« On observera ce mardi (aujourd'hui) une grève suivie d'une protestation devant l'administration de la gare routière de Kharouba », c'est ce qu'a déclaré samedi dernier, Ibrahim Oueld Amri,l'un des membres du bureau national de l'Union nationale des transporteurs privés. M. Oueld Amri menace, en outre, de durcir le ton et de radicaliser le mouvement de protestation si leurs demandes ne sont pas prises au sérieux. En fait, cette démarche est une réaction à l'échec de cet organe à pouvoir négocier avec la Société de gestion de la gare routière d'Alger (Sogral) sur les tarifs appliqués pour l'exploitation des quais. Les transporteurs dénoncent ainsi les tarifs qui ont augmenté de 40 DA. M. Ibrahim Oueld Amri affirme qu'ils ont proposé d'autres solutions plus raisonnables mais sans toutefois arriver à un résultat satisfaisant pour les deux parties. Selon notre interlocuteur l'administration de Sogral a ignoré leurs demandes de revoir les nouvelles augmentations des frais de gestion des quais appliquées aux transporteurs et qui est jugée par ces derniers «exagérés ». Il est à noter que la Société de gestion de la gare routière d'Alger a doublé les frais de location du mètre carré pour les bureaux installés sur les lieux. Il est actuellement à 1.755 dinars alors qu'il était à 650 DA l'année dernière. Pour sa part, le président de la Fédération des transporteurs privés, Abdelkader Bouchrit a qualifié ceux qui appellent à la grève de « profiteurs ». Il affirme qu'ils ont pour objectif de se venger de l'administration qui n'a fait que faire appliquer de manière stricte le règlement. « Un règlement qui n'arrange pas certains transporteurs », a-t-il conclu. « On observera ce mardi (aujourd'hui) une grève suivie d'une protestation devant l'administration de la gare routière de Kharouba », c'est ce qu'a déclaré samedi dernier, Ibrahim Oueld Amri,l'un des membres du bureau national de l'Union nationale des transporteurs privés. M. Oueld Amri menace, en outre, de durcir le ton et de radicaliser le mouvement de protestation si leurs demandes ne sont pas prises au sérieux. En fait, cette démarche est une réaction à l'échec de cet organe à pouvoir négocier avec la Société de gestion de la gare routière d'Alger (Sogral) sur les tarifs appliqués pour l'exploitation des quais. Les transporteurs dénoncent ainsi les tarifs qui ont augmenté de 40 DA. M. Ibrahim Oueld Amri affirme qu'ils ont proposé d'autres solutions plus raisonnables mais sans toutefois arriver à un résultat satisfaisant pour les deux parties. Selon notre interlocuteur l'administration de Sogral a ignoré leurs demandes de revoir les nouvelles augmentations des frais de gestion des quais appliquées aux transporteurs et qui est jugée par ces derniers «exagérés ». Il est à noter que la Société de gestion de la gare routière d'Alger a doublé les frais de location du mètre carré pour les bureaux installés sur les lieux. Il est actuellement à 1.755 dinars alors qu'il était à 650 DA l'année dernière. Pour sa part, le président de la Fédération des transporteurs privés, Abdelkader Bouchrit a qualifié ceux qui appellent à la grève de « profiteurs ». Il affirme qu'ils ont pour objectif de se venger de l'administration qui n'a fait que faire appliquer de manière stricte le règlement. « Un règlement qui n'arrange pas certains transporteurs », a-t-il conclu.