Jaques Ferrandez, participant et adaptateur pour les éditions Gallimard du roman de Camus extrait de l'Exil et le royaume. «J'ai un rapport natal avec Algérie, du fait que je suis né à Alger et c'est ma deuxième visite dans la capitale après le SILA (salon international du livre….) en 2004-2005, ce qui fait que l'Algérie est au centre de mes œuvres. FIBDA constitue un très bon carrefour de rencontres avec d'autres dessinateurs pour l'échange artistique et humain. Plus précisément ceux qui viennent d'Afrique, que nous n'avons pas l'habitude de voir en France. Pour ma participation à ce festival, j'ai présenté un travail que j'ai fait sur un autre algérien celui d'Albert Camus et cela en adaptant le livre». Baru, invité venu de France «C'est ma première participation à FIBDA mais pas la première en Algérie et cela en raison du service militaire du temps de Houari Boumediene et comme j'avais pas mal d' amis qui étaient algérien, mon intérêt pour ce pays s'est accru. En ce qui concerne l'organisation du FIBDA, Nous avons été bien accueilli, c'est une belle manifestation et comme toutes choses nouvelles il y a des correctifs à apporter. Les rencontres se sont superbement déroulées et de plus il y a une bonne ambiance. Je suis ravi d'être venu ». Slim le vétéran... C'est ma deuxième participation effective à ce festival. La première c'était l'an dernier puisque on m'a rendu un hommage, j'ai fait une grande expo. Selon moi, la BD en Algérie affiche des signes de reprise et j'espère que cela pourra se concrétiser dans les années à venir. Cependant il y a toujours un manque de support puisque jusqu'à aujourd'hui les magazines n'existent pas. Pour le FIBDA 2010, j'aimerai ajouter que je n'aime pas l'affiche officielle qui ne reflète en aucun cas l'esprit de cet évènement. Frankie Alarcon, dessinateur de la BD «au nom de la bombe» ( essais atomiques français en Algérie et Polynésie) C'est la première fois que je viens en Algérie et que je participe au FIBDA, ou j'ai pu rencontrer beaucoup de personnes qui sont venues acheter des BD et j'ai constaté un public en force Majoritairement des parents des adultes mais aussi des jeunes et adolescents ouverts d'esprit et curieux de connaître le monde de la BD Ils ont même fait l'acquisition de nos bandes dessinées et cela malgré leurs prix excessifs. Du moins, ce rendez-vous m'a permis de connaître la bande dessinée algérienne avec son humour spécifique connu des Algériens. Jaques Ferrandez, participant et adaptateur pour les éditions Gallimard du roman de Camus extrait de l'Exil et le royaume. «J'ai un rapport natal avec Algérie, du fait que je suis né à Alger et c'est ma deuxième visite dans la capitale après le SILA (salon international du livre….) en 2004-2005, ce qui fait que l'Algérie est au centre de mes œuvres. FIBDA constitue un très bon carrefour de rencontres avec d'autres dessinateurs pour l'échange artistique et humain. Plus précisément ceux qui viennent d'Afrique, que nous n'avons pas l'habitude de voir en France. Pour ma participation à ce festival, j'ai présenté un travail que j'ai fait sur un autre algérien celui d'Albert Camus et cela en adaptant le livre». Baru, invité venu de France «C'est ma première participation à FIBDA mais pas la première en Algérie et cela en raison du service militaire du temps de Houari Boumediene et comme j'avais pas mal d' amis qui étaient algérien, mon intérêt pour ce pays s'est accru. En ce qui concerne l'organisation du FIBDA, Nous avons été bien accueilli, c'est une belle manifestation et comme toutes choses nouvelles il y a des correctifs à apporter. Les rencontres se sont superbement déroulées et de plus il y a une bonne ambiance. Je suis ravi d'être venu ». Slim le vétéran... C'est ma deuxième participation effective à ce festival. La première c'était l'an dernier puisque on m'a rendu un hommage, j'ai fait une grande expo. Selon moi, la BD en Algérie affiche des signes de reprise et j'espère que cela pourra se concrétiser dans les années à venir. Cependant il y a toujours un manque de support puisque jusqu'à aujourd'hui les magazines n'existent pas. Pour le FIBDA 2010, j'aimerai ajouter que je n'aime pas l'affiche officielle qui ne reflète en aucun cas l'esprit de cet évènement. Frankie Alarcon, dessinateur de la BD «au nom de la bombe» ( essais atomiques français en Algérie et Polynésie) C'est la première fois que je viens en Algérie et que je participe au FIBDA, ou j'ai pu rencontrer beaucoup de personnes qui sont venues acheter des BD et j'ai constaté un public en force Majoritairement des parents des adultes mais aussi des jeunes et adolescents ouverts d'esprit et curieux de connaître le monde de la BD Ils ont même fait l'acquisition de nos bandes dessinées et cela malgré leurs prix excessifs. Du moins, ce rendez-vous m'a permis de connaître la bande dessinée algérienne avec son humour spécifique connu des Algériens.