Les guichets des postes de la ville, la Plaine, Ihaddadène et la Recette principale ont enregistré une grande foule. En effet, les futurs candidats au Brevet de l'enseignement moyen (BEM) et baccalauréat sont priés de régler les frais d'examen au niveau des guichets de poste contrairement aux années précédentes. Les guichets des postes de la ville, la Plaine, Ihaddadène et la Recette principale ont enregistré une grande foule. En effet, les futurs candidats au Brevet de l'enseignement moyen (BEM) et baccalauréat sont priés de régler les frais d'examen au niveau des guichets de poste contrairement aux années précédentes. Depuis trois jours, les guichets des postes des différents centres urbains de la wilaya de Béjaïa sont pris d'assaut par une grande foule d'usagers. Après les retraités qui, durant deux jours, ont constitué de longues chaînes devant les guichets, c'est au tour des élèves des collèges et lycées de prendre le le relais. Avant-hier, les guichets des postes de la ville, la Plaine, Ihaddadène et la Recette principale ont enregistré une grande foule. En effet, les futurs candidats au Brevet de l'enseignement moyen (BEF) et baccalauréat sont priés de régler les frais d'examen au niveau des guichets de poste contrairement aux années précédentes, où c'étaient les gestionnaires des établissements qui se chargaient de l'opération et qui versaient la totalité des frais auprès de l'ONEC. Les candidats au BEM doivent, donc, faire la chaîne munis d'un mandat CCP pour verser au compte de l'agent comptable de l'Office national des examens et concours (ONEC) de Béjaïa la somme de mille dinars et la même chose pour les candidats au baccalauréat pour les trois mille dinars. Les préposés de la poste sont dépassés et ne savent plus à quel saint se vouer. Les élèves sont plutôt égarés dans cette formule. Pour certains, ils ne savent même pas où se trouve la poste ou même comment remplir un mandat. Pour les parents rencontrés sur les lieux, ils se disent vraiment déçus par cette méthode qui les pénalisent par rapport à leur travail et qui perturbe la scolarité des élèves. «C'est de la pure bureaucratie. Avant, les élèves payaient leurs frais d'examen au niveau de leur établissement contre un reçu, et c'était le collège qui se chargeait de l'opération. Cette année, ils ont remis à chaque élève un mandat vierge qu'ils doivent remplir et se présenter à la poste pour le régler. Chaque année, ils nous sortent des lois et personne ne réagit», tempète un parent d'élève. Au niveau des collèges, les directeurs disent se conformer à l'instruction de la tutelle qui exige que ça soit l'ONEC qui se charge de la préparation des examens. Si samedi, jour de repos, les élèves ont pu se présenter au niveau des postes, les autres jours ils sont censés être dans leurs classes et ne pourront pas s'absenter pour aller régulariser leurs frais d'examens. La direction de l'éducation de chaque wilaya doit prendre des initiatives plus louables au niveau de chaque collège et lycée pour éviter ce calvaire aux élèves. Les élèves de Boudjellil souffrent du transport Les élèves des différentes écoles de la commune de Boudjellil, dans la wilaya de Bejaia , souffrent de manque de transport scolaire. La commune ne dispose que de cinq mini bus qui s'avère insuffisants à ramasser le minimum des élèves. Le président de l'APC, M. CHEKAL Arezki, dira que malgré les promesses du ministére de la solidarité et de la Wilaya pour nous équiper chacun d'un bus, la commune n'a rien bénéficié et les moyens de la commune ne lui permettent pas d'améliorer la situation. Constituée de villages épars, Boudjellil, demeure une commune déshéritée. Les écoliers parcours plusieurs kilomètres a pieds pour rejoindre leurs écoles dans des situations très pénibles sous la chaleur en été et les pluies et neige en hiver. En effet, le ministère de la solidarité avait promit d'ajouter douze bus pour la wilaya de Bejaia, mais pour l'instant les choses n'ont pas été concrétisées. La wilaya doit prendre en compte, l'appel de détresse de ces écoliers pour alléger leurs souffrances. Depuis trois jours, les guichets des postes des différents centres urbains de la wilaya de Béjaïa sont pris d'assaut par une grande foule d'usagers. Après les retraités qui, durant deux jours, ont constitué de longues chaînes devant les guichets, c'est au tour des élèves des collèges et lycées de prendre le le relais. Avant-hier, les guichets des postes de la ville, la Plaine, Ihaddadène et la Recette principale ont enregistré une grande foule. En effet, les futurs candidats au Brevet de l'enseignement moyen (BEF) et baccalauréat sont priés de régler les frais d'examen au niveau des guichets de poste contrairement aux années précédentes, où c'étaient les gestionnaires des établissements qui se chargaient de l'opération et qui versaient la totalité des frais auprès de l'ONEC. Les candidats au BEM doivent, donc, faire la chaîne munis d'un mandat CCP pour verser au compte de l'agent comptable de l'Office national des examens et concours (ONEC) de Béjaïa la somme de mille dinars et la même chose pour les candidats au baccalauréat pour les trois mille dinars. Les préposés de la poste sont dépassés et ne savent plus à quel saint se vouer. Les élèves sont plutôt égarés dans cette formule. Pour certains, ils ne savent même pas où se trouve la poste ou même comment remplir un mandat. Pour les parents rencontrés sur les lieux, ils se disent vraiment déçus par cette méthode qui les pénalisent par rapport à leur travail et qui perturbe la scolarité des élèves. «C'est de la pure bureaucratie. Avant, les élèves payaient leurs frais d'examen au niveau de leur établissement contre un reçu, et c'était le collège qui se chargeait de l'opération. Cette année, ils ont remis à chaque élève un mandat vierge qu'ils doivent remplir et se présenter à la poste pour le régler. Chaque année, ils nous sortent des lois et personne ne réagit», tempète un parent d'élève. Au niveau des collèges, les directeurs disent se conformer à l'instruction de la tutelle qui exige que ça soit l'ONEC qui se charge de la préparation des examens. Si samedi, jour de repos, les élèves ont pu se présenter au niveau des postes, les autres jours ils sont censés être dans leurs classes et ne pourront pas s'absenter pour aller régulariser leurs frais d'examens. La direction de l'éducation de chaque wilaya doit prendre des initiatives plus louables au niveau de chaque collège et lycée pour éviter ce calvaire aux élèves. Les élèves de Boudjellil souffrent du transport Les élèves des différentes écoles de la commune de Boudjellil, dans la wilaya de Bejaia , souffrent de manque de transport scolaire. La commune ne dispose que de cinq mini bus qui s'avère insuffisants à ramasser le minimum des élèves. Le président de l'APC, M. CHEKAL Arezki, dira que malgré les promesses du ministére de la solidarité et de la Wilaya pour nous équiper chacun d'un bus, la commune n'a rien bénéficié et les moyens de la commune ne lui permettent pas d'améliorer la situation. Constituée de villages épars, Boudjellil, demeure une commune déshéritée. Les écoliers parcours plusieurs kilomètres a pieds pour rejoindre leurs écoles dans des situations très pénibles sous la chaleur en été et les pluies et neige en hiver. En effet, le ministère de la solidarité avait promit d'ajouter douze bus pour la wilaya de Bejaia, mais pour l'instant les choses n'ont pas été concrétisées. La wilaya doit prendre en compte, l'appel de détresse de ces écoliers pour alléger leurs souffrances.