L'affaire des non jeuneurs de la localité de Ain El Hammam a connu un dénouement heureux, hier. En effet, après un procès qui avait fait couler beaucoup d'encre et de salive, le verdict est enfin tombé. Les deux accusés dans cette affaire absurde ont été acquittés. Une mobilisation, ayant vu s'impliquer des organisations et des citoyens à titre individuel, a accopmpagné les deux mis en cause tout au long de la procédure judiciaire. Les deux citoyens dont il est question sont des habitants de la commune de Ain El Hammam, cinquante kilomètres au sud du chef lieu de la wilaya de Tizi Ouzou. Ils sont de confession chrétienne et ils ont été interpellés par deux agents de police au moment où ils buvaient de l'eau pendant la journée du le 3 août dernier, au mois de Ramadan. Lors du procès, l'unanimité avait été requise concernant l'absence d'un texte de loi interdisant de manger ou de boire pendant le mois de Ramadan et la journée. Bien au contraire, la constitution algérienne reconnait sans aucun ambages la liberté de culte. Le verdict dans cette affaire rendue hier n'est donc que justice rendue à deux citoyens persécutés pendant des semaines pour des raisons qui restent encore mystérieuses. Une autre affaire presque similaire est enrolée au tribunal de Larbaa Narth Irathen, dans la même wilaya, pour le 10 octobre prochain. Il s'agit d'un dossier où le chef d'accusation se résume à l'ouverture illégale d'un lieu de culte chrétien. L'affaire avait été renvoyée suite à une demande des avocats de la défense. Affaire donc à suivre. L'affaire des non jeuneurs de la localité de Ain El Hammam a connu un dénouement heureux, hier. En effet, après un procès qui avait fait couler beaucoup d'encre et de salive, le verdict est enfin tombé. Les deux accusés dans cette affaire absurde ont été acquittés. Une mobilisation, ayant vu s'impliquer des organisations et des citoyens à titre individuel, a accopmpagné les deux mis en cause tout au long de la procédure judiciaire. Les deux citoyens dont il est question sont des habitants de la commune de Ain El Hammam, cinquante kilomètres au sud du chef lieu de la wilaya de Tizi Ouzou. Ils sont de confession chrétienne et ils ont été interpellés par deux agents de police au moment où ils buvaient de l'eau pendant la journée du le 3 août dernier, au mois de Ramadan. Lors du procès, l'unanimité avait été requise concernant l'absence d'un texte de loi interdisant de manger ou de boire pendant le mois de Ramadan et la journée. Bien au contraire, la constitution algérienne reconnait sans aucun ambages la liberté de culte. Le verdict dans cette affaire rendue hier n'est donc que justice rendue à deux citoyens persécutés pendant des semaines pour des raisons qui restent encore mystérieuses. Une autre affaire presque similaire est enrolée au tribunal de Larbaa Narth Irathen, dans la même wilaya, pour le 10 octobre prochain. Il s'agit d'un dossier où le chef d'accusation se résume à l'ouverture illégale d'un lieu de culte chrétien. L'affaire avait été renvoyée suite à une demande des avocats de la défense. Affaire donc à suivre.