Alors que les voix qui s'élevaient pour réclamer le projet de criminalisation du colonialisme se sont remarquablement tues ces derniers mois, le président de la Coordination nationale des enfants de chouhada (Cnec) monte au créneau et menace d'investir la rue. Animant une conférence de presse, hier, à la maison de la presse Tahar-Djaout à Alger, Khaled Bounedjma s'est dit « déterminé plus que jamais à saisir la justice sur le projet de criminalisation du colonialisme français afin que ce dernier reconnaisse ses atrocités commises durant la guerre d'Algérie ». Cette action, selon Bounedjma, sera précédée par le lancement de plusieurs campagnes de sensibilisation sur le territoire national, et qui porterons, a-t-il expliqué, sur la sensibilisation des jeunes Algériens sur les crimes commis par le colonisateur français. « Les campagnes débuteront jeudi à partir de Bechar et Tébessa », a-t-il indiqué, avant d'ajouter qu'une marche aura lieu le 18 février prochain, date coïncidant avec la Journée nationale du chahid, vers le siège de l'Assemblée populaire nationale (APN). Il a annoncé par là même, un sit-in qui sera organisé pour revendiquer la réactualisation du projet de loi criminalisant le colonialisme. Dans ce sens, le président de la CNEC rejoint le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, en réclamant l'organisation d'un référendum sur la question. Pour cela, le conférencier a annoncé la tenue d'une rencontre, mercredi prochain, au siège de la Coordination pour discuter de cette option avec des juristes et des experts en la matière. Par ailleurs, Khaled Bounedjma a rappelé la polémique autour des essais nucléaires français en Algérie qui constituent, a-t-il estimé, « un argument de plus pour aller de l'avant ». A ce titre, « des enregistrements montrant la barbarie du colonisateur ainsi que des photos seront diffusés prochainement sur Internet » a-t-il fait savoir. Alors que les voix qui s'élevaient pour réclamer le projet de criminalisation du colonialisme se sont remarquablement tues ces derniers mois, le président de la Coordination nationale des enfants de chouhada (Cnec) monte au créneau et menace d'investir la rue. Animant une conférence de presse, hier, à la maison de la presse Tahar-Djaout à Alger, Khaled Bounedjma s'est dit « déterminé plus que jamais à saisir la justice sur le projet de criminalisation du colonialisme français afin que ce dernier reconnaisse ses atrocités commises durant la guerre d'Algérie ». Cette action, selon Bounedjma, sera précédée par le lancement de plusieurs campagnes de sensibilisation sur le territoire national, et qui porterons, a-t-il expliqué, sur la sensibilisation des jeunes Algériens sur les crimes commis par le colonisateur français. « Les campagnes débuteront jeudi à partir de Bechar et Tébessa », a-t-il indiqué, avant d'ajouter qu'une marche aura lieu le 18 février prochain, date coïncidant avec la Journée nationale du chahid, vers le siège de l'Assemblée populaire nationale (APN). Il a annoncé par là même, un sit-in qui sera organisé pour revendiquer la réactualisation du projet de loi criminalisant le colonialisme. Dans ce sens, le président de la CNEC rejoint le président du Front national algérien (FNA), Moussa Touati, en réclamant l'organisation d'un référendum sur la question. Pour cela, le conférencier a annoncé la tenue d'une rencontre, mercredi prochain, au siège de la Coordination pour discuter de cette option avec des juristes et des experts en la matière. Par ailleurs, Khaled Bounedjma a rappelé la polémique autour des essais nucléaires français en Algérie qui constituent, a-t-il estimé, « un argument de plus pour aller de l'avant ». A ce titre, « des enregistrements montrant la barbarie du colonisateur ainsi que des photos seront diffusés prochainement sur Internet » a-t-il fait savoir.