L'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) a explicitement brandi la menace de paralyser l'ensemble des campus à Constantine dans un communiqué publié hier. L'organisation estudiantine qui a, par la même occasion, dressé un tableau noir sur la situation pédagogique qui caractérise la rentrée2010-2011, a, et par plusieurs fois, organisé des actions protestataires pour dénoncer les conditions socio-pédagogiques qui prévalent à l'université des frères Mentouri. Dans ce communiqué, il est question de battre le pavé et d'observer un arrêt des cours général à travers les différentes facultés et instituts qui pourrait survenir au courant de cette semaine. Cette solution extrême s'offre, a priori, comme l'ultime option après que l'ensemble des organisations estudiantines auraient épuisé toutes les voies pour attirer l'attention de l'administration sur une rentrée, qualifiée de chaotique. De guerre lasse, et devant l'absence de résultats à leurs actions menées séparément, les formations estudiantines ont finalement décidé d'unir leurs rangs. C'est ainsi que l'UNEA, l'UGEL, l'Union générale des étudiants et la ligue nationale des étudiants, mettant de côté leurs divergences, ont crée la coordination de wilaya qui veut s'élever d'une même voix contre les conditions déplorables auxquelles sont soumis les étudiants. L'urgence étant d'aplanir les innombrables difficultés que la communauté universitaire dénonçaient depuis déjà des années et particulièrement depuis cette rentrée. Autant l'UNEA que l'UGEL n'ont eu de cesse de mettre le doigt sur des manquements et défaillances relevées en matière d'hébergement, de restauration, de transport et du cursus universitaire dans certaines filières. A l'université de Constantine, il ne se passe pas un jour sans qu'un mouvement de protestation soit déclenché. Le boycott des cours, les sit-in, le blocage des entrées des résidences « U » sont devenues légion depuis le mois de septembre. D'ailleurs à l'heure où nous mettons sous presse, la protesta gagne du terrain sur les campus Tidjani et Zerzara à cause des critères de sélection pour le master. La coordination qui a laissé deviner son approche de tous ces problèmes dans un premier communiqué est, maintenant, déterminée à changer de stratégie. L'Union nationale des étudiants algériens (UNEA) a explicitement brandi la menace de paralyser l'ensemble des campus à Constantine dans un communiqué publié hier. L'organisation estudiantine qui a, par la même occasion, dressé un tableau noir sur la situation pédagogique qui caractérise la rentrée2010-2011, a, et par plusieurs fois, organisé des actions protestataires pour dénoncer les conditions socio-pédagogiques qui prévalent à l'université des frères Mentouri. Dans ce communiqué, il est question de battre le pavé et d'observer un arrêt des cours général à travers les différentes facultés et instituts qui pourrait survenir au courant de cette semaine. Cette solution extrême s'offre, a priori, comme l'ultime option après que l'ensemble des organisations estudiantines auraient épuisé toutes les voies pour attirer l'attention de l'administration sur une rentrée, qualifiée de chaotique. De guerre lasse, et devant l'absence de résultats à leurs actions menées séparément, les formations estudiantines ont finalement décidé d'unir leurs rangs. C'est ainsi que l'UNEA, l'UGEL, l'Union générale des étudiants et la ligue nationale des étudiants, mettant de côté leurs divergences, ont crée la coordination de wilaya qui veut s'élever d'une même voix contre les conditions déplorables auxquelles sont soumis les étudiants. L'urgence étant d'aplanir les innombrables difficultés que la communauté universitaire dénonçaient depuis déjà des années et particulièrement depuis cette rentrée. Autant l'UNEA que l'UGEL n'ont eu de cesse de mettre le doigt sur des manquements et défaillances relevées en matière d'hébergement, de restauration, de transport et du cursus universitaire dans certaines filières. A l'université de Constantine, il ne se passe pas un jour sans qu'un mouvement de protestation soit déclenché. Le boycott des cours, les sit-in, le blocage des entrées des résidences « U » sont devenues légion depuis le mois de septembre. D'ailleurs à l'heure où nous mettons sous presse, la protesta gagne du terrain sur les campus Tidjani et Zerzara à cause des critères de sélection pour le master. La coordination qui a laissé deviner son approche de tous ces problèmes dans un premier communiqué est, maintenant, déterminée à changer de stratégie.