La rentrée universitaire 2010-2011 s'avère être des plus catastrophiques, selon les organisations estudiantines. Les appels de ces dernières se sont multipliés depuis la rentrée à l'adresse du ministère de tutelle pour intervenir en urgence afin de désamorcer une situation jugée critique dans les campus. La rentrée universitaire 2010-2011 s'avère être des plus catastrophiques, selon les organisations estudiantines. Les appels de ces dernières se sont multipliés depuis la rentrée à l'adresse du ministère de tutelle pour intervenir en urgence afin de désamorcer une situation jugée critique dans les campus. C'est dans ce sens que trois de ces organisations, à savoir l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), l'Union générale des étudiants algériens (UGEA) et la Ligue nationale des étudiants algériens (LNEA) annoncent une grève générale à l'université Mentouri de Constantine. Les protestataires déplorent entre autres la non autorisation des étudiants de Master à s'inscrire en plus des grandes difficultés qu'ils trouvent pour accéder aux services d'hébergement et de restauration, ainsi que de l'attitude de la présidence de l'université qui, selon un communiqué, « fait fi du décret ministériel du 11 octobre 2010 relatif à l'inscription des étudiants issus du système classique dans les premières classes de Master ». Le bureau de wilaya de l'UNEA de Béchar lance de son côté un préavis de grève pour demain, afin, dit-il de « réhabiliter l'étudiant ». Les protestataires ont émis une plate-forme de revendications dans laquelle ils réclament notamment plus de moyens d'hébergement et de restauration dans les résidences universitaires, le transport et l'amélioration des moyens pédagogiques quasi inexistants dans les campus. Le bureau de wilaya de l'UNEA de Bordj Bou-Arréridj lui, annonce une journée de grève pour aujourd'hui. Ceux-là, ils déclament l'insuffisance de places pédagogiques notamment pour les étudiants de Master, le manque flagrant d'encadreurs, la mauvaise gestion administrative et la congestion des salles de classes. Le bureau de Sidi Bel-Abbès de son côté, déplore plusieurs insuffisances en matière d'hébergement, de restauration, de transport mais également sur le plan pédagogique. Outre l'insalubrité dans les sanitaires, les restaurants et les foyers dans les résidences universitaires, l'UNEA déplore l'insécurité qui règne dans les campus et le mépris affiché par l'administration qui ne répond toujours pas aux sollicitations des nouveaux bacheliers en matière d'hébergement bien que les cours aient déjà commencé. Par ailleurs, ces organisations estudiantines qui dénoncent l'absence d'un dialogue avec les responsables concernés pour trouver des solutions, semblent résolues à opter pour le débrayage comme ultime moyen de faire entendre leurs préoccupations. C'est dans ce sens que trois de ces organisations, à savoir l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), l'Union générale des étudiants algériens (UGEA) et la Ligue nationale des étudiants algériens (LNEA) annoncent une grève générale à l'université Mentouri de Constantine. Les protestataires déplorent entre autres la non autorisation des étudiants de Master à s'inscrire en plus des grandes difficultés qu'ils trouvent pour accéder aux services d'hébergement et de restauration, ainsi que de l'attitude de la présidence de l'université qui, selon un communiqué, « fait fi du décret ministériel du 11 octobre 2010 relatif à l'inscription des étudiants issus du système classique dans les premières classes de Master ». Le bureau de wilaya de l'UNEA de Béchar lance de son côté un préavis de grève pour demain, afin, dit-il de « réhabiliter l'étudiant ». Les protestataires ont émis une plate-forme de revendications dans laquelle ils réclament notamment plus de moyens d'hébergement et de restauration dans les résidences universitaires, le transport et l'amélioration des moyens pédagogiques quasi inexistants dans les campus. Le bureau de wilaya de l'UNEA de Bordj Bou-Arréridj lui, annonce une journée de grève pour aujourd'hui. Ceux-là, ils déclament l'insuffisance de places pédagogiques notamment pour les étudiants de Master, le manque flagrant d'encadreurs, la mauvaise gestion administrative et la congestion des salles de classes. Le bureau de Sidi Bel-Abbès de son côté, déplore plusieurs insuffisances en matière d'hébergement, de restauration, de transport mais également sur le plan pédagogique. Outre l'insalubrité dans les sanitaires, les restaurants et les foyers dans les résidences universitaires, l'UNEA déplore l'insécurité qui règne dans les campus et le mépris affiché par l'administration qui ne répond toujours pas aux sollicitations des nouveaux bacheliers en matière d'hébergement bien que les cours aient déjà commencé. Par ailleurs, ces organisations estudiantines qui dénoncent l'absence d'un dialogue avec les responsables concernés pour trouver des solutions, semblent résolues à opter pour le débrayage comme ultime moyen de faire entendre leurs préoccupations.