Les Algériens ne peuvent oublier la catastrophe qui a secoué Bab El-Oued le 10 novembre 2001 où le chiffre de plus de 706 morts ont été annoncés par les autorités et ce qu'au niveau de la capitale, un chiffre effrayant qui avait choqué la société civile. Neuf ans après cet évènement a-t-on retenu la leçon ? Aujourd'hui, jour pour jour, le cauchemar reste présent dans les esprits des citoyens qui craignent la répétition de ce scénario ou des pluies torrentielles, vents forts et grêles avaient été de mise ce jour-là, ajoutant à cela l'état des canalisations. L'hécatombe de Bab El-Oued, lorsque d'importants dégâts humains et matériaux ont été enregistrés, dont la dévastation du marché de Triolet. Des centaines de vies humaines (hommes, femmes, enfants) ont péri sous les décombres des immeubles et les flots d'eaux déchaînés qui ont déracinés les arbres des quartiers de cette commune. A côté, des milliers de familles se sont retrouvés à la rue privées de tout. Causes météorologiques ou fautes humaines... les autorités ont néanmoins tout fait pour remédier à cette situation. En effet, suite à cette catastrophe, quelques décisions et réglementations portant sur l'aménagement urbain ont été prises et mises en pratique afin d'éviter une autre catastrophe. Cependant et au jour d'aujourd'hui les mêmes craintes demeurent et les citoyens vivent avec la hantise des iniondations. Cette peut est omniprésente avec les conditions climatiques que connaîssent actuellement les villes du pays dont la wilaya d'Alger. Les APC de la capitale se disent prêtes à affronter toute condition climatique, cela par le fait de la surveillance permanente des canalisations des villes, l'entretien des infrastructures et l'application de la loi. Pourtant, il faut rappeler que ces pluies automnales ont été la cause de plus d'une vingtaine de victimes, dont cinq personnes à Bab El-Oued. Ce qui laisse planer le risque d'une autre catastrophe qui pourrait cette fois être encore plus dramatique. Les Algériens ne peuvent oublier la catastrophe qui a secoué Bab El-Oued le 10 novembre 2001 où le chiffre de plus de 706 morts ont été annoncés par les autorités et ce qu'au niveau de la capitale, un chiffre effrayant qui avait choqué la société civile. Neuf ans après cet évènement a-t-on retenu la leçon ? Aujourd'hui, jour pour jour, le cauchemar reste présent dans les esprits des citoyens qui craignent la répétition de ce scénario ou des pluies torrentielles, vents forts et grêles avaient été de mise ce jour-là, ajoutant à cela l'état des canalisations. L'hécatombe de Bab El-Oued, lorsque d'importants dégâts humains et matériaux ont été enregistrés, dont la dévastation du marché de Triolet. Des centaines de vies humaines (hommes, femmes, enfants) ont péri sous les décombres des immeubles et les flots d'eaux déchaînés qui ont déracinés les arbres des quartiers de cette commune. A côté, des milliers de familles se sont retrouvés à la rue privées de tout. Causes météorologiques ou fautes humaines... les autorités ont néanmoins tout fait pour remédier à cette situation. En effet, suite à cette catastrophe, quelques décisions et réglementations portant sur l'aménagement urbain ont été prises et mises en pratique afin d'éviter une autre catastrophe. Cependant et au jour d'aujourd'hui les mêmes craintes demeurent et les citoyens vivent avec la hantise des iniondations. Cette peut est omniprésente avec les conditions climatiques que connaîssent actuellement les villes du pays dont la wilaya d'Alger. Les APC de la capitale se disent prêtes à affronter toute condition climatique, cela par le fait de la surveillance permanente des canalisations des villes, l'entretien des infrastructures et l'application de la loi. Pourtant, il faut rappeler que ces pluies automnales ont été la cause de plus d'une vingtaine de victimes, dont cinq personnes à Bab El-Oued. Ce qui laisse planer le risque d'une autre catastrophe qui pourrait cette fois être encore plus dramatique.