"Le partenariat algéro-jordanien est sur la bonne voie et augure de projets de développement importants et mutuellement bénéfiques" indiquent les opérateurs économiques des deux pays. Une délégation d'opérateurs économiques jordaniens séjourne actuellement à Alger à la recherche d'opportunités d'affaires et de partenariats avec leurs homologues algeriens dans le secteur de BTPH et d'industrie de matériaux de construction et ce, sur invitation de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA). Un forum algéro-jordanien a été ouvert dans ce sens, hier, au siège de l'Agence nationale de commerce extérieur (Algex). "Nous sommes disposés à apporter notre expérience de portée internationale dans la réalisation des programmes de logements en Algerie" a déclaré, Naceri Nazal, chef de la délégation et membre de la confédération jordanienne d'entrepreneurs économiques, lors d'une conférence de presse organisée conjointement en marge du forum, avec Kheloufi Mouloud, président de l'AGEA. C'est ainsi qu'il a souligné la maîtrise des techniques de réalisation acquises par les entreprises jordaniennes à l'intérieur du pays et à l'extérieur. Et ce, en termes, selon lui, de délais de réalisation et de qualité des logements construits, citant les capacités de réalisation d'un opérateur jordanien installé au Maroc. "Il arrive à construire 15 logements par mois, réalisant un chiffre d'affaires de 6 milliards de dollars" a-t-il ajouté. Cet ancien étudiant de l'Ecole polytechnique d'El Harrach des années 70 n'a pas manqué de mettre l'accent sur la volonté des entreprises jordaniennes qui l'accompagnent (au nombre de 7) de contribuer à la realisation des programmes de logements prevus dans le plan quinquennal 2010 /2014. M Kheloufi Mouloud a insisté, quant à lui, sur l'intérêt de construire des relations de partenariats avec des entreprises étrangères dans le secteur du BTPH et d'industrie de matériaux de construction. "Dans le cadre de l'application du nouveau code des marchés publics qui vient de d'entrer en vigueur, nous voulons aller vers des opérateurs étrangers pour construire de vraies relations de partenariat et de transfert des technologies et de savoir-faire" a-t-il ajouté, prévoyant d'autres forums avec notamment les hommes d'affaires syriens, turcs et espagnols. Selon lui, les entreprises algériennes qui activent dans le secteur ne sont pas suffisamment outillées en termes de gestion des entreprises, d'exécution des travaux de qualité ainsi que dans la fabrication des matériaux de construction. Ce type de rencontres entre les opérateurs économiques algériens et étrangers va résoudre progressivement, dit-il, la problématique de la professionnalisation dont souffre le secteur en termes notamment d'augmentation des capacités de production. C'est ainsi que la carence de logistique selon les normes internationales est également signalée par M. Kheloufi qui lance un appel aux banques pour accorder des crédits dans ce sens aux entreprises en partenariat avec le FGAR, a-t-il ajouté. C'est pourquoi le projet de réalisation de mille logements en charpente métallique constitue, a-t-il ajouté, un enjeu de taille qui nécessite l'apport de nouvelles techniques et de savoir-faire dans le cadre de partenariats avec des investisseurs internationaux en général et arabe en particulier. "Nous allons nous rendre en Jordanie en février ou mars 2011 pour rencontrer de nouveau ces entrepreneurs et concrétiser ce partenariat algero-jordanien dans le secteur du BTPH sur des bases solides" a-t-il indiqué, mettant en évidence l'installation d'une commission de suivi des projets qui seront retenus dans ce cadre là. Parmi les sept opérateurs jordaniens, certains se sont rendus, hier, sur des sites de production pour découvrir les réalisations algériennes et connaître les capacités de réalisation de logements de leurs homologues algériens, alors que d'autres se rendront aujourd'hui sur d'autres réalisations situées à Blida et Tipasa. La formation de cadres et d'ingénieurs pourrait constituer aussi un volet important de coopération scientifique et technique entre les deux parties, sachant que l'Algérie entretient de bonnes relations avec la Jordanie dans la collaboration dans le domaine des cultures maraîchères. "Le partenariat algéro-jordanien est sur la bonne voie et augure de projets de développement importants et mutuellement bénéfiques" indiquent les opérateurs économiques des deux pays. Une délégation d'opérateurs économiques jordaniens séjourne actuellement à Alger à la recherche d'opportunités d'affaires et de partenariats avec leurs homologues algeriens dans le secteur de BTPH et d'industrie de matériaux de construction et ce, sur invitation de l'Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA). Un forum algéro-jordanien a été ouvert dans ce sens, hier, au siège de l'Agence nationale de commerce extérieur (Algex). "Nous sommes disposés à apporter notre expérience de portée internationale dans la réalisation des programmes de logements en Algerie" a déclaré, Naceri Nazal, chef de la délégation et membre de la confédération jordanienne d'entrepreneurs économiques, lors d'une conférence de presse organisée conjointement en marge du forum, avec Kheloufi Mouloud, président de l'AGEA. C'est ainsi qu'il a souligné la maîtrise des techniques de réalisation acquises par les entreprises jordaniennes à l'intérieur du pays et à l'extérieur. Et ce, en termes, selon lui, de délais de réalisation et de qualité des logements construits, citant les capacités de réalisation d'un opérateur jordanien installé au Maroc. "Il arrive à construire 15 logements par mois, réalisant un chiffre d'affaires de 6 milliards de dollars" a-t-il ajouté. Cet ancien étudiant de l'Ecole polytechnique d'El Harrach des années 70 n'a pas manqué de mettre l'accent sur la volonté des entreprises jordaniennes qui l'accompagnent (au nombre de 7) de contribuer à la realisation des programmes de logements prevus dans le plan quinquennal 2010 /2014. M Kheloufi Mouloud a insisté, quant à lui, sur l'intérêt de construire des relations de partenariats avec des entreprises étrangères dans le secteur du BTPH et d'industrie de matériaux de construction. "Dans le cadre de l'application du nouveau code des marchés publics qui vient de d'entrer en vigueur, nous voulons aller vers des opérateurs étrangers pour construire de vraies relations de partenariat et de transfert des technologies et de savoir-faire" a-t-il ajouté, prévoyant d'autres forums avec notamment les hommes d'affaires syriens, turcs et espagnols. Selon lui, les entreprises algériennes qui activent dans le secteur ne sont pas suffisamment outillées en termes de gestion des entreprises, d'exécution des travaux de qualité ainsi que dans la fabrication des matériaux de construction. Ce type de rencontres entre les opérateurs économiques algériens et étrangers va résoudre progressivement, dit-il, la problématique de la professionnalisation dont souffre le secteur en termes notamment d'augmentation des capacités de production. C'est ainsi que la carence de logistique selon les normes internationales est également signalée par M. Kheloufi qui lance un appel aux banques pour accorder des crédits dans ce sens aux entreprises en partenariat avec le FGAR, a-t-il ajouté. C'est pourquoi le projet de réalisation de mille logements en charpente métallique constitue, a-t-il ajouté, un enjeu de taille qui nécessite l'apport de nouvelles techniques et de savoir-faire dans le cadre de partenariats avec des investisseurs internationaux en général et arabe en particulier. "Nous allons nous rendre en Jordanie en février ou mars 2011 pour rencontrer de nouveau ces entrepreneurs et concrétiser ce partenariat algero-jordanien dans le secteur du BTPH sur des bases solides" a-t-il indiqué, mettant en évidence l'installation d'une commission de suivi des projets qui seront retenus dans ce cadre là. Parmi les sept opérateurs jordaniens, certains se sont rendus, hier, sur des sites de production pour découvrir les réalisations algériennes et connaître les capacités de réalisation de logements de leurs homologues algériens, alors que d'autres se rendront aujourd'hui sur d'autres réalisations situées à Blida et Tipasa. La formation de cadres et d'ingénieurs pourrait constituer aussi un volet important de coopération scientifique et technique entre les deux parties, sachant que l'Algérie entretient de bonnes relations avec la Jordanie dans la collaboration dans le domaine des cultures maraîchères.