le gouvernement sahraoui a estimé que le nombre de morts se chiffre par dizaines, alors que celui des blessés avoisine les 4.500 personnes avec plus de 2 mille détenus. La situation au Sahara Occidental devient plus préoccupante, jour après jour. le gouvernement sahraoui a estimé que le nombre de morts se chiffre par dizaines, alors que celui des blessés avoisine les 4.500 personnes avec plus de 2 mille détenus. La situation au Sahara Occidental devient plus préoccupante, jour après jour. La situation dans la capitale occupée du Sahara Occidental, El Ayoun, n'a, apparemment, pas changé. Assiégée, la population se retrouve entre quatre murs interdite de sortie tandis que les forces d'occupation marocaines campent à chaque bout de rue. Les témoignages continuent d'affluer. Les Sahraouis, eux, résistent pour «survivre». Alors qu'El Ayoun est plongée dans le noir total, dépourvue de tout moyen d'alimentation ou de communication, la police s'est mise au «noir». En effet, selon les mêmes témoins, les forces de sécurité marocaines, présentes dans les rues de la capitale occupée, sont habillées en noir, circulant dans des véhicules Toyota 4x4 de couleur noire et pour couronner le tout, ont tous mis des cagoules noires. Une manière, qui doit-on dire, leur permet d'agir en toute liberté, sans que les auteurs des exactions soient identifiés. Une semaine après l'assaut « barbare» perpétré par les différents corps sécuritaires marocains, sur le camp de Gdaim Izik, à 12 km à l'est de la ville d'El Ayoun, bien que la situation reste encore confuse, les témoignages de la population sahraouie sont bouleversants. Un témoin, raconte la militante sahraouie Mme Aminatou Haidar, lui a écrit que « le 8 novembre, dans le matin, j'ai trouvé le corps du citoyen sahraoui Brahim Ould Nayem Daoudi, 40 ans, dans un hôpital militaire dans les territoires occupés d'El Ayoun, à côté du corps du jeune Brahim Gargar (citoyen espagnol avec un nom espagnol) écrasé et battu à mort par les forces de répression marocaines». Et de poursuivre: « Il est également apparu le corps d'un autre jeune homme non identifié âgé de 21 ans ». La nouvelle de la mort de Brahim Ould Nayem Daoudi a été confirmée, hier, par les autorités sahraouies. A cet effet, a rapporté l'Agence de presse sahraouie (SPS), « le corps d'un homme sahraoui (40 ans), mort sous la torture a été retrouvé vendredi par sa famille dans une morgue d'un des hôpitaux de la capitale sahraouie occupée (El Ayoun) ». Selon un proche de la victime, cité par SPS. « Les traces de torture sont bien visibles sur toutes les parties du corps » de feu Daoudi Brahim Ould Najm dont la mort remonte à « deux ou trois jours ». La base militaire de la ville marocaine de Guleimim, a-t-on confirmé, aurait reçu des dizaines de corps des victimes sahraouies ces derniers jours. S'agissant du sort réservé aux centaines de disparus, aucune information n'a été encore divulgué à leur sujet, a-t-on appris. Le nombre de victimes confirmée qui était de 19 s'est élevée ainsi à 21 morts, après le décès de Daoudi Brahim Ould Najm et Ely Salem El Ansari qui ont succombé à leurs blessures mercredi dernier à Agadir, a ajouté SPS. En tout, le gouvernement sahraoui a estimé que le nombre de morts se chiffre par dizaines, alors que celui des blessés avoisine les 4.500 personnes avec plus de 2 mille détenus. La situation au Sahara Occidental devient plus préoccupante, jour après jour. Alors que les appels de l'opinion internationale à « arrêter ce massacre » affluent, les Sahraouis, eux, pendant ce temps, a-t-on souligné, comptent leur morts, essayant tant bien que mal de survivre. La situation dans la capitale occupée du Sahara Occidental, El Ayoun, n'a, apparemment, pas changé. Assiégée, la population se retrouve entre quatre murs interdite de sortie tandis que les forces d'occupation marocaines campent à chaque bout de rue. Les témoignages continuent d'affluer. Les Sahraouis, eux, résistent pour «survivre». Alors qu'El Ayoun est plongée dans le noir total, dépourvue de tout moyen d'alimentation ou de communication, la police s'est mise au «noir». En effet, selon les mêmes témoins, les forces de sécurité marocaines, présentes dans les rues de la capitale occupée, sont habillées en noir, circulant dans des véhicules Toyota 4x4 de couleur noire et pour couronner le tout, ont tous mis des cagoules noires. Une manière, qui doit-on dire, leur permet d'agir en toute liberté, sans que les auteurs des exactions soient identifiés. Une semaine après l'assaut « barbare» perpétré par les différents corps sécuritaires marocains, sur le camp de Gdaim Izik, à 12 km à l'est de la ville d'El Ayoun, bien que la situation reste encore confuse, les témoignages de la population sahraouie sont bouleversants. Un témoin, raconte la militante sahraouie Mme Aminatou Haidar, lui a écrit que « le 8 novembre, dans le matin, j'ai trouvé le corps du citoyen sahraoui Brahim Ould Nayem Daoudi, 40 ans, dans un hôpital militaire dans les territoires occupés d'El Ayoun, à côté du corps du jeune Brahim Gargar (citoyen espagnol avec un nom espagnol) écrasé et battu à mort par les forces de répression marocaines». Et de poursuivre: « Il est également apparu le corps d'un autre jeune homme non identifié âgé de 21 ans ». La nouvelle de la mort de Brahim Ould Nayem Daoudi a été confirmée, hier, par les autorités sahraouies. A cet effet, a rapporté l'Agence de presse sahraouie (SPS), « le corps d'un homme sahraoui (40 ans), mort sous la torture a été retrouvé vendredi par sa famille dans une morgue d'un des hôpitaux de la capitale sahraouie occupée (El Ayoun) ». Selon un proche de la victime, cité par SPS. « Les traces de torture sont bien visibles sur toutes les parties du corps » de feu Daoudi Brahim Ould Najm dont la mort remonte à « deux ou trois jours ». La base militaire de la ville marocaine de Guleimim, a-t-on confirmé, aurait reçu des dizaines de corps des victimes sahraouies ces derniers jours. S'agissant du sort réservé aux centaines de disparus, aucune information n'a été encore divulgué à leur sujet, a-t-on appris. Le nombre de victimes confirmée qui était de 19 s'est élevée ainsi à 21 morts, après le décès de Daoudi Brahim Ould Najm et Ely Salem El Ansari qui ont succombé à leurs blessures mercredi dernier à Agadir, a ajouté SPS. En tout, le gouvernement sahraoui a estimé que le nombre de morts se chiffre par dizaines, alors que celui des blessés avoisine les 4.500 personnes avec plus de 2 mille détenus. La situation au Sahara Occidental devient plus préoccupante, jour après jour. Alors que les appels de l'opinion internationale à « arrêter ce massacre » affluent, les Sahraouis, eux, pendant ce temps, a-t-on souligné, comptent leur morts, essayant tant bien que mal de survivre.