Les fortes pluies qui se sont abattues hier sur les différentes communes de wilaya d'Alger ont soulevé de nouveau la nécessité de mettre en place le plan national d'organisation des secours, Orsec. Si les vieilles communes d'Alger ont subi les conséquences de la vétusté des conduites d'évacuation des eaux de pluie, la situation à la banlieue est d'Alger a été un tant soit peu maîtrisée. Les fortes pluies qui se sont abattues hier sur les différentes communes de wilaya d'Alger ont soulevé de nouveau la nécessité de mettre en place le plan national d'organisation des secours, Orsec. Si les vieilles communes d'Alger ont subi les conséquences de la vétusté des conduites d'évacuation des eaux de pluie, la situation à la banlieue est d'Alger a été un tant soit peu maîtrisée. Suite aux pluies torrentielles qui se abattues hier sur Alger et ses environs, les routes ont été coupées à la circulation à travers les grandes artères ; des flaques d'eau d'un demi mètre se sont été également formées un peu partout gênant ainsi la circulation des automobilistes et des passants. A cause de la vétusté des conduites d'évacuation des eaux de pluie, de nombreuses ruelles de la capitale ont été submergées. Fort heureusement, on n'a pas déploré de pertes humaines ni d'importants dégâts matériels. La vulnérabilité des réseaux d'assainissement a été flagrante dans une vingtaine sur les 57 communes de la capitale, où le spectre de la catastrophe de Bab El-Oued de 2002 ne cesse de hanter les esprits des familles. Les autorités locales sont confrontées à d'énormes difficultés pour venir en aide aux familles sinistrées, comme c'était le cas lors des inondations de la semaine dernière à Belouizdad où l'évacuation de deux familles occupant un vétuste immeuble a nécessité la conjugaison des efforts des corps constitués. Pareillement, l'APC de Bab El oued a failli échouer lors d'un sauvetage d'une famille habitant une maison menaçant ruine à la Casbah. Ce sont les familles en attente de relogement dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire qui sont exposées à ces dangers. Par contre, dans les communes d'Alger-est, de Bab Ezzouar à Sidi Moussa, les services techniques se sont révélés bien outillés et ont effectué de très efficaces interventions au niveau de plusieurs sites précaires et ce, en étroite collaboration avec la Protection civile. Cette situation d'intempéries préoccupe les responsables et les citoyens durant ces dernières années. Depuis les inondations de Bab El Oued en 2002 et le séisme du 21 mai 2003, les plans d'organisation de secours, Orsec, ne sont pas, dans la quasi-totalité des 1.541 communes du territoire national, en mesure de faire face à des situations de catastrophes naturelles. Les causes sont multiples. Mais le déficit en moyens matériels et encadrement technique est la principale et la plus déterminante cause. Pourtant, dans le plan quinquennal de développement 2010-2014, sur les 286 milliards de dinars octoyés, une importante partie est consacrée à la pose de divers réseaux d'assainissement, notamment la rénovation et la réalisation des conduites d'évacuation des eaux de pluie. L'élaboration de plans d'Orsec s'impose comme la priorité des priorités en matière de prévention contre les catastrophes naturelles. A ce sujet, il a été préconisé récemment que la contribution des APC à l'enrichissement du plan Orsec national est requise dans le souci d'envisager des méthodes pratiques et des solutions idoines. Suite aux pluies torrentielles qui se abattues hier sur Alger et ses environs, les routes ont été coupées à la circulation à travers les grandes artères ; des flaques d'eau d'un demi mètre se sont été également formées un peu partout gênant ainsi la circulation des automobilistes et des passants. A cause de la vétusté des conduites d'évacuation des eaux de pluie, de nombreuses ruelles de la capitale ont été submergées. Fort heureusement, on n'a pas déploré de pertes humaines ni d'importants dégâts matériels. La vulnérabilité des réseaux d'assainissement a été flagrante dans une vingtaine sur les 57 communes de la capitale, où le spectre de la catastrophe de Bab El-Oued de 2002 ne cesse de hanter les esprits des familles. Les autorités locales sont confrontées à d'énormes difficultés pour venir en aide aux familles sinistrées, comme c'était le cas lors des inondations de la semaine dernière à Belouizdad où l'évacuation de deux familles occupant un vétuste immeuble a nécessité la conjugaison des efforts des corps constitués. Pareillement, l'APC de Bab El oued a failli échouer lors d'un sauvetage d'une famille habitant une maison menaçant ruine à la Casbah. Ce sont les familles en attente de relogement dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire qui sont exposées à ces dangers. Par contre, dans les communes d'Alger-est, de Bab Ezzouar à Sidi Moussa, les services techniques se sont révélés bien outillés et ont effectué de très efficaces interventions au niveau de plusieurs sites précaires et ce, en étroite collaboration avec la Protection civile. Cette situation d'intempéries préoccupe les responsables et les citoyens durant ces dernières années. Depuis les inondations de Bab El Oued en 2002 et le séisme du 21 mai 2003, les plans d'organisation de secours, Orsec, ne sont pas, dans la quasi-totalité des 1.541 communes du territoire national, en mesure de faire face à des situations de catastrophes naturelles. Les causes sont multiples. Mais le déficit en moyens matériels et encadrement technique est la principale et la plus déterminante cause. Pourtant, dans le plan quinquennal de développement 2010-2014, sur les 286 milliards de dinars octoyés, une importante partie est consacrée à la pose de divers réseaux d'assainissement, notamment la rénovation et la réalisation des conduites d'évacuation des eaux de pluie. L'élaboration de plans d'Orsec s'impose comme la priorité des priorités en matière de prévention contre les catastrophes naturelles. A ce sujet, il a été préconisé récemment que la contribution des APC à l'enrichissement du plan Orsec national est requise dans le souci d'envisager des méthodes pratiques et des solutions idoines.