Les vendeurs de légumes sont en nombre tellement réduit qu'ils ont augmenté les prix de leurs produits en mettant les bourses du citoyen à rude épreuve. Les vendeurs de légumes sont en nombre tellement réduit qu'ils ont augmenté les prix de leurs produits en mettant les bourses du citoyen à rude épreuve. Une virée aux marchés ces jours-ci a permis de constater l'absence flagrante des vendeurs de légumes qui sont pour la plupart fermés ou encore mal achalandés lorsqu'ils sont ouverts. C'est sans doute la raison de des augmentations surprenantes des prix des légumes. Une demande plus importante que l'offre ! Les vendeurs de légumes sont en nombre réduit qu'ils ont augmenté les prix en mettant les bourses du citoyen à rude épreuve. La laitue est cédée à 120 DA et les navets et plus encore pour les carottes, 130 DA pour les haricots et les lentilles, 350 DA pour le poulet, jusqu'à 1100 DA la viande ovine et 950 DA pour un kilo de viande bovine, 100 DA le raisin et les poires et 105 DA les bananes…Viandes, fruits et légumes hors prix pour la majorité de la société algérienne. Sauf la pomme de terre (50 DA) et l'oignon (30DA) qui sont à leur porté. Les citoyens se plaignent de ces hausses arbitraires des prix pour une raison ou pour une autre. « À peine on a cru qu'avec la fin de Ramadhan les prix des légumes allaient chuter que nous avons été surpris d'une augmentation remarquable», a déclaré un père de famille rencontré dans un marché de la capitale. Un autre vieux a ajouté à son tour : « Même durant le mois sacré de Ramadhan, où on avait l'habitude de subir les augmentations des prix, on a pas rencontré des prix pareils ». Effectivement la plupart des légumes sont inaccessibles pour des famillesà faibles revenus. Un problème qui les met face à une dure réalité Une quinquagénaire renchérit : « À chaque occasion c'est la même chose. C'est le même scénario qui se répète. Ils savent qu'on est obligé d'acheter alors ils profitent en augmentant les prix ». Non seulement le citoyen n'a pas le choix pour les prix mais aussi il n'a pas le loisir de choisir. Faute de choix bien sûr. A Clauzel par exemple, au troisième jour de l'Aïd, seuls trois vendeurs de légumes et deux de fruits seulement. Ce marché communal est vidé de ses commerçants. Seuls les épiciers et les bouchers étaient presque tous à leurs boutiques. Ce jour là, un de ces vendeurs nous a avoué : « la majorité ne sont pas venus travailler parce qu'ils ont cru que le marché de gros ne se tiendrait pas aujourd'hui. Alors on est pas nombreux à avoir travaillé». Et d'ajouter : «comme vous voyez tout le monde à trouvé la bonne aubaine pour augmenter les prix ». Le citoyen est totalement déboussolé. A ce rythme, son portefeuille ne suffira plus même pour les courses de première nécessité. Notons qu'à cette hausse des prix s'ajoutent les pénuries enregistrées au premier jour de l'Aïd. il n'y avait pas de boulangeries ouvertes et par conséquent pas de pain. Même le lait en sachet, acheté faisait défaut il n'a pratiquement pas été distribué au niveau des magasins. Une virée aux marchés ces jours-ci a permis de constater l'absence flagrante des vendeurs de légumes qui sont pour la plupart fermés ou encore mal achalandés lorsqu'ils sont ouverts. C'est sans doute la raison de des augmentations surprenantes des prix des légumes. Une demande plus importante que l'offre ! Les vendeurs de légumes sont en nombre réduit qu'ils ont augmenté les prix en mettant les bourses du citoyen à rude épreuve. La laitue est cédée à 120 DA et les navets et plus encore pour les carottes, 130 DA pour les haricots et les lentilles, 350 DA pour le poulet, jusqu'à 1100 DA la viande ovine et 950 DA pour un kilo de viande bovine, 100 DA le raisin et les poires et 105 DA les bananes…Viandes, fruits et légumes hors prix pour la majorité de la société algérienne. Sauf la pomme de terre (50 DA) et l'oignon (30DA) qui sont à leur porté. Les citoyens se plaignent de ces hausses arbitraires des prix pour une raison ou pour une autre. « À peine on a cru qu'avec la fin de Ramadhan les prix des légumes allaient chuter que nous avons été surpris d'une augmentation remarquable», a déclaré un père de famille rencontré dans un marché de la capitale. Un autre vieux a ajouté à son tour : « Même durant le mois sacré de Ramadhan, où on avait l'habitude de subir les augmentations des prix, on a pas rencontré des prix pareils ». Effectivement la plupart des légumes sont inaccessibles pour des famillesà faibles revenus. Un problème qui les met face à une dure réalité Une quinquagénaire renchérit : « À chaque occasion c'est la même chose. C'est le même scénario qui se répète. Ils savent qu'on est obligé d'acheter alors ils profitent en augmentant les prix ». Non seulement le citoyen n'a pas le choix pour les prix mais aussi il n'a pas le loisir de choisir. Faute de choix bien sûr. A Clauzel par exemple, au troisième jour de l'Aïd, seuls trois vendeurs de légumes et deux de fruits seulement. Ce marché communal est vidé de ses commerçants. Seuls les épiciers et les bouchers étaient presque tous à leurs boutiques. Ce jour là, un de ces vendeurs nous a avoué : « la majorité ne sont pas venus travailler parce qu'ils ont cru que le marché de gros ne se tiendrait pas aujourd'hui. Alors on est pas nombreux à avoir travaillé». Et d'ajouter : «comme vous voyez tout le monde à trouvé la bonne aubaine pour augmenter les prix ». Le citoyen est totalement déboussolé. A ce rythme, son portefeuille ne suffira plus même pour les courses de première nécessité. Notons qu'à cette hausse des prix s'ajoutent les pénuries enregistrées au premier jour de l'Aïd. il n'y avait pas de boulangeries ouvertes et par conséquent pas de pain. Même le lait en sachet, acheté faisait défaut il n'a pratiquement pas été distribué au niveau des magasins.