C'est, malheureusement, devenu une tradition en Algérie que la plupart des échoppes baissent leurs rideaux durant les deux jours de l'Aïd. C'est, malheureusement, devenu une tradition en Algérie que la plupart des échoppes baissent leurs rideaux durant les deux jours de l'Aïd. L'Aïd El Adha, d'ailleurs comme toutes les fêtes religieuses, est de nos jours, synonyme de stress chez le citoyen qui craint la pénurie de plusieurs produits de première nécessité. Le lait, le pain et même, faut-il le souligner, les médicaments, font courir les algériens. C'est, malheureusement, devenu une tradition en Algérie que la plupart des échoppes baissent leurs rideaux durant les deux jours de l'Aïd. Le citoyen, quant à lui, ne peut que se prémunir contre ces habituelles pénuries en recourrant au stockage. «Je n'ai pas un congélateur, donc je dois me lever très tôt pour assurer une baguette de pain sur ma table » dira un quadragénaire. Quelques rares ménagères se voient, au lieu de célébrer l'évènement, contraints à préparer le pain. Pour palier à ces tracas, le ministère du commerce a rendu public, hier, la liste des boulangers réquisitionné pour le premier et deuxième jour de l'aid avec le risque de retrait de registre de commerces pour les commerçants «récalcitrants». Les petits, pour leur part, doivent se lever tôt pour se permettre une baguette.Il y a lieu de citer que l'épicier du coin n'ouvre non plus pas son commerce durant cette fête. Quelques un échappent à la règle mais ne peuvent toutefois pas satisfaire tout le monde. « L'Aïd El Fitr précédent j'ai fais 5 communes pour acheter du pain » se plaint un citoyen. « A Bir Mourad Raïs, j'ai passé plus d'une heure pour acheter un sachet de lait » renchérit un autre. En outre, il est utile de se demander, durant cette période, où acheter une boite de médicament. Heureusement d'ailleurs que les hôpitaux ouvrent les portes. Par ailleurs, autres problèmes ne manquent pas l'évènement pour faire apparition à l'instar de ceux des transports qui, rappelons-le, ne couvrent pas toute la demande durant les journées « ordinaires ». L'Aïd El Adha, d'ailleurs comme toutes les fêtes religieuses, est de nos jours, synonyme de stress chez le citoyen qui craint la pénurie de plusieurs produits de première nécessité. Le lait, le pain et même, faut-il le souligner, les médicaments, font courir les algériens. C'est, malheureusement, devenu une tradition en Algérie que la plupart des échoppes baissent leurs rideaux durant les deux jours de l'Aïd. Le citoyen, quant à lui, ne peut que se prémunir contre ces habituelles pénuries en recourrant au stockage. «Je n'ai pas un congélateur, donc je dois me lever très tôt pour assurer une baguette de pain sur ma table » dira un quadragénaire. Quelques rares ménagères se voient, au lieu de célébrer l'évènement, contraints à préparer le pain. Pour palier à ces tracas, le ministère du commerce a rendu public, hier, la liste des boulangers réquisitionné pour le premier et deuxième jour de l'aid avec le risque de retrait de registre de commerces pour les commerçants «récalcitrants». Les petits, pour leur part, doivent se lever tôt pour se permettre une baguette.Il y a lieu de citer que l'épicier du coin n'ouvre non plus pas son commerce durant cette fête. Quelques un échappent à la règle mais ne peuvent toutefois pas satisfaire tout le monde. « L'Aïd El Fitr précédent j'ai fais 5 communes pour acheter du pain » se plaint un citoyen. « A Bir Mourad Raïs, j'ai passé plus d'une heure pour acheter un sachet de lait » renchérit un autre. En outre, il est utile de se demander, durant cette période, où acheter une boite de médicament. Heureusement d'ailleurs que les hôpitaux ouvrent les portes. Par ailleurs, autres problèmes ne manquent pas l'évènement pour faire apparition à l'instar de ceux des transports qui, rappelons-le, ne couvrent pas toute la demande durant les journées « ordinaires ».