Le parti que dirige le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, dispose pour le moment d'un atout maître qui a pour nom la stabilité. Une stabilité et une homogénéité qui ont déjà fait leurs preuves puisqu'à titre d'illustration, le RND est parvenu à damer le pion au FLN alors qu'il ne disposait pas des mêmes armes que son rival. Le parti que dirige le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, dispose pour le moment d'un atout maître qui a pour nom la stabilité. Une stabilité et une homogénéité qui ont déjà fait leurs preuves puisqu'à titre d'illustration, le RND est parvenu à damer le pion au FLN alors qu'il ne disposait pas des mêmes armes que son rival. Les échéances électorales avancent à grands pas. Il ne reste plus, en effet, que moins d'une année et demi pour les élections législatives, prévues au printemps 2012, et presque deux années pour les élections locales, qui auront lieu à l'automne de la même année. C'est dire combien les partis politiques inscrivent d'ores et déjà leurs multiples démarches en direction de ces perspectives tant il est vrai que toute leur attention est centrée sur ces importantes échéances politiques. Autant dire que la course est déjà fort engagée, notamment entre les grosses écuries que sont le FLN, le RND et le MSP, soit les trois partis qui forment l'Alliance présidentielle, alors que les autres formations politiques ne désespèrent pas de glaner des points et consolider ainsi leurs positions sur l'échiquier politique national. « Nous devons nous y préparer sérieusement dès la fin de l'opération de renouvellement des bureaux des mouhafadhs » a indiqué, il y a juste quelques jours, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui s'exprimait devant les mouhafadhs et des membres du comité central lors d'une réunion consacrée à l'évaluation de l'opération de renouvellement des bureaux de kasmas. Le patron du FLN, fort conscient de l'enjeu de ces élections, n'ignore pas que la crise interne, qui secoue son parti, depuis quelques mois maintenant, est à même d'hypothéquer sérieusement ses chances de succès lors de ces joutes électorales. Le leadership du vieux parti sur la scène politique nationale, qui prévoit, il faut le préciser, depuis les élections de 2002, risque en effet d'être ébranlé si la crise interne persiste et ne trouve pas d'épilogue d'ici là. Or, au vu de la fracture qui est en train d'aller s'élargissant entre Belkhadem et ses partisans d'un côté et les opposants à la ligne politique du secrétaire général de l'autre, tout concorde à dire que le vieux parti se présentera à ces élections en rangs dispersés et miné par ces luttes intestines, ce qui, à l'évidence, pourra affaiblir ses chances de demeurer la première force politique du pays. Une aubaine pour son frère ennemi, le RND, qui pourra saisir cette opportunité pour revenir au premier plan et reprendre ainsi le leadership qu'il a perdu au profit de son rival lors des élections de 2002. Car le parti que dirige le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, dispose pour le moment d'un atout maître qui a pour nom la stabilité. Une stabilité et une homogénéité qui ont déjà fait leurs preuves puisqu'à titre d'illustration, le RND est parvenu à damer le pion au FLN alors qu'il ne disposait pas des mêmes armes que son rival. L'on se rappelle que lors des dernières élections, portant sur le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation, qui se sont déroulées, à la fin de l'année 2009, le RND a fait jeu égal avec le FLN, alors que le nombre d'élus locaux de ce dernier étaient nettement supérieurs. Ce succès du RND est dû aux luttes intestines qui déchiraient le FLN et ce sont ces mêmes déchirements qui risquent de lui jouer de mauvais tours en 2012 et ce au grand bonheur du RND. Ce d'autant que ce dernier pourra aussi profiter des divisions dans lesquelles s'est embourbé le MSP, qui a subi une grosse fracture avec la défection de l'aile dirigée par l'ex-ministre de l'Industrie, Abdelmadjid Menasra, qui a créé le Mouvement de la prédication et du changement, MPC. Les échéances électorales avancent à grands pas. Il ne reste plus, en effet, que moins d'une année et demi pour les élections législatives, prévues au printemps 2012, et presque deux années pour les élections locales, qui auront lieu à l'automne de la même année. C'est dire combien les partis politiques inscrivent d'ores et déjà leurs multiples démarches en direction de ces perspectives tant il est vrai que toute leur attention est centrée sur ces importantes échéances politiques. Autant dire que la course est déjà fort engagée, notamment entre les grosses écuries que sont le FLN, le RND et le MSP, soit les trois partis qui forment l'Alliance présidentielle, alors que les autres formations politiques ne désespèrent pas de glaner des points et consolider ainsi leurs positions sur l'échiquier politique national. « Nous devons nous y préparer sérieusement dès la fin de l'opération de renouvellement des bureaux des mouhafadhs » a indiqué, il y a juste quelques jours, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qui s'exprimait devant les mouhafadhs et des membres du comité central lors d'une réunion consacrée à l'évaluation de l'opération de renouvellement des bureaux de kasmas. Le patron du FLN, fort conscient de l'enjeu de ces élections, n'ignore pas que la crise interne, qui secoue son parti, depuis quelques mois maintenant, est à même d'hypothéquer sérieusement ses chances de succès lors de ces joutes électorales. Le leadership du vieux parti sur la scène politique nationale, qui prévoit, il faut le préciser, depuis les élections de 2002, risque en effet d'être ébranlé si la crise interne persiste et ne trouve pas d'épilogue d'ici là. Or, au vu de la fracture qui est en train d'aller s'élargissant entre Belkhadem et ses partisans d'un côté et les opposants à la ligne politique du secrétaire général de l'autre, tout concorde à dire que le vieux parti se présentera à ces élections en rangs dispersés et miné par ces luttes intestines, ce qui, à l'évidence, pourra affaiblir ses chances de demeurer la première force politique du pays. Une aubaine pour son frère ennemi, le RND, qui pourra saisir cette opportunité pour revenir au premier plan et reprendre ainsi le leadership qu'il a perdu au profit de son rival lors des élections de 2002. Car le parti que dirige le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, dispose pour le moment d'un atout maître qui a pour nom la stabilité. Une stabilité et une homogénéité qui ont déjà fait leurs preuves puisqu'à titre d'illustration, le RND est parvenu à damer le pion au FLN alors qu'il ne disposait pas des mêmes armes que son rival. L'on se rappelle que lors des dernières élections, portant sur le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation, qui se sont déroulées, à la fin de l'année 2009, le RND a fait jeu égal avec le FLN, alors que le nombre d'élus locaux de ce dernier étaient nettement supérieurs. Ce succès du RND est dû aux luttes intestines qui déchiraient le FLN et ce sont ces mêmes déchirements qui risquent de lui jouer de mauvais tours en 2012 et ce au grand bonheur du RND. Ce d'autant que ce dernier pourra aussi profiter des divisions dans lesquelles s'est embourbé le MSP, qui a subi une grosse fracture avec la défection de l'aile dirigée par l'ex-ministre de l'Industrie, Abdelmadjid Menasra, qui a créé le Mouvement de la prédication et du changement, MPC.