La reprise des cours, fixée pour le 26 septembre dernier, est encore reportée pour diverses raisons alors que les examens sont programmés à partir du mois de janvier et que les vacances d'hiver débuteront le 16 décembre. La reprise des cours, fixée pour le 26 septembre dernier, est encore reportée pour diverses raisons alors que les examens sont programmés à partir du mois de janvier et que les vacances d'hiver débuteront le 16 décembre. La rentrée universitaire de cette année 2010- 2011 a connu un retard de plus d'un mois. À l'université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene de Bab-Ezzouar, l'Université d'Alger 1 Ben-Youcef Ben-Khedda, la faculté de droit de Ben Aknoun, la faculté de médecine d'Alger-Centre ou l'université des lettres et langues de Bouzareah, le même retard a été déploré. Effectivement, les étudiants à Alger ne savent d'ailleurs pas encore quand les cours débuteront enfin. Et pour cause la date n'est pas encore été fixée à cause des grèves itératives, que ce soit de la part de l'Union générale des étudiants libres (Ugel) ou de la part des enseignants. Pourtant, la reprise des cours était fixée pour le 26 septembre dernier tandis que les examens sont au programme à partir du mois de janvier tout en sachant que les vacances d'hiver débuteront le 16 décembre au soir et s'étaleront jusqu'au 27 janvier 2010. Ces dates ont été fixées par l'arrêté n° 619 du 31 octobre 2010 portant le calendrier des vacances universitaires au titre de l'année universitaire 2010-2011. Il est à noter aussi que l'université se réserve le droit de modifier ce calendrier en cas de nécessité. Et c'est le cas puisque les étudiants n'ont pas encore commencé les cours. Au département d'anglais de l'université de lettres et langues de Bouzareah les inscriptions ne sont pas encore finies. Elles vont se poursuivre, toutefois, jusqu'à après les fêtes de l'Aïd pour ceux qui refont l'année. « On va se retrouver avec des cours accélérés afin d'entamer le programme du premier semestre avant les examens. C'est sûr qu'on ne peut pas faire face et qu'on va être mal préparés pour cette épreuve sachant que nos enseignants sont très exigeants et sans pitié », déplore S. B. une jeune étudiante en troisième année anglais. Et d'ajouter : « Les étudiants des autres spécialités, notamment ceux de sociologie, ont bien débuté leurss cours alors que nous on est très en retard ». En réalité, le début de l'enseignement universitaire à Alger a toujours accusé du retard. Les administrations, les enseignants tout comme les étudiants ont toujours une bonne excuse pour justifier ces retards à l'exemple du mois de Ramadhan. Etudiants et enseignants s'accusent mutuellement se rejetant la responsabilité. Après le mois de Ramadhan, c'est depuis le retour des grèves. À cette allure l'année scolaire est réduite à un peu plus de cinq mois d'études au maximum si on élimine les vacances d'hiver, de printemps et les périodes d'examens sans compter les jours fériés. Une période beaucoup trop courte pour espèrer une année fructueuse en matière de résultats. La rentrée universitaire de cette année 2010- 2011 a connu un retard de plus d'un mois. À l'université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene de Bab-Ezzouar, l'Université d'Alger 1 Ben-Youcef Ben-Khedda, la faculté de droit de Ben Aknoun, la faculté de médecine d'Alger-Centre ou l'université des lettres et langues de Bouzareah, le même retard a été déploré. Effectivement, les étudiants à Alger ne savent d'ailleurs pas encore quand les cours débuteront enfin. Et pour cause la date n'est pas encore été fixée à cause des grèves itératives, que ce soit de la part de l'Union générale des étudiants libres (Ugel) ou de la part des enseignants. Pourtant, la reprise des cours était fixée pour le 26 septembre dernier tandis que les examens sont au programme à partir du mois de janvier tout en sachant que les vacances d'hiver débuteront le 16 décembre au soir et s'étaleront jusqu'au 27 janvier 2010. Ces dates ont été fixées par l'arrêté n° 619 du 31 octobre 2010 portant le calendrier des vacances universitaires au titre de l'année universitaire 2010-2011. Il est à noter aussi que l'université se réserve le droit de modifier ce calendrier en cas de nécessité. Et c'est le cas puisque les étudiants n'ont pas encore commencé les cours. Au département d'anglais de l'université de lettres et langues de Bouzareah les inscriptions ne sont pas encore finies. Elles vont se poursuivre, toutefois, jusqu'à après les fêtes de l'Aïd pour ceux qui refont l'année. « On va se retrouver avec des cours accélérés afin d'entamer le programme du premier semestre avant les examens. C'est sûr qu'on ne peut pas faire face et qu'on va être mal préparés pour cette épreuve sachant que nos enseignants sont très exigeants et sans pitié », déplore S. B. une jeune étudiante en troisième année anglais. Et d'ajouter : « Les étudiants des autres spécialités, notamment ceux de sociologie, ont bien débuté leurss cours alors que nous on est très en retard ». En réalité, le début de l'enseignement universitaire à Alger a toujours accusé du retard. Les administrations, les enseignants tout comme les étudiants ont toujours une bonne excuse pour justifier ces retards à l'exemple du mois de Ramadhan. Etudiants et enseignants s'accusent mutuellement se rejetant la responsabilité. Après le mois de Ramadhan, c'est depuis le retour des grèves. À cette allure l'année scolaire est réduite à un peu plus de cinq mois d'études au maximum si on élimine les vacances d'hiver, de printemps et les périodes d'examens sans compter les jours fériés. Une période beaucoup trop courte pour espèrer une année fructueuse en matière de résultats.