Réuni mardi dernier autour d'une table de concertation avec les responsables de l'éducation nationale, le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement technique et secondaire (Cnapest) a déploré hier que la réunion n'ait pas abouti à des résultats concluants. Réuni mardi dernier autour d'une table de concertation avec les responsables de l'éducation nationale, le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement technique et secondaire (Cnapest) a déploré hier que la réunion n'ait pas abouti à des résultats concluants. Selon Messaoud Boudiba, chargé de communication dudit syndicat, que nous avons joint hier par téléphone, le discours de la tutelle est loin d'être prometteur pour les corps enseignants. Et pour cause, la plateforme de revendications ne peut être prise en charge, et ce, mis à part le volet du régime indemnitaire qui a été satisfait en février dernier. « On n'a pas atteint notre but, celui de satisfaire l'ensemble des revendications », a-t-il dit, tout en réaffirmant son attachement aux dossiers acclamés. Cela concerne le dossier des œuvres sociales qui, selon le département de Benbouzid, ne relève pas de son ministère. La même réponse a été adressée pour ce qui est de la question de la médecine du travail. « Nous sommes sortis de cette réunion avec des réponses négatives et autres refus catégoriques pour la prise en charge de nos problèmes socioprofessionnels », a-t-il regretté. Le Cnapest compte ainsi interpeller le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui visiblement « détient d'éventuelles solutions à cette crise sans fin ». Le seul point positif de cette rencontre avec le secrétaire général du ministère est relatif à la délivrance d'une nouvelle instruction ministérielle incitant les directions de wilaya d'ouvrir le dialogue avec les bureaux régionaux des syndicats, a ajouté M.Boudiba. Ce dernier a indiqué que le Conseil national du Cnapest aura lieu le 8 octobre prochain, lors duquel la base syndicale décidera sur les actions à entreprendre pour faire valoir ses droits. Dans le même sillage, hier c'était le tour du Syndicat national autonome des enseignants de l'enseignement secondaire et technique (Snapest),de s'asseoir autour de la table. Selon un communiqué du Snapest, ladite rencontre s'inscrit dans le cadre des concertations et des négociations entamées depuis le début de l'année scolaire entre les partenaires sociaux et le ministre. Une occasion pour remettre sur table, à leur tour, les revendications des enseignants. Le droit à l'accession au logement de fonction social pour les enseignants figure également parmi les revendications des travailleurs, vu que celui-ci n'est autre qu' « un moyen pédagogique d'accompagnement ». Le même syndicat a abordé le volet pédagogique, appelant le ministère à revoir le volume des programmes enseignés et celui des horaires. La problématique du sureffectif des classes a été au menu des discussions. Ajoutant à tout cela la situation « déplorables » des enseignants du Sud du pays. Le Snapest a tenu à saluer cette ouverture au dialogue et cette démarche qui évitera toute éventuelle crise enclenchant à nouveau des mouvements de grève. Toujours dans le même contexte, le département de Benbouzid recevra, la semaine prochaine, l'Union nationale des associations de parents d'élèves (Unape). Le porte-parole de l'Unape, Khaled Ahmed, nous avait précisé que les discussions porteront sur la surcharge des programmes pédagogiques, le transport et la cantine scolaire sont à l'ordre du jour. Sans oublier la situation inquiétante des élèves exclus des écoles, notamment ceux du secondaire. Selon Messaoud Boudiba, chargé de communication dudit syndicat, que nous avons joint hier par téléphone, le discours de la tutelle est loin d'être prometteur pour les corps enseignants. Et pour cause, la plateforme de revendications ne peut être prise en charge, et ce, mis à part le volet du régime indemnitaire qui a été satisfait en février dernier. « On n'a pas atteint notre but, celui de satisfaire l'ensemble des revendications », a-t-il dit, tout en réaffirmant son attachement aux dossiers acclamés. Cela concerne le dossier des œuvres sociales qui, selon le département de Benbouzid, ne relève pas de son ministère. La même réponse a été adressée pour ce qui est de la question de la médecine du travail. « Nous sommes sortis de cette réunion avec des réponses négatives et autres refus catégoriques pour la prise en charge de nos problèmes socioprofessionnels », a-t-il regretté. Le Cnapest compte ainsi interpeller le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui visiblement « détient d'éventuelles solutions à cette crise sans fin ». Le seul point positif de cette rencontre avec le secrétaire général du ministère est relatif à la délivrance d'une nouvelle instruction ministérielle incitant les directions de wilaya d'ouvrir le dialogue avec les bureaux régionaux des syndicats, a ajouté M.Boudiba. Ce dernier a indiqué que le Conseil national du Cnapest aura lieu le 8 octobre prochain, lors duquel la base syndicale décidera sur les actions à entreprendre pour faire valoir ses droits. Dans le même sillage, hier c'était le tour du Syndicat national autonome des enseignants de l'enseignement secondaire et technique (Snapest),de s'asseoir autour de la table. Selon un communiqué du Snapest, ladite rencontre s'inscrit dans le cadre des concertations et des négociations entamées depuis le début de l'année scolaire entre les partenaires sociaux et le ministre. Une occasion pour remettre sur table, à leur tour, les revendications des enseignants. Le droit à l'accession au logement de fonction social pour les enseignants figure également parmi les revendications des travailleurs, vu que celui-ci n'est autre qu' « un moyen pédagogique d'accompagnement ». Le même syndicat a abordé le volet pédagogique, appelant le ministère à revoir le volume des programmes enseignés et celui des horaires. La problématique du sureffectif des classes a été au menu des discussions. Ajoutant à tout cela la situation « déplorables » des enseignants du Sud du pays. Le Snapest a tenu à saluer cette ouverture au dialogue et cette démarche qui évitera toute éventuelle crise enclenchant à nouveau des mouvements de grève. Toujours dans le même contexte, le département de Benbouzid recevra, la semaine prochaine, l'Union nationale des associations de parents d'élèves (Unape). Le porte-parole de l'Unape, Khaled Ahmed, nous avait précisé que les discussions porteront sur la surcharge des programmes pédagogiques, le transport et la cantine scolaire sont à l'ordre du jour. Sans oublier la situation inquiétante des élèves exclus des écoles, notamment ceux du secondaire.