Des associations françaises ont appelé à la constitution « rapide » d'une mission internationale pour faire un rapport sur la situation des droits de l'Homme au Sahara Occidental « y compris sur le démantèlement du camp de Gdeim Izik le 8 novembre dernier ». Dans leur appel adressé à la ministre française des Affaires étrangères, elles estiment que cette mission « pourrait ainsi émettre des recommandations sur le rôle de la Minurso (mission de l'Onu pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental) concernant la protection de l'homme », dans la région. Les auteurs de l'appel, parmi lesquels le directeur "France" de Human Rights Watch, relèvent que la Minurso est la seule mission de maintien de la paix de l'Onu établi (dans la région) depuis 1991 à ne pas avoir une composante "droits de l'Homme" dans son mandat. Ils appellent, à cet effet, la France à « soutenir publiquement la proposition de certains membres du Conseil de sécurité d'inclure la surveillance et la protection dans le mandat de la Minurso », et de « faire pression pour que les résolutions des Nations unies concernant les droits de l'Homme au Sahara occidental soient respectés par le Maroc ». Ils demandent aussi au gouvernement français d'« insister auprès du gouvernement marocain afin qu'il permette l'accès à la région d'El Ayoun aux organisations et aux médias afin qu'ils puissent évaluer la situation et apporter des informations sur les évènements récents » de Gdeim Izik Des associations françaises ont appelé à la constitution « rapide » d'une mission internationale pour faire un rapport sur la situation des droits de l'Homme au Sahara Occidental « y compris sur le démantèlement du camp de Gdeim Izik le 8 novembre dernier ». Dans leur appel adressé à la ministre française des Affaires étrangères, elles estiment que cette mission « pourrait ainsi émettre des recommandations sur le rôle de la Minurso (mission de l'Onu pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental) concernant la protection de l'homme », dans la région. Les auteurs de l'appel, parmi lesquels le directeur "France" de Human Rights Watch, relèvent que la Minurso est la seule mission de maintien de la paix de l'Onu établi (dans la région) depuis 1991 à ne pas avoir une composante "droits de l'Homme" dans son mandat. Ils appellent, à cet effet, la France à « soutenir publiquement la proposition de certains membres du Conseil de sécurité d'inclure la surveillance et la protection dans le mandat de la Minurso », et de « faire pression pour que les résolutions des Nations unies concernant les droits de l'Homme au Sahara occidental soient respectés par le Maroc ». Ils demandent aussi au gouvernement français d'« insister auprès du gouvernement marocain afin qu'il permette l'accès à la région d'El Ayoun aux organisations et aux médias afin qu'ils puissent évaluer la situation et apporter des informations sur les évènements récents » de Gdeim Izik