Les petites et moyennes entreprises algériennes sont constamment en quête de financement et de crédits bancaires pour mener à bien leurs projets d'investissement. Ainsi, pour parer à toute éventualité, les PME se dirigent, aujourd'hui, vers un partenaire fiable, à savoir la Caisse de garantie des crédits d'investissemnts des PME qui travaille pour le compte de l'Etat en vue d'aider et d'assister financièrement les PME présentant des projets de développement structurants et porteurs, voire rentables et prometteurs. Ainsi, la CGCI se charge de régler tous les problèmes inhérents à l'éxécution des projets de développement, notamment sur le plan financier. Elle apporte des solutions à des problèmes en vue d'accompagner les entreprises performantes et les PME en matière de fourniture d'outils d'investissement adéquats. C'est la raison pour laquelle les pouvoirs publics ont procédé à la création de la CGCI, selon l'analyste Crédit de cette institution qui nous a accordé un entretien dans lequel il explique les missions et le rôle de la CGCI. "L'Etat a mis en place la Caisse de garantie des investissements afin d'accompagner et encourager la création d'entreprises. Nous accordons des avantages à la banque qui est notre partenaire de crédit à la garantie". a t-il souligné. Alors les PME pourraient obtenir des financements en accédant aux lignes de crédit. Notre interlocuteur précise que "la CGCI accorde et garantit les crédits pour le bénéfice des entreprises à hauteur de 80 % tandis que les projets de développement représentent un financement de l'ordre de 60 %". Le nerf de la guerre c'est, bien entendu, la finance qui fait avancer et fructifier des projets de développement économique pour les entreprises. C'est dans cette perspective que se place la CGCI qui a été créee en 2004 et depuis cette date, elle a totalisé plus de 670 projets d'investissement des PME garantis par la caisse. Les secteurs qui ont le plus bénéficié de crédits d'investissement sont notamment le bâtiment, les travaux publics, l'hydraulique, l'industrie agroalimentaire et les transports. A la différence de la FGAR (fonds de garantie des investissements) qui assure des montants de financement de 50 millions DA, la CGCI qui possède un caiptal de 20 milliards DA, octroie des fonds et des crédits à hauteur de 350 millions DA. Cependant, les entreprises doivent avoir des capacités de garantie. Aussi, l'accord préalable de la banque est nécessaire en tant que partenaire qui se tient à leur disposition pour définir si le projet est rentable. "Notre garantie c'est la garantie de l'Etat. En échange de la garantie, nous percevons une prime du promoteur évaluée à 0,5 %. En 2011, nou avons en étude des projets de réalisation à l'est du pays, mais également à l'ouest et au sud algérien. Nous sommes aussi présents au centre, notamment à Blida et Sétif. Ces projets seront opérationnels dès le début de l'année prochaine. Les projets qui seront développés au Sud seront reçus en fonction de la demande" a t-il déclaré. Les petites et moyennes entreprises algériennes sont constamment en quête de financement et de crédits bancaires pour mener à bien leurs projets d'investissement. Ainsi, pour parer à toute éventualité, les PME se dirigent, aujourd'hui, vers un partenaire fiable, à savoir la Caisse de garantie des crédits d'investissemnts des PME qui travaille pour le compte de l'Etat en vue d'aider et d'assister financièrement les PME présentant des projets de développement structurants et porteurs, voire rentables et prometteurs. Ainsi, la CGCI se charge de régler tous les problèmes inhérents à l'éxécution des projets de développement, notamment sur le plan financier. Elle apporte des solutions à des problèmes en vue d'accompagner les entreprises performantes et les PME en matière de fourniture d'outils d'investissement adéquats. C'est la raison pour laquelle les pouvoirs publics ont procédé à la création de la CGCI, selon l'analyste Crédit de cette institution qui nous a accordé un entretien dans lequel il explique les missions et le rôle de la CGCI. "L'Etat a mis en place la Caisse de garantie des investissements afin d'accompagner et encourager la création d'entreprises. Nous accordons des avantages à la banque qui est notre partenaire de crédit à la garantie". a t-il souligné. Alors les PME pourraient obtenir des financements en accédant aux lignes de crédit. Notre interlocuteur précise que "la CGCI accorde et garantit les crédits pour le bénéfice des entreprises à hauteur de 80 % tandis que les projets de développement représentent un financement de l'ordre de 60 %". Le nerf de la guerre c'est, bien entendu, la finance qui fait avancer et fructifier des projets de développement économique pour les entreprises. C'est dans cette perspective que se place la CGCI qui a été créee en 2004 et depuis cette date, elle a totalisé plus de 670 projets d'investissement des PME garantis par la caisse. Les secteurs qui ont le plus bénéficié de crédits d'investissement sont notamment le bâtiment, les travaux publics, l'hydraulique, l'industrie agroalimentaire et les transports. A la différence de la FGAR (fonds de garantie des investissements) qui assure des montants de financement de 50 millions DA, la CGCI qui possède un caiptal de 20 milliards DA, octroie des fonds et des crédits à hauteur de 350 millions DA. Cependant, les entreprises doivent avoir des capacités de garantie. Aussi, l'accord préalable de la banque est nécessaire en tant que partenaire qui se tient à leur disposition pour définir si le projet est rentable. "Notre garantie c'est la garantie de l'Etat. En échange de la garantie, nous percevons une prime du promoteur évaluée à 0,5 %. En 2011, nou avons en étude des projets de réalisation à l'est du pays, mais également à l'ouest et au sud algérien. Nous sommes aussi présents au centre, notamment à Blida et Sétif. Ces projets seront opérationnels dès le début de l'année prochaine. Les projets qui seront développés au Sud seront reçus en fonction de la demande" a t-il déclaré.