Les prix du pétrole ouvraient les séances de cotations, hier mardi, en légère progression, poussés par un affaiblissement de la monnaie américaine dans un contexte empreint de prudence avant un éventuel assouplissement monétaire supplémentaire de la Réserve fédérale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en décembre) s'échangeait à 84,82 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, en hausse de 20 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le Mercantile Exchange de New York (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le même contrat prenait 41 cents à 83,36 dollars. Les cours du brut poursuivaient leur nette hausse de la veille, qui avait été alimentée par des indicateurs témoignant de l'accélération plus importante que prévue de l'activité industrielle en Chine comme aux Etats-Unis, les deux plus gros consommateurs de brut de la planète. Le marché était par ailleurs soutenu hier dans son élan, par une rechute du dollar, sur lequel une hausse inattendue du taux d'intérêt directeur de la Banque centrale d'Australie a contribué à accroître la pression. Aussi, un recul de la devise américaine rend plus attractifs les achats de pétrole libellés en dollars pour les investisseurs détenant d'autres devises. Les prix du pétrole ouvraient les séances de cotations, hier mardi, en légère progression, poussés par un affaiblissement de la monnaie américaine dans un contexte empreint de prudence avant un éventuel assouplissement monétaire supplémentaire de la Réserve fédérale américaine (Fed). Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en décembre) s'échangeait à 84,82 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, en hausse de 20 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le Mercantile Exchange de New York (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le même contrat prenait 41 cents à 83,36 dollars. Les cours du brut poursuivaient leur nette hausse de la veille, qui avait été alimentée par des indicateurs témoignant de l'accélération plus importante que prévue de l'activité industrielle en Chine comme aux Etats-Unis, les deux plus gros consommateurs de brut de la planète. Le marché était par ailleurs soutenu hier dans son élan, par une rechute du dollar, sur lequel une hausse inattendue du taux d'intérêt directeur de la Banque centrale d'Australie a contribué à accroître la pression. Aussi, un recul de la devise américaine rend plus attractifs les achats de pétrole libellés en dollars pour les investisseurs détenant d'autres devises.