Le CET en tant que site aménagé a été livré mais un lot de structures indispensables à la mise en activité de l'ouvrage ne serait pas encore finalisé. Il s'agit de la loge de garde avec le pont-bascule, l'atelier d'entretien des engins et, enfin, la clôture en béton du site, dont le taux de réalisation actuel a atteint les 30%. Le CET en tant que site aménagé a été livré mais un lot de structures indispensables à la mise en activité de l'ouvrage ne serait pas encore finalisé. Il s'agit de la loge de garde avec le pont-bascule, l'atelier d'entretien des engins et, enfin, la clôture en béton du site, dont le taux de réalisation actuel a atteint les 30%. Un second centre d‘enfouissement technique sera opérationnel dans un avenir proche à Constantine. Il s‘agit du CET de Doghra, dans la commune de Zighoud-Youcef, à une trentaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya. Selon les services de l‘environnement, le centre en question sera destiné à la réception quotidienne des déchets ménagers de quatre communes, en l‘occurrence Hamma- Bouziane, Béni-H‘midène, Zighoud-Youcef et Didouche-Mourad. D‘une capacité de 150 tonnes/jour, sa réalisation aura coûté 25 milliards de centimes. Le CET en tant que site aménagé a été livré mais un lot de structures indispensables à la mise en activité de l‘ouvrage ne serait pas encore finalisé. Il s‘agit de la loge de garde avec le pont-bascule, l‘atelier d‘entretien des engins et, enfin, la clôture en béton du site, dont le taux de réalisation actuel a atteint les 30%. En raison de ces travaux, la réception officielle du second centre d‘enfouissement de la wilaya sera renvoyée, selon les responsables, à la fin du premier trimestre 2011. Auparavant, il faudra procéder à l‘acquisition d‘équipements et matériels adéquats pour assurer un fonctionnement optimal dont un bulldozer, un collecteur, des chargeuses, des camions de gros tonnage et un pont-bascule. Ce CET vient renforcer le premier, celui de Boughrab, déjà opérationnel depuis mars 2010. Il est situé sur le territoire de la commune de Benbadis (ex-El-Aria) et dispose d‘une capacité de traitement de 500 tonnes/jour. La plus grande décharge publique de la wilaya, à savoir celle située sur la route d‘Ain Smara vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli, a été transférée vers ce site. C‘était un soulagement pour toute une agglomération qui n‘en pouvait plus des odeurs, des émanations de poussières qui mettaient sa santé en danger à chaque fois que des milliers de tonnes de déchets sont incinérées. Au niveau de l‘un comme de l‘autre, un pont-bascule est installé à l‘entrée de la loge de garde. Il fait office de balance pour déterminer le volume, plus précisément le poids, des chargements déposés par les camions des collectivités ou des entreprises. Car les opérations de traitement et d‘enfouissement des ordures sont, on ne peut plus, payantes. Ainsi, la tonne de déchets sera facturée à 350 dinars, comme c‘est le cas dans le CET de Benbadis. Avec ces deux CET, Constantine investit progressivement dans des techniques de gestion des déchets qui préservent et la santé du citoyen et l‘environnement. Mais pour l‘heure, le pari est loin d‘être gagné. Les décharges sauvages prolifèrent de jour en jour et des espaces verts se transforment en dépotoirs. Sur le tronçon de la RN5 reliant Constantine à Aïn Smara, plusieurs «petites décharges» prennent naissance. Déchets lourds, gravats, chutes de tissus, emballages, entre autres y sont régulièrement déposés en dépit de l‘existence de panneaux signalétiques interdisant formellement le dépôt de tout déchet, de quelque nature que ce soit. Pont Sidi-Rached Projet de sauvegarde en perspective Constantine qui regorge de patrimoine architectural se trouve aussi dans l'obligation de le préserver et de l'entretenir. C'est le cas du pont Sidi-Rached qui représente à lui seul plus d'une centaine d'années de l'histoire de la ville du Vieux rocher. Dans cette optique, un projet de 70 milliards de centimes destiné à son entretien et sauvegarde est prévu, selon la direction des travaux publics. Ouvert à la circulation en 1912, il comprend 27 arches dont la plus large est de 70 mètres de diamètre. Avec une longueur de 447 mètres et une largeur de 10,5 mètres, le pont qui porte le nom du Saint de la ville est décrit par comme un « grand repère fascinant » d'un point de vue architectural et urbanistique. Considéré parmi les plus hauts ponts de pierre dans le monde, Il occupe une bonne place sur la carte touristique de la ville. Malheureusement, ce monument historique est sujet aux affres des glissements de terrain, phénomène très répandu sur ce site. La circulation automobile, très dense à ce niveau, qui caractérise cette « unique passerelle » entre les hauteurs de Constantine et le centre-ville, a assené beaucoup de coups à la stabilité du monument. Il a été de tout temps sous surveillance permanente tant la fragilité de la structure, accentuée par l'érosion due aux eaux souterraines, était devenue fort inquiétante. Les usagers de ce pont peuvent constater de visu l'avancement des fissurations et des lezardes.Une ancienne étude menée par la société Simecsol a été finalement abandonnée en raison de son infaisabilité sur ce genre d'ouvrages. Les autorités n'ont pas pour autant baissé les bras. D'ailleurs, ils n'en ont pas le droit. Actuellement, une autre expertise de maintenance est sollicitée. L'entreprise algérienne Sapta serait en position de présenter le dossier le plus approprié. Viaduc Transrhumel L'expropriation évaluée à des milliards Une enveloppe de 33 milliards de centimes sera réservée à l'opération d'indemnisation des personnes morales ou physiques devant subir une expropriation dans le cadre du projet du viaduc TransRhumel, selon la directeur des travaux publics (DTP) lors de son intervention au forum de la radio. Le projet du viaduc TransRhumel qui reliera les hauteurs du plateau d'El-Mansoura à la place de l'ONU nécessite, pour sa réalisation, la destruction de plusieurs biens immobiliers appartenant à des particuliers ou à la collectivité. Pour baliser l'itinéraire du premier pont post-independance à Constantine, il faudra recourir au rasage d'un grand pan du patrimoine bâti dont le siège du cadastre, des manufactures, des habitations et même une partie du parking de l'Entreprise de télevision. C'est du moins ce que l'ex-wali de Constantine, Abdelmalek Boudiaf, a affirmé à plusieurs reprises. Aujourd'hui, il semblerait que la donne n'ait pas totalement changé mais que l'évaluation ait été revue. Recadrée, l'opération de destruction, selon toujours le DTP, ne touchera finalement qu'un lot de quatre maisons implantées sur le site jouxtant le siège du CPA (ex-transatlantique), cinq stations-services, dont deux situées au niveau du chalet des pins ainsi qu'un terrain appartenant à la 5e Région militaire, d'une superficie estimée à 1,5 hectare. Parking à étages Location aux enchères publiques L'inauguration officielle du parking à étages, reportée à plusieurs reprises, n'est toujours pas arrêtée. A contrario, sa mise en location aux enchères publiques devrait en principe se faire à la mi-novembre, selon certains élus. Le chantier qui a accusé des années de retard, puisque entamé au début des années 2000, est à son stade final. Les cloisons autour du site ont été enlevées en grande partie et les crédits pour l'installation de l'éclairage public et la réfection des trottoirs de la rue Zaâmouche contenant l'édifice sont disponibles. La mise en adjudication du parking se déroulera à la salle des délibérations au niveau du siège de la mairie du Vieux rocher. Le prix plancher fixé pour une location annuelle est de 750 millions de centimes. Lors d'une assemblée plénière précédente, cette mise à été proposée à hauteur d'un milliard et demi mais très vite elle fut revue à la baisse de peur de n'avoir aucun soumissionnaire. Quoi qu'il en soit, selon les exigences inhérentes à la location, il est fait obligation à toute personne physique ou morale désirant participer à ces enchères d'avancer, en terme de garantie et caution, la somme de 50 millions de centimes. Le bail de location sera d'une durée de trois ans et couvrira autant les étages du parking que les 17 locaux commerciaux y attenants. Un second centre d‘enfouissement technique sera opérationnel dans un avenir proche à Constantine. Il s‘agit du CET de Doghra, dans la commune de Zighoud-Youcef, à une trentaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya. Selon les services de l‘environnement, le centre en question sera destiné à la réception quotidienne des déchets ménagers de quatre communes, en l‘occurrence Hamma- Bouziane, Béni-H‘midène, Zighoud-Youcef et Didouche-Mourad. D‘une capacité de 150 tonnes/jour, sa réalisation aura coûté 25 milliards de centimes. Le CET en tant que site aménagé a été livré mais un lot de structures indispensables à la mise en activité de l‘ouvrage ne serait pas encore finalisé. Il s‘agit de la loge de garde avec le pont-bascule, l‘atelier d‘entretien des engins et, enfin, la clôture en béton du site, dont le taux de réalisation actuel a atteint les 30%. En raison de ces travaux, la réception officielle du second centre d‘enfouissement de la wilaya sera renvoyée, selon les responsables, à la fin du premier trimestre 2011. Auparavant, il faudra procéder à l‘acquisition d‘équipements et matériels adéquats pour assurer un fonctionnement optimal dont un bulldozer, un collecteur, des chargeuses, des camions de gros tonnage et un pont-bascule. Ce CET vient renforcer le premier, celui de Boughrab, déjà opérationnel depuis mars 2010. Il est situé sur le territoire de la commune de Benbadis (ex-El-Aria) et dispose d‘une capacité de traitement de 500 tonnes/jour. La plus grande décharge publique de la wilaya, à savoir celle située sur la route d‘Ain Smara vers la nouvelle ville Ali-Mendjeli, a été transférée vers ce site. C‘était un soulagement pour toute une agglomération qui n‘en pouvait plus des odeurs, des émanations de poussières qui mettaient sa santé en danger à chaque fois que des milliers de tonnes de déchets sont incinérées. Au niveau de l‘un comme de l‘autre, un pont-bascule est installé à l‘entrée de la loge de garde. Il fait office de balance pour déterminer le volume, plus précisément le poids, des chargements déposés par les camions des collectivités ou des entreprises. Car les opérations de traitement et d‘enfouissement des ordures sont, on ne peut plus, payantes. Ainsi, la tonne de déchets sera facturée à 350 dinars, comme c‘est le cas dans le CET de Benbadis. Avec ces deux CET, Constantine investit progressivement dans des techniques de gestion des déchets qui préservent et la santé du citoyen et l‘environnement. Mais pour l‘heure, le pari est loin d‘être gagné. Les décharges sauvages prolifèrent de jour en jour et des espaces verts se transforment en dépotoirs. Sur le tronçon de la RN5 reliant Constantine à Aïn Smara, plusieurs «petites décharges» prennent naissance. Déchets lourds, gravats, chutes de tissus, emballages, entre autres y sont régulièrement déposés en dépit de l‘existence de panneaux signalétiques interdisant formellement le dépôt de tout déchet, de quelque nature que ce soit. Pont Sidi-Rached Projet de sauvegarde en perspective Constantine qui regorge de patrimoine architectural se trouve aussi dans l'obligation de le préserver et de l'entretenir. C'est le cas du pont Sidi-Rached qui représente à lui seul plus d'une centaine d'années de l'histoire de la ville du Vieux rocher. Dans cette optique, un projet de 70 milliards de centimes destiné à son entretien et sauvegarde est prévu, selon la direction des travaux publics. Ouvert à la circulation en 1912, il comprend 27 arches dont la plus large est de 70 mètres de diamètre. Avec une longueur de 447 mètres et une largeur de 10,5 mètres, le pont qui porte le nom du Saint de la ville est décrit par comme un « grand repère fascinant » d'un point de vue architectural et urbanistique. Considéré parmi les plus hauts ponts de pierre dans le monde, Il occupe une bonne place sur la carte touristique de la ville. Malheureusement, ce monument historique est sujet aux affres des glissements de terrain, phénomène très répandu sur ce site. La circulation automobile, très dense à ce niveau, qui caractérise cette « unique passerelle » entre les hauteurs de Constantine et le centre-ville, a assené beaucoup de coups à la stabilité du monument. Il a été de tout temps sous surveillance permanente tant la fragilité de la structure, accentuée par l'érosion due aux eaux souterraines, était devenue fort inquiétante. Les usagers de ce pont peuvent constater de visu l'avancement des fissurations et des lezardes.Une ancienne étude menée par la société Simecsol a été finalement abandonnée en raison de son infaisabilité sur ce genre d'ouvrages. Les autorités n'ont pas pour autant baissé les bras. D'ailleurs, ils n'en ont pas le droit. Actuellement, une autre expertise de maintenance est sollicitée. L'entreprise algérienne Sapta serait en position de présenter le dossier le plus approprié. Viaduc Transrhumel L'expropriation évaluée à des milliards Une enveloppe de 33 milliards de centimes sera réservée à l'opération d'indemnisation des personnes morales ou physiques devant subir une expropriation dans le cadre du projet du viaduc TransRhumel, selon la directeur des travaux publics (DTP) lors de son intervention au forum de la radio. Le projet du viaduc TransRhumel qui reliera les hauteurs du plateau d'El-Mansoura à la place de l'ONU nécessite, pour sa réalisation, la destruction de plusieurs biens immobiliers appartenant à des particuliers ou à la collectivité. Pour baliser l'itinéraire du premier pont post-independance à Constantine, il faudra recourir au rasage d'un grand pan du patrimoine bâti dont le siège du cadastre, des manufactures, des habitations et même une partie du parking de l'Entreprise de télevision. C'est du moins ce que l'ex-wali de Constantine, Abdelmalek Boudiaf, a affirmé à plusieurs reprises. Aujourd'hui, il semblerait que la donne n'ait pas totalement changé mais que l'évaluation ait été revue. Recadrée, l'opération de destruction, selon toujours le DTP, ne touchera finalement qu'un lot de quatre maisons implantées sur le site jouxtant le siège du CPA (ex-transatlantique), cinq stations-services, dont deux situées au niveau du chalet des pins ainsi qu'un terrain appartenant à la 5e Région militaire, d'une superficie estimée à 1,5 hectare. Parking à étages Location aux enchères publiques L'inauguration officielle du parking à étages, reportée à plusieurs reprises, n'est toujours pas arrêtée. A contrario, sa mise en location aux enchères publiques devrait en principe se faire à la mi-novembre, selon certains élus. Le chantier qui a accusé des années de retard, puisque entamé au début des années 2000, est à son stade final. Les cloisons autour du site ont été enlevées en grande partie et les crédits pour l'installation de l'éclairage public et la réfection des trottoirs de la rue Zaâmouche contenant l'édifice sont disponibles. La mise en adjudication du parking se déroulera à la salle des délibérations au niveau du siège de la mairie du Vieux rocher. Le prix plancher fixé pour une location annuelle est de 750 millions de centimes. Lors d'une assemblée plénière précédente, cette mise à été proposée à hauteur d'un milliard et demi mais très vite elle fut revue à la baisse de peur de n'avoir aucun soumissionnaire. Quoi qu'il en soit, selon les exigences inhérentes à la location, il est fait obligation à toute personne physique ou morale désirant participer à ces enchères d'avancer, en terme de garantie et caution, la somme de 50 millions de centimes. Le bail de location sera d'une durée de trois ans et couvrira autant les étages du parking que les 17 locaux commerciaux y attenants.