Dans un contexte économique mondial porté par des craintes inflationnistes en Chine et un regain d'inquiétudes sur la santé budgétaire des pays les plus endettés de la zone euro, les prix de la quasi-totalité des matières premières ont été pénalisés à l'exception des cours des métaux précieux. Les prix du pétrole poursuivaient leur chute vendredi dernier en fin d'échanges européens, après être montés la semaine dernière à leur plus haut niveau en deux ans, sur un marché plombé par des inquiétudes sur un possible resserrement de la politique monétaire chinoise. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 86,75 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, contre 87,81 dollars une semaine plus tôt. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance identique dégringolait à 85,50 dollars, contre 86,46 dollars le vendredi précédent. Pour les alimentaires, les prix du sucre et du café ont grimpé à de nouveaux sommets cette semaine, portés par des craintes sur l'offre, avant de perdre du terrain au gré d'un raffermissement du billet vert, tandis que le cacao repartait à la hausse. Les prix du soja et du maïs ont atteint de nouveaux sommets en plus de deux ans au cours de la semaine écoulée à Chicago après la publication du rapport mensuel du département de l'Agriculture mardi, avant de se replier en fin de semaine. Le métal gris a terminé à 26,79 dollars l'once vendredi contre 26,14 dollars une semaine auparavant. Pour ce qui est des métaux de base échangés au London Metal Exchange (LME), leurs cours ont poursuivi leur progression cette semaine, le cuivre et l'étain montant même à des records historiques après des indicateurs chinois positifs, avant un brusque repli du marché vendredi. Dans un contexte économique mondial porté par des craintes inflationnistes en Chine et un regain d'inquiétudes sur la santé budgétaire des pays les plus endettés de la zone euro, les prix de la quasi-totalité des matières premières ont été pénalisés à l'exception des cours des métaux précieux. Les prix du pétrole poursuivaient leur chute vendredi dernier en fin d'échanges européens, après être montés la semaine dernière à leur plus haut niveau en deux ans, sur un marché plombé par des inquiétudes sur un possible resserrement de la politique monétaire chinoise. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre s'échangeait à 86,75 dollars sur l'InterContinental Exchange de Londres, contre 87,81 dollars une semaine plus tôt. Sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) à échéance identique dégringolait à 85,50 dollars, contre 86,46 dollars le vendredi précédent. Pour les alimentaires, les prix du sucre et du café ont grimpé à de nouveaux sommets cette semaine, portés par des craintes sur l'offre, avant de perdre du terrain au gré d'un raffermissement du billet vert, tandis que le cacao repartait à la hausse. Les prix du soja et du maïs ont atteint de nouveaux sommets en plus de deux ans au cours de la semaine écoulée à Chicago après la publication du rapport mensuel du département de l'Agriculture mardi, avant de se replier en fin de semaine. Le métal gris a terminé à 26,79 dollars l'once vendredi contre 26,14 dollars une semaine auparavant. Pour ce qui est des métaux de base échangés au London Metal Exchange (LME), leurs cours ont poursuivi leur progression cette semaine, le cuivre et l'étain montant même à des records historiques après des indicateurs chinois positifs, avant un brusque repli du marché vendredi.