Les cours du pétrole enregistraient une légère baisse, hier à Londres, freinés par les gains empochés après leur forte hausse de la veille, qui les avaient portés à des plus hauts depuis deux semaines. Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en janvier) s'échangeait à 87,18 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 16 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier cédait 18 cents à 85,55 dollars. Le pétrole s'était nettement renchéri, lundi, dans un marché dominé par les tensions géopolitiques sur la péninsule coréenne et au Proche-Orient. Autre facteur de hausse des cours, la vague de froid qui touche le nord de l'Europe, entraînant des niveaux de froid record, un signe encourageant pour la demande de fioul de chauffage, notaient des analystes. Par ailleurs, les investisseurs guettaient mardi la publication aux Etats-Unis des estimations hebdomadaires des stocks de pétrole publiées par la fédération professionnelle américaine API, avant les chiffres officiels du Département de l'Energie (DoE), prévus aujourd'hui à la baisse. Les cours du pétrole enregistraient une légère baisse, hier à Londres, freinés par les gains empochés après leur forte hausse de la veille, qui les avaient portés à des plus hauts depuis deux semaines. Le baril de Brent de la mer du Nord (livraison en janvier) s'échangeait à 87,18 dollars sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 16 cents par rapport à la clôture de lundi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier cédait 18 cents à 85,55 dollars. Le pétrole s'était nettement renchéri, lundi, dans un marché dominé par les tensions géopolitiques sur la péninsule coréenne et au Proche-Orient. Autre facteur de hausse des cours, la vague de froid qui touche le nord de l'Europe, entraînant des niveaux de froid record, un signe encourageant pour la demande de fioul de chauffage, notaient des analystes. Par ailleurs, les investisseurs guettaient mardi la publication aux Etats-Unis des estimations hebdomadaires des stocks de pétrole publiées par la fédération professionnelle américaine API, avant les chiffres officiels du Département de l'Energie (DoE), prévus aujourd'hui à la baisse.