Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa a affirmé, hier à Alger qu'il n'y avait pas de pénurie de lait en sachet, mais un dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa a affirmé, hier à Alger qu'il n'y avait pas de pénurie de lait en sachet, mais un dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière. Dans une déclaration à la presse equi l'interrogeait, en marge d'une cérémonie de célébration de la journée mondiale de l'alimentation, sur le manque de lait en sachet depuis plus d'une semaine, le ministre a estimé qu'il ne s'agissait pas de "pénurie", mais d'un "dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière", notamment entre les transformateurs et les distributeurs. Cette situation intervient au moment où les différents acteurs de la filière sont en négociation pour mettre en place un nouveau dispositif qui "permettra à cette branche de se construire d'une manière durable et structurée", selon M. Benaïssa. "Nous sommes en train de mettre en place un nouveau dispositif, donc c'est une période de négociation entre les acteurs et c'est pour cela qu'il y a eu ce dysfonctionnement", a-t-il dit sans donner de détails sur ce nouveau dispositif, qui sera connu, selon lui, lors d'une réunion prévue début de la semaine prochaine. Le ministre a souligné, par ailleurs, que "les acteurs, à travers le Conseil interprofessionnel du lait, devraient améliorer leurs relations en vue de créer les conditions d'un développement durable de la filière". Il y'a lieu de rappeler que l lait en sachet, fortement consommé par les Algériens, se fait rare ces derniers jours, a-t-on constaté. Plusieurs villes du pays on été frappées par cette pénurie. Le consommateur, pour sa part, se plaint du manque de ce produit stratégique. Selon quelques vendeurs de cette denrée si importante, il semblerait que le lait connaisse une perturbation au niveau de la distribution ainsi qu'au stade de la production. Face à ce manque, le consommateur algérien se voit dans l'obligation de se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le préciser, coûte beaucoup plus cher. A Alger, à titre d'exemple, les «rares» épiceries qui en disposent sont, très tôt, prises d'assaut par les Algérois. Afin de satisfaire un maximum de clients, les commerçants ne vendent que deux sachets par personne. Il est toutefois utile de rappeler que la précédente crise, qui remonte à quelques jours avant le mois de Ramadhan, entre les producteurs et l'Office national interprofessionnel du lait ONIL s'était installée et a été exacerbée par la décision de l'organisme de régulation de réduire les quotas d'approvisionnement en poudre de lait aux transformateurs privés. Une situation qui ne devait pas être de mise ces derniers jours au vu de la pénurie qui s'est installée. Dans une déclaration à la presse equi l'interrogeait, en marge d'une cérémonie de célébration de la journée mondiale de l'alimentation, sur le manque de lait en sachet depuis plus d'une semaine, le ministre a estimé qu'il ne s'agissait pas de "pénurie", mais d'un "dysfonctionnement entre les différents maillons de la filière", notamment entre les transformateurs et les distributeurs. Cette situation intervient au moment où les différents acteurs de la filière sont en négociation pour mettre en place un nouveau dispositif qui "permettra à cette branche de se construire d'une manière durable et structurée", selon M. Benaïssa. "Nous sommes en train de mettre en place un nouveau dispositif, donc c'est une période de négociation entre les acteurs et c'est pour cela qu'il y a eu ce dysfonctionnement", a-t-il dit sans donner de détails sur ce nouveau dispositif, qui sera connu, selon lui, lors d'une réunion prévue début de la semaine prochaine. Le ministre a souligné, par ailleurs, que "les acteurs, à travers le Conseil interprofessionnel du lait, devraient améliorer leurs relations en vue de créer les conditions d'un développement durable de la filière". Il y'a lieu de rappeler que l lait en sachet, fortement consommé par les Algériens, se fait rare ces derniers jours, a-t-on constaté. Plusieurs villes du pays on été frappées par cette pénurie. Le consommateur, pour sa part, se plaint du manque de ce produit stratégique. Selon quelques vendeurs de cette denrée si importante, il semblerait que le lait connaisse une perturbation au niveau de la distribution ainsi qu'au stade de la production. Face à ce manque, le consommateur algérien se voit dans l'obligation de se rabattre sur le lait en poudre ou le lait conditionné qui, faut-il le préciser, coûte beaucoup plus cher. A Alger, à titre d'exemple, les «rares» épiceries qui en disposent sont, très tôt, prises d'assaut par les Algérois. Afin de satisfaire un maximum de clients, les commerçants ne vendent que deux sachets par personne. Il est toutefois utile de rappeler que la précédente crise, qui remonte à quelques jours avant le mois de Ramadhan, entre les producteurs et l'Office national interprofessionnel du lait ONIL s'était installée et a été exacerbée par la décision de l'organisme de régulation de réduire les quotas d'approvisionnement en poudre de lait aux transformateurs privés. Une situation qui ne devait pas être de mise ces derniers jours au vu de la pénurie qui s'est installée.