les députés, initiateurs du projet de loi criminalisant le colonialisme, n'entendent nullement baisser les bras puisqu'ils envisagent d'entreprendre plusieurs démarches et actions en vue de faire pression sur le bureau de l'Assemblée populaire nationale (APN ) et l'amener à soumettre ce texte à l'appréciation des élus du peuple. Le bureau de l'APN, qui a rendu public l'ordre du jour de la session d'automne, ouverte jeudi dernier, a fait cependant l'impasse sur ce projet de loi ce qui, de toute évidence, n'était nullement une surprise. En effet aucun député ne s'attendait à ce que le bureau de l'APN, qui a annoncé l'examen d'une quinzaine de projets de loi au cours de cette session, programme ce projet de loi. Abdelaziz Ziari et les membres du bureau de l'APN sont on ne peut plus embarrassés par le projet de loi criminalisant le colonialisme, notamment depuis que le gouvernement, qui a été destinataire de ce texte, a renvoyé le projet à la chambre basse sans émettre le moindre avis. « Bien sûr que nous n'allons pas nous taire » souligne d'emblée Moussa Abdi, le principal initiateur de ce projet de loi ajoutant « qu'avec les députés signataires du projet nous comptons entamer une série de rencontres pour examiner cette question et trouver les solutions à même de faciliter la présentation du projet devant la plénière de l'APN ». Ce député, affilié au FLN, et qui a été élu dans la circonscription de la wilaya de Boumerdès, a indiqué que ces rencontres auront lieu au lendemain de l'Aïd El-Fitr. Notre interlocuteur, joint hier par téléphone, a annoncé que « ces rencontres seront ensuite élargies aux partis politiques et aux associations de la société civile car la criminalisation du colonialisme est devenue désormais une revendication populaire ». Pour Moussa Abdi « la responsabilité de cette situation incombe exclusivement au bureau de l'APN que nous comptons interpeller car nous avons le droit de demander des explications sur cette attutide de refus de programmer le projet de loi ». Cependant, le député de Boumerdès reste très confiant quant à l'aboutissement de ce projet de loi. « Le projet de loi sera tôt ou tard adopté par les députés, c'est juste une question de temps » a-t-il affirmé. Il est allé jusqu'à prédire que « si ce projet ne sera pas adopté lors de la présente session il le sera certainement lors de la prochaine session de printemps » qui s'ouvrira au début du mois de mars 2011. Les députés initiateurs de ce projet de loi, au nombre de 121, semblent revigorés par le soutien franc et sans équivoque du secrétaire général de l'organisation des anciens moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, qui a dénoncé ceux qui invoquent les termes des Accords d'Evian pour justifier leur rejet de ce projet de loi. « Les larmes de crocodile versés sur les Accords d'Evian et les arguments avancés pour bloquer ce projet ne tiennent pas debout » avait-il indiqué dans un entretien accordé à un quotidien national. D'autres organisations et associations de la famille révolutionnaire, la fondation du 8-Mai-1945 ainsi que des partis politiques et des personnalités nationales ont laissé clairement entendre qu'«ils allaient mener une intense campagne pour faire pression sur le bureau de l'APN jusqu'à ce qu'il lâche prise et réponde ainsi favorablement à cette revendication de criminaliser le colonialisme qui n'est qu'une réponse à la loi française du 23 février 2005 glorifiant le colonialisme».