Dans une lettre adressée au Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), a appelé à une intervention urgente de l'instance onusienne pour assurer la sécurité des Sahraouis campant dans les périphéries des villes occupées du Sahara Occidental. M. Mohamed Abdelaziz appelle le responsable onusien à exercer des pressions sur les autorités marocaines pour qu'elles cessent leur pratique de répression et d'isolement contre les citoyens désarmés. « Il est inacceptable et intolérable que le gouvernement marocain persiste dans ses violations de la légalité internationale à travers son occupation illégale du Sahara Occidental, ainsi que dans sa politique de répression, d'intimidation, de pillage et d'implantation des colonies dans un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'ONU en attente de décolonisation », a regretté M. Abdelaziz, estimant que ce comportement constitue un défi à l'autorité de l'institution onusienne et une atteinte à sa crédibilité. « Ce comportement et ces violations graves des droits de l'Homme commises par l'Etat marocain contre les Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au sud du Maroc et dans des sites universitaires au Maroc, ne concourent pas aux efforts de l'envoyé personnel du SG de l'ONU pour la reprise des négociations en vue d'une solution garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination », a de ce fait, estimé le président sahraoui. Il a, dans ce sens, appelé à « la mise en place d'un mécanisme onusien pour la protection des droits de l'Homme au Sahara Occidental occupé », ainsi qu'à « l'exercice des pressions et sanctions nécessaires contre le gouvernement marocain, afin qu'il se conforme à la légalité internationale" appelant à " la tenue d'un référendum libre, régulier et impartial pour l'autodétermination du peuple sahraoui ». Par ailleurs, Mohamed Abdelaziz a attiré l'attention du HCR sur la nécessité de fournir en aides les personnes déplacées, demandant, à ce propos, de leur apporter nourriture, aide en médicaments et eau, en vue, a-t-il dit « d'éviter une catastrophe humanitaire imminente, en raison de l'embargo imposé par les autorités marocaines contre ces personnes ». Les citoyens sahraouis, a-t-il rappelé, se sont installés dans des campements de fortune dans les périphéries des villes occupées, à l'instar d'El Ayoune, Smara, Dakhla et de Boujdour, en signe de protestation contre les conditions précaires dans lesquelles ils vivent. Les autorités d'occupation marocaines sont, pour rappel, intervenues contre cette protestation pacifique et ont dépêché des unités des forces armées et de sécurité qui ont procédé à l'encerclement des dites populations par des fils barbelés et en leur refusant tout approvisionnement en eau, nourriture et médicaments. Dans une lettre adressée au Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), a appelé à une intervention urgente de l'instance onusienne pour assurer la sécurité des Sahraouis campant dans les périphéries des villes occupées du Sahara Occidental. M. Mohamed Abdelaziz appelle le responsable onusien à exercer des pressions sur les autorités marocaines pour qu'elles cessent leur pratique de répression et d'isolement contre les citoyens désarmés. « Il est inacceptable et intolérable que le gouvernement marocain persiste dans ses violations de la légalité internationale à travers son occupation illégale du Sahara Occidental, ainsi que dans sa politique de répression, d'intimidation, de pillage et d'implantation des colonies dans un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'ONU en attente de décolonisation », a regretté M. Abdelaziz, estimant que ce comportement constitue un défi à l'autorité de l'institution onusienne et une atteinte à sa crédibilité. « Ce comportement et ces violations graves des droits de l'Homme commises par l'Etat marocain contre les Sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au sud du Maroc et dans des sites universitaires au Maroc, ne concourent pas aux efforts de l'envoyé personnel du SG de l'ONU pour la reprise des négociations en vue d'une solution garantissant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination », a de ce fait, estimé le président sahraoui. Il a, dans ce sens, appelé à « la mise en place d'un mécanisme onusien pour la protection des droits de l'Homme au Sahara Occidental occupé », ainsi qu'à « l'exercice des pressions et sanctions nécessaires contre le gouvernement marocain, afin qu'il se conforme à la légalité internationale" appelant à " la tenue d'un référendum libre, régulier et impartial pour l'autodétermination du peuple sahraoui ». Par ailleurs, Mohamed Abdelaziz a attiré l'attention du HCR sur la nécessité de fournir en aides les personnes déplacées, demandant, à ce propos, de leur apporter nourriture, aide en médicaments et eau, en vue, a-t-il dit « d'éviter une catastrophe humanitaire imminente, en raison de l'embargo imposé par les autorités marocaines contre ces personnes ». Les citoyens sahraouis, a-t-il rappelé, se sont installés dans des campements de fortune dans les périphéries des villes occupées, à l'instar d'El Ayoune, Smara, Dakhla et de Boujdour, en signe de protestation contre les conditions précaires dans lesquelles ils vivent. Les autorités d'occupation marocaines sont, pour rappel, intervenues contre cette protestation pacifique et ont dépêché des unités des forces armées et de sécurité qui ont procédé à l'encerclement des dites populations par des fils barbelés et en leur refusant tout approvisionnement en eau, nourriture et médicaments.