Une réaction urgente et énergique de la part des autorités locales est plus que recommandée pour étudier sérieusement ce dossier épineux afin de se prémunir de drames similaires à ceux de Bab El-Oued et Ghardaïa. Une réaction urgente et énergique de la part des autorités locales est plus que recommandée pour étudier sérieusement ce dossier épineux afin de se prémunir de drames similaires à ceux de Bab El-Oued et Ghardaïa. Les intempéries qui ont sévi au milieu de la semaine dernière sur la wilaya de Jijel ont causé, outre des dégâts aux infrastructures routières, l'inondation de dizaines d'habitations construites notamment le long des berges d'oueds et en terrain inondable. A ce titre, les oueds, réputés pour leurs crues en période hivernale, au niveau du chef-lieu de wilaya, sont ceux de Moutasse et El-Kantara. Quant aux zones potentiellement dangereuses, il n'est un secret pour personne que le site de Rabta est considéré comme un terrain où le risque d'inondation est accru pour ceux qui y ont élu domicile. D'aucuns estiment que les crues d'oueds et les inondations des habitations se sont multipliées ces dernières années à Jijel, accentuant ainsi les risques sur la vie des familles vivant dans et autour des ces lieux. Il est clair que cela relance, bien entendu, le débat autour des plans d'urbanisme locaux, à savoir sur la responsabilité de la mairie et de l'Etat dans l'attribution de permis de construire dans de tels endroits. Devant l'immobilisme des autorités locales pour mettre un terme à la construction d'habitations érigées le long des berges de l'oued El-Kantara et Moutasse, les risques augmentent pour les occupants de ces lieux, qui, un jour ou l'autre, risquent d'être emportés par une grande crue si rien n'est fait pour les délocaliser. On retiendra ici que des mesures de démolition d'habitations construites au niveau des berges de certains oueds traversant la commune de Jijel devaient avoir lieu les années dernières, mais en vain. Une réaction urgente et énergique de la part des autorités locales est plus que recommandée pour étudier sérieusement ce dossier épineux afin de se prémunir de drames similaires à ceux de Bab El-Oued et Ghardaïa. Une campagne de sensibilisation, entreprise en direction des citoyens de la région afin d'éviter toute construction à l'avenir dans les zones inondables et sur les berges d'Oueds est nécessaire. Les intempéries qui ont sévi au milieu de la semaine dernière sur la wilaya de Jijel ont causé, outre des dégâts aux infrastructures routières, l'inondation de dizaines d'habitations construites notamment le long des berges d'oueds et en terrain inondable. A ce titre, les oueds, réputés pour leurs crues en période hivernale, au niveau du chef-lieu de wilaya, sont ceux de Moutasse et El-Kantara. Quant aux zones potentiellement dangereuses, il n'est un secret pour personne que le site de Rabta est considéré comme un terrain où le risque d'inondation est accru pour ceux qui y ont élu domicile. D'aucuns estiment que les crues d'oueds et les inondations des habitations se sont multipliées ces dernières années à Jijel, accentuant ainsi les risques sur la vie des familles vivant dans et autour des ces lieux. Il est clair que cela relance, bien entendu, le débat autour des plans d'urbanisme locaux, à savoir sur la responsabilité de la mairie et de l'Etat dans l'attribution de permis de construire dans de tels endroits. Devant l'immobilisme des autorités locales pour mettre un terme à la construction d'habitations érigées le long des berges de l'oued El-Kantara et Moutasse, les risques augmentent pour les occupants de ces lieux, qui, un jour ou l'autre, risquent d'être emportés par une grande crue si rien n'est fait pour les délocaliser. On retiendra ici que des mesures de démolition d'habitations construites au niveau des berges de certains oueds traversant la commune de Jijel devaient avoir lieu les années dernières, mais en vain. Une réaction urgente et énergique de la part des autorités locales est plus que recommandée pour étudier sérieusement ce dossier épineux afin de se prémunir de drames similaires à ceux de Bab El-Oued et Ghardaïa. Une campagne de sensibilisation, entreprise en direction des citoyens de la région afin d'éviter toute construction à l'avenir dans les zones inondables et sur les berges d'Oueds est nécessaire.