En proie à des troubles récurrents liés à un féroce bras de fer entre le staff syndical de l'entreprise et le bureau du comité de participation, le complexe sidérurgique d'El Hadjar s'enlise dans l'instabilité et l'anarchie. Le mouvement de grève initié timidement avant-hier au niveau des ateliers du laminage à chaud (Lac), fait tache d'huile et prend de l'ampleur. Selon Smaïn Kouadria, l'actuel secrétaire général du syndicat de l'entreprise, contesté par certain de ses pairs au sein du comité de participation, décidés à l'écarter de son poste par le biais de nouvelles élections, la mobilisation des travailleurs a pris, ces dernières 48h, de l'ampleur. La grogne a gagné les autres unités de production comme le laminoir à froid (la F), la galvanisation, l'unité de maintenance industrielle et l'aciérie à oxygène sont en débrayage pour les mêmes motifs invoqués par les travailleurs du lac, à savoir l'ouverture sans condition et en urgence du siège du syndicat mis sous scellés. Après les échauffourés ayant opposé violemment les partisans de Kouadria et ses adversaires, ainsi que la reprise des négociation sur les salaires. En proie à des troubles récurrents liés à un féroce bras de fer entre le staff syndical de l'entreprise et le bureau du comité de participation, le complexe sidérurgique d'El Hadjar s'enlise dans l'instabilité et l'anarchie. Le mouvement de grève initié timidement avant-hier au niveau des ateliers du laminage à chaud (Lac), fait tache d'huile et prend de l'ampleur. Selon Smaïn Kouadria, l'actuel secrétaire général du syndicat de l'entreprise, contesté par certain de ses pairs au sein du comité de participation, décidés à l'écarter de son poste par le biais de nouvelles élections, la mobilisation des travailleurs a pris, ces dernières 48h, de l'ampleur. La grogne a gagné les autres unités de production comme le laminoir à froid (la F), la galvanisation, l'unité de maintenance industrielle et l'aciérie à oxygène sont en débrayage pour les mêmes motifs invoqués par les travailleurs du lac, à savoir l'ouverture sans condition et en urgence du siège du syndicat mis sous scellés. Après les échauffourés ayant opposé violemment les partisans de Kouadria et ses adversaires, ainsi que la reprise des négociation sur les salaires.