Par rapport aux capacités de production installées, le déficit prend encore plus de relief, celui-ci étant de 50% pour l'agrégat, 70% pour le sable concassé et 50% pour l'enrochement, a précisé le DEM, indiquant que la wilaya compte 19 exploitations de substances minérales pour la production de matériaux de construction. Par rapport aux capacités de production installées, le déficit prend encore plus de relief, celui-ci étant de 50% pour l'agrégat, 70% pour le sable concassé et 50% pour l'enrochement, a précisé le DEM, indiquant que la wilaya compte 19 exploitations de substances minérales pour la production de matériaux de construction. La production d'agrégats dans la wilaya de Béjaïa connaît depuis quelques années une baisse notable en raison de la cessation d'activités de plusieurs carrières, selon la Direction de l'énergie et des mines (DEM), qui attribue la rétraction essentiellement à l'opposition des riverains. Seuls 339.803 m3 ont été produits depuis le début de l'année 2010, contre 583.917 m3 en 2009 et 744.825 en 2008, a révélé son premier responsable, signalant la même tendance pour ce qui est de la production des autres substances minérales, entre autres l'enrochement, le sable de carrière, l'argile ou le gypse, tous sujets à de fortes baisses durant cette période. Par rapport aux capacités de production installées, le déficit prend encore plus de relief, celui-ci étant de 50% pour l'agrégat, 70% pour le sable concassé et 50% pour l'enrochement, a précisé le DEM, indiquant que la wilaya compte 19 exploitations de substances minérales pour la production de matériaux de construction, notamment le calcaire pour agrégats et sable concassé, argile pour brique et céramique et le gypse pour le plâtre de construction. Globalement, "ce sont 18 carrières, titulaires de titres miniers et d'autorisations qui souffrent de blocages de citoyens ou d'associations, et qui n'arrivent toujours pas à démarrer", a souligné le responsable, notant que depuis la promulgation de la loi minière en 2001, l'Etat a accordé à la wilaya 32 titres miniers et 3 autorisations d'exploitation de carrières et sablières. Cette situation, induite par des "oppositions systématiques et souvent subjectives, freine considérablement le développement de la région", déplore la DEM. Conséquence : obligation faite aux entreprises locales de réalisation de s'approvisionner en produits de carrières à partir des autres wilayas. Un état de faits qui explique en partie les retards constatés sur les délais de réalisation des projets ou sur leurs surcoûts, selon la DEM. La production d'agrégats dans la wilaya de Béjaïa connaît depuis quelques années une baisse notable en raison de la cessation d'activités de plusieurs carrières, selon la Direction de l'énergie et des mines (DEM), qui attribue la rétraction essentiellement à l'opposition des riverains. Seuls 339.803 m3 ont été produits depuis le début de l'année 2010, contre 583.917 m3 en 2009 et 744.825 en 2008, a révélé son premier responsable, signalant la même tendance pour ce qui est de la production des autres substances minérales, entre autres l'enrochement, le sable de carrière, l'argile ou le gypse, tous sujets à de fortes baisses durant cette période. Par rapport aux capacités de production installées, le déficit prend encore plus de relief, celui-ci étant de 50% pour l'agrégat, 70% pour le sable concassé et 50% pour l'enrochement, a précisé le DEM, indiquant que la wilaya compte 19 exploitations de substances minérales pour la production de matériaux de construction, notamment le calcaire pour agrégats et sable concassé, argile pour brique et céramique et le gypse pour le plâtre de construction. Globalement, "ce sont 18 carrières, titulaires de titres miniers et d'autorisations qui souffrent de blocages de citoyens ou d'associations, et qui n'arrivent toujours pas à démarrer", a souligné le responsable, notant que depuis la promulgation de la loi minière en 2001, l'Etat a accordé à la wilaya 32 titres miniers et 3 autorisations d'exploitation de carrières et sablières. Cette situation, induite par des "oppositions systématiques et souvent subjectives, freine considérablement le développement de la région", déplore la DEM. Conséquence : obligation faite aux entreprises locales de réalisation de s'approvisionner en produits de carrières à partir des autres wilayas. Un état de faits qui explique en partie les retards constatés sur les délais de réalisation des projets ou sur leurs surcoûts, selon la DEM.