Il ne faut pas être forcément un habitant de la commune de Ouaguenoun pour savoir à quel point cette région accuse un retard énorme en matière de développement. Tikobaine, le chef lieu de la commune qui est aussi celui de la daïra est dans un état lamentable. C‘est la même situation qui prévaut au niveau des différentes rues et venelles conduisant vers les différents villages de la commune. Ainsi, la route qui relie le siège de l‘APC au secteur sanitaire et aux différentes cités d‘habitation située dans les alentours de cette infrastructure est dans un état d‘impraticabilité total. Il est incontestable qu‘il s‘agit là d‘un des chefs-lieux de daïra les plus abandonnés de la wilaya. Pour traverser la rue reliant l‘école primaire du lieu dit Tala Baâraven au siège de l‘APC, les automobilistes souffrent le martyr quotidiennement. Les routes sont entièrement défoncées et les nids de poule sont interminables, constatons-nous. En plus de tous ces désagréments, il ne faut pas oublier de citer les ralentisseurs réalisés tous les 500 mètres et de manière anarchique ne répondant à aucune norme. Ceux qui endurent le plus cette situation, ce sont les transporteurs publics de la commune de Ouaguenoun ainsi que ceux de la commune de Boudjima située à cinq kilomètres de la première. C‘est un véritable calvaire qu‘endurent donc chaque jour que Dieu fait les transporteurs. La situation n‘est pas près de connaître des améliorations puisqu‘aucun indice n‘est perceptible quant à un éventuel lancement des chantiers à même de réhabiliter Tikobaine qui n‘a de ville que le nom. Le même constat négatif est à établir concernant la situation des travaux de réalisation des trottoirs au niveau du chef lieu. Au lancement des travaux, toute la population s‘était réjouie que leur région allait enfin ressembler à une vraie ville. Mais quelques jours plus tard, tout s‘est transformé en une illusion puisque l‘ensemble de la cité est devenu un chantier en état d‘abandon. Aujourd‘hui, le chef lieu de Ouaguenoun offre une image des plus hideuses. D‘ailleurs, il y a une semaine, les caméras du journal télévisé de la télévision nationale ont diffusé des images de cette ville, des images qui n‘ont besoin d‘aucun commentaire tant elles parlent d‘elles-mêmes. Le maire de la commune, M.Ali Belkhir a affirmé que les responsabilités devraient être situées avec exactitude et que la responsabilité de l‘état dans lequel se trouve sa localité incomberait, selon ses affirmations, entièrement à la DUC (direction de l‘urbanisme et de la construction). De son côté, le chef de daïra a affirmé qu‘il n‘a reçu aucune plainte de la part des citoyens ou des comités des villages quant à cette situation que l‘on pourrait qualifier à juste titre d‘alarmante.A quand Tikobaine restera-t-elle une région abandonnée ? L‘avenir, proche ou lointain, nous le dira peut-être, en l‘absence de réponse de la part des responsables à tous les niveaux. Il ne faut pas être forcément un habitant de la commune de Ouaguenoun pour savoir à quel point cette région accuse un retard énorme en matière de développement. Tikobaine, le chef lieu de la commune qui est aussi celui de la daïra est dans un état lamentable. C‘est la même situation qui prévaut au niveau des différentes rues et venelles conduisant vers les différents villages de la commune. Ainsi, la route qui relie le siège de l‘APC au secteur sanitaire et aux différentes cités d‘habitation située dans les alentours de cette infrastructure est dans un état d‘impraticabilité total. Il est incontestable qu‘il s‘agit là d‘un des chefs-lieux de daïra les plus abandonnés de la wilaya. Pour traverser la rue reliant l‘école primaire du lieu dit Tala Baâraven au siège de l‘APC, les automobilistes souffrent le martyr quotidiennement. Les routes sont entièrement défoncées et les nids de poule sont interminables, constatons-nous. En plus de tous ces désagréments, il ne faut pas oublier de citer les ralentisseurs réalisés tous les 500 mètres et de manière anarchique ne répondant à aucune norme. Ceux qui endurent le plus cette situation, ce sont les transporteurs publics de la commune de Ouaguenoun ainsi que ceux de la commune de Boudjima située à cinq kilomètres de la première. C‘est un véritable calvaire qu‘endurent donc chaque jour que Dieu fait les transporteurs. La situation n‘est pas près de connaître des améliorations puisqu‘aucun indice n‘est perceptible quant à un éventuel lancement des chantiers à même de réhabiliter Tikobaine qui n‘a de ville que le nom. Le même constat négatif est à établir concernant la situation des travaux de réalisation des trottoirs au niveau du chef lieu. Au lancement des travaux, toute la population s‘était réjouie que leur région allait enfin ressembler à une vraie ville. Mais quelques jours plus tard, tout s‘est transformé en une illusion puisque l‘ensemble de la cité est devenu un chantier en état d‘abandon. Aujourd‘hui, le chef lieu de Ouaguenoun offre une image des plus hideuses. D‘ailleurs, il y a une semaine, les caméras du journal télévisé de la télévision nationale ont diffusé des images de cette ville, des images qui n‘ont besoin d‘aucun commentaire tant elles parlent d‘elles-mêmes. Le maire de la commune, M.Ali Belkhir a affirmé que les responsabilités devraient être situées avec exactitude et que la responsabilité de l‘état dans lequel se trouve sa localité incomberait, selon ses affirmations, entièrement à la DUC (direction de l‘urbanisme et de la construction). De son côté, le chef de daïra a affirmé qu‘il n‘a reçu aucune plainte de la part des citoyens ou des comités des villages quant à cette situation que l‘on pourrait qualifier à juste titre d‘alarmante.A quand Tikobaine restera-t-elle une région abandonnée ? L‘avenir, proche ou lointain, nous le dira peut-être, en l‘absence de réponse de la part des responsables à tous les niveaux.
