Les prix du pétrole se repliaient lundi en début d'échanges européens, pénalisés par un renchérissement de la monnaie américaine, après avoir atteint un nouveau plus haut niveau depuis deux ans à New York. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 87,75 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, reculant de 36 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance semblable baissait de 27 cents à 86,58 dollars. Le WTI, qui a renoué depuis une semaine avec ses niveaux de l'automne 2008, est monté à 87,49 dollars, son plus fort niveau depuis plus de deux ans. Il se repliait cependant vivement quelques heures plus tard dans le sillage d'un net renchérissement du billet vert, propre à rendre moins attractives pour les acheteurs détenant d'autres devises les matières premières libellées en dollars, tel le pétrole. Les chiffres bien meilleurs qu'attendu du rapport mensuel sur l'emploi américain, publiés vendredi, "ont généré de l'optimisme parmi les investisseurs spéculatifs, étant donné que cela pourrait raviver la demande pétrolière des Etats-Unis, premier consommateur mondial", notaient les experts. L'euro accentuait lundi son recul sous le seuil de 1,40 dollar pliant sous la pression d'un regain d'inquiétudes sur la santé budgétaire de certains pays de la zone euro tandis que la devise américaine profitait quant à elle toujours de l'impact positif des chiffres de l'emploi, confortant ses gains. Les prix du pétrole se repliaient lundi en début d'échanges européens, pénalisés par un renchérissement de la monnaie américaine, après avoir atteint un nouveau plus haut niveau depuis deux ans à New York. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 87,75 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, reculant de 36 cents par rapport à la clôture de vendredi. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance semblable baissait de 27 cents à 86,58 dollars. Le WTI, qui a renoué depuis une semaine avec ses niveaux de l'automne 2008, est monté à 87,49 dollars, son plus fort niveau depuis plus de deux ans. Il se repliait cependant vivement quelques heures plus tard dans le sillage d'un net renchérissement du billet vert, propre à rendre moins attractives pour les acheteurs détenant d'autres devises les matières premières libellées en dollars, tel le pétrole. Les chiffres bien meilleurs qu'attendu du rapport mensuel sur l'emploi américain, publiés vendredi, "ont généré de l'optimisme parmi les investisseurs spéculatifs, étant donné que cela pourrait raviver la demande pétrolière des Etats-Unis, premier consommateur mondial", notaient les experts. L'euro accentuait lundi son recul sous le seuil de 1,40 dollar pliant sous la pression d'un regain d'inquiétudes sur la santé budgétaire de certains pays de la zone euro tandis que la devise américaine profitait quant à elle toujours de l'impact positif des chiffres de l'emploi, confortant ses gains.