Constantine, avec ses trois grandes institutions universitaires, à savoir le campus Mentouri, l'ENS et l'université islamique, ne dispose actuellement que de 16 mille unités d'hébergement. Les problèmes liés aux retards dans l'ouverture des restaurants universitaires, à la surcharge dans les chambres ou encore au transport, ont été soulevés à maintes reprises. Constantine, avec ses trois grandes institutions universitaires, à savoir le campus Mentouri, l'ENS et l'université islamique, ne dispose actuellement que de 16 mille unités d'hébergement. Les problèmes liés aux retards dans l'ouverture des restaurants universitaires, à la surcharge dans les chambres ou encore au transport, ont été soulevés à maintes reprises. L'opération de l'hébergement a été en principe clôturée le 15 octobre en cours alors que la majorité des résidents son mal logés. Le manque en la matière est estimé à 200% par le responsable des œuvres sociales universitaires de la région centre, M.Amara. Selon ses déclarations lors de l'émission radiophonique « forum », Constantine, avec ses trois grandes institutions universitaires, à savoir, le campus Mentouri, l'ENS et l'université islamique, ne dispose actuellement que de 16 mille unités d'hébergement réparties sur seize résidences. Des moyens insuffisants face au flux des étudiants qui sont orientés des autres régions vers la deuxième ville universitaire du pays. Rien que pour la rentrée 2010-2011, il y a eu 6.283 demandes d'hébergement dont 4.362 concernent l'élément feminin.Cette demande, à elle seule, constitue 65% du taux de demandes formulées par l'ensemble des étudiants non résidant dans la wilaya. En parallèle, il n'y a eu que la libération de quelque 5 mille lits à l'issue de l'année écoulée.Ce problème n'est pas l'unique préoccupation de la communauté estudiantine. A peine la rentrée entamée qu'une multitude de communiqués émanant de l'Union générale des étudiants libres (UGEL) fut publiée pour dénoncer une pléthore de désagréments et de tracas rencontrés sur les campus ou les lieux de résidence. Le retard dans l'ouverture des restaurants universitaires, la surcharge dans les chambres ou encore le transport, ont été soulevés à maintes reprises. Pour le responsable du Cous-centre, l'année en cours est « exceptionnelle » en raison de la fermeture de deux cités « U », l'une à Ain Smara, l'autre à Benbadis. Vient se greffer à cette situation la non réception des nouvelles infrastructures au nombre de dix-neuf, encore en construction. Le manque à gagner en pareil cas, en lits et en espaces, s'est répercuté négativement sur les conditions d'accueil. Le nombre de résidents par chambre à été revu à la hausse. Un lit est pratiquement ajouté dans chaque chambre. Actuellement, chaque cité « U » contient au moins 2.200 locataires. La solution viendra peut-être de la livraison des projets du nouveau pôle universitaire Ali-Mendjeli. La restauration a aussi été sujette à débat lors de l'émission en question. Toujours selon les déclarations officielles, Constantine dénombre 16 restaurants insérés dans les lieux d'hébergement et sept externes dont trois centraux. Alors que d'aucuns n'ignorent pas l'état de délabrement de ces structures, il sera porté à la connaissance de tous, par M.Amara, que des travaux de réfection ciblant les plus vieux restaurants universitaires dont ceux des cités Nahas, Zouaghi 1 et 2, la ferme et Aicha, entre-autres, ont été entamés dès le mois de septembre dernier. Même qu'une enveloppe de 3 millions de dinars a été débloquée à cet effet.Seul bémol pour cette rentrée, le transport. Avec un parc de 400 bus, Constantine peut se targuer d'assurer convenablement les déplacements de ses milliers d'étudiants. L'opération de l'hébergement a été en principe clôturée le 15 octobre en cours alors que la majorité des résidents son mal logés. Le manque en la matière est estimé à 200% par le responsable des œuvres sociales universitaires de la région centre, M.Amara. Selon ses déclarations lors de l'émission radiophonique « forum », Constantine, avec ses trois grandes institutions universitaires, à savoir, le campus Mentouri, l'ENS et l'université islamique, ne dispose actuellement que de 16 mille unités d'hébergement réparties sur seize résidences. Des moyens insuffisants face au flux des étudiants qui sont orientés des autres régions vers la deuxième ville universitaire du pays. Rien que pour la rentrée 2010-2011, il y a eu 6.283 demandes d'hébergement dont 4.362 concernent l'élément feminin.Cette demande, à elle seule, constitue 65% du taux de demandes formulées par l'ensemble des étudiants non résidant dans la wilaya. En parallèle, il n'y a eu que la libération de quelque 5 mille lits à l'issue de l'année écoulée.Ce problème n'est pas l'unique préoccupation de la communauté estudiantine. A peine la rentrée entamée qu'une multitude de communiqués émanant de l'Union générale des étudiants libres (UGEL) fut publiée pour dénoncer une pléthore de désagréments et de tracas rencontrés sur les campus ou les lieux de résidence. Le retard dans l'ouverture des restaurants universitaires, la surcharge dans les chambres ou encore le transport, ont été soulevés à maintes reprises. Pour le responsable du Cous-centre, l'année en cours est « exceptionnelle » en raison de la fermeture de deux cités « U », l'une à Ain Smara, l'autre à Benbadis. Vient se greffer à cette situation la non réception des nouvelles infrastructures au nombre de dix-neuf, encore en construction. Le manque à gagner en pareil cas, en lits et en espaces, s'est répercuté négativement sur les conditions d'accueil. Le nombre de résidents par chambre à été revu à la hausse. Un lit est pratiquement ajouté dans chaque chambre. Actuellement, chaque cité « U » contient au moins 2.200 locataires. La solution viendra peut-être de la livraison des projets du nouveau pôle universitaire Ali-Mendjeli. La restauration a aussi été sujette à débat lors de l'émission en question. Toujours selon les déclarations officielles, Constantine dénombre 16 restaurants insérés dans les lieux d'hébergement et sept externes dont trois centraux. Alors que d'aucuns n'ignorent pas l'état de délabrement de ces structures, il sera porté à la connaissance de tous, par M.Amara, que des travaux de réfection ciblant les plus vieux restaurants universitaires dont ceux des cités Nahas, Zouaghi 1 et 2, la ferme et Aicha, entre-autres, ont été entamés dès le mois de septembre dernier. Même qu'une enveloppe de 3 millions de dinars a été débloquée à cet effet.Seul bémol pour cette rentrée, le transport. Avec un parc de 400 bus, Constantine peut se targuer d'assurer convenablement les déplacements de ses milliers d'étudiants.