Les protéines sont réputées pour « tenir au corps ». Mais à côté de la viande et du poisson, d'autres familles d'aliments jouent un rôle très important sur les mécanismes de la satiété. Les protéines sont réputées pour « tenir au corps ». Mais à côté de la viande et du poisson, d'autres familles d'aliments jouent un rôle très important sur les mécanismes de la satiété. Légumes frais : Leur fort pouvoir rassasiant est d'abord lié à leur composition : ils ont en effet l'avantage de contenir beaucoup d'eau, et occupent donc un volume important pour une faible valeur calorique. Ils sont également riches en fibres solubles et insolubles : tandis que les unes ralentissent la digestion, les autres se gorgent d'eau et gonflent comme des éponges dans l'estomac. Crus, ils nous obligent en outre à mastiquer, ce qui accélère l'arrivée du rassasiement. Cuits, ils sont plus digestes et leurs fibres attendries sont mieux tolérées par les intestins fragiles. L'idéal est de jouer sur la variété. Céréales complètes et légumes secs : Ces deux groupes d'aliments ont en commun d'être riches en fibres et d'avoir un faible index glycémique. En clair, ils contiennent des glucides qui sont digérés lentement dans l'estomac, ce qui ralentit le temps de passage du sucre dans le sang, évite les pics de glycémie et, finalement, prolonge la période de satiété. L'eau : Elle n'a pas un effet durable sur la satiété, mais constitue un excellent coupe-faim naturel et rapide, pour un apport calorique nul. Un grand verre d'eau fraîche permet de résister à la tentation de prendre une viennoiserie en fin de matinée ou dans l'après-midi. Et, bu juste avant le repas, il permet d'éviter de se jeter sur les plats. Rien n'empêche, pour lui donner du goût et de « l'allure », de l'agrémenter d'une rondelle de citron, d'un filet de jus d'orange, de quelques feuilles de menthe et, chaleur oblige, d'un peu de glace pilée. Légumes frais : Leur fort pouvoir rassasiant est d'abord lié à leur composition : ils ont en effet l'avantage de contenir beaucoup d'eau, et occupent donc un volume important pour une faible valeur calorique. Ils sont également riches en fibres solubles et insolubles : tandis que les unes ralentissent la digestion, les autres se gorgent d'eau et gonflent comme des éponges dans l'estomac. Crus, ils nous obligent en outre à mastiquer, ce qui accélère l'arrivée du rassasiement. Cuits, ils sont plus digestes et leurs fibres attendries sont mieux tolérées par les intestins fragiles. L'idéal est de jouer sur la variété. Céréales complètes et légumes secs : Ces deux groupes d'aliments ont en commun d'être riches en fibres et d'avoir un faible index glycémique. En clair, ils contiennent des glucides qui sont digérés lentement dans l'estomac, ce qui ralentit le temps de passage du sucre dans le sang, évite les pics de glycémie et, finalement, prolonge la période de satiété. L'eau : Elle n'a pas un effet durable sur la satiété, mais constitue un excellent coupe-faim naturel et rapide, pour un apport calorique nul. Un grand verre d'eau fraîche permet de résister à la tentation de prendre une viennoiserie en fin de matinée ou dans l'après-midi. Et, bu juste avant le repas, il permet d'éviter de se jeter sur les plats. Rien n'empêche, pour lui donner du goût et de « l'allure », de l'agrémenter d'une rondelle de citron, d'un filet de jus d'orange, de quelques feuilles de menthe et, chaleur oblige, d'un peu de glace pilée.