L'Italie veut montrer sa contribution à la guerre d'indépendance algérienne, son ambassade à Alger et l'Institut culturel italien organisent en effet le 7 décembre 2010 à l'hôtel El Aurassi à Alger et ce, à partir de 9h 00 un colloque international sous l'intitulé « Enrico Mattei et l'Algérie pendant la Guerre de Libération Nationale ». L'Italie veut montrer sa contribution à la guerre d'indépendance algérienne, son ambassade à Alger et l'Institut culturel italien organisent en effet le 7 décembre 2010 à l'hôtel El Aurassi à Alger et ce, à partir de 9h 00 un colloque international sous l'intitulé « Enrico Mattei et l'Algérie pendant la Guerre de Libération Nationale ». Placée sous le haut patronage du président de la république, cette manifestation est organisée en collaboration avec l'Office national de la culture et de l'information, de la Société Nationale Italienne des Hydrocarbures (ENI-Algérie) et de la Direction générale des archives nationales d'Algérie. Le colloque a pour but de vulgariser l'action d'un homme politique italien qui a ardemment défendu les positions du FLN relatives à l'indépendance de notre pays a-t-on expliqué hier lors d'une conférence de presse organisée au niveau de l'Institut culturel italien d'Alger. Outre des communications et des débats, le colloque comprend le recueil de témoignages de personnalités ayant côtoyé Enrico Mattei qui fut fondateur et Président de l'ENI de 1953 à 1962. Enrico Mattei naquit en 1906 dans les Marches en Italie et est mort en 1962. Sa mort survenue dans un accident d'avion, a été considérée comme suspecte par beaucoup. Elle avait inspiré du reste au cinéaste Francesco Rosi un film ayant pour titre «L'Affaire Mattei » (Il Caso Mattei), (Palme d'or au Festival de Cannes), un film qui réfutait la thèse de la mort accidentelle et qui faisait valoir la piste criminelle en ce sens que l'homme, en contrôlant le secteur de l'énergie en Italie, pouvait avoir remis en cause beaucoup d'intérêts. Le film « L'affaire Mattei » sera du reste projeté dans la soirée à la salle El Mouggar (à 19h00). A l'ouverture du colloque interviendra le Directeur de l'Institut Culturel Italien Maria Battaglia qui sera suivi par l'Ambassadeur d'Italie Giampaolo Cantini. On passera ensuite aux communications. Le volet communication Le volet communication avec débats comporte deux séances. La première qui s'étale de 9h 30 à 10h00 sera consacrée à la problématique de «L'Italie et la cause de l'indépendance algérienne». Me Ali Haroun, ancien membre du Haut Comité d'Etat, en animera une sous l'intitulé «le réseau de solidarité en Europe Occidentale», il cédera ensuite la tribune à Bruna Bagnato, professeur d'histoire des Relations Internationales à l'Université de Florence qui lui, traitera du thème de « L'Italie et la question algérienne : le Gouvernement, les partis et les forces sociales ». L'autre séance devant se dérouler de 10h 15 à 12 h00 traitera de la problématique suivante «La stratégie de Mattei en Afrique du Nord et le soutien à la cause nationale algérienne. Contacts et rencontres.». Bruna Bagnato aura à intervenir une seconde fois en donnant une communication sur «La politique de Mattei envers les pays producteurs et les rapports avec l'Afrique du Nord». Ce sera ensuite le tour de Lucia Nardi, responsable des relations Culturelles de l'Eni-Rome de nous parler de la «diplomatie parallèle» de l'ENI et le rôle des «hommes de Mattei» dans les pays de l'Afrique du Nord». Les communications de la matinée se clôtureront avec la projection d'une interview filmée d'un ancien «ambassadeur» envoyé spécial de Mattei pour les affaires pétrolières au Maghreb. Dans l'après-midi, elles reprendront entre 14h 00 et 15 h 00 avec l'intervention de Réda Malek, ancien chef du gouvernement, un des négociateurs d'Evian, d'Abdelhamid Mehri, ex, ministre du G.P.R.A. et d'Abdelmadjid Chikhi directeur des Archives nationales qui animeront une communication sur le thème «Les ressources du Sahara algérien dans les négociations d'Evian». Quant à Lucia Nardi et Noureddine Cherouati, PDG de SONATRACH, ils traiteront de «La politique du pétrole de Mattei et les rapports ENI-Sonatrach après l'Indépendance». Le volet témoignage Le volet témoignage comporte l'intervention de Daho Ould Kablia, ministre de l'Intérieur qui témoignera en tant qu'ancien membre du Malg (Ministère de l'Armement et des Liaisons Générales). D'autres parmi ses compagnons dans le même organisme de l'ALN le relaieront ainsi de Mohammed Kelladi, ancien DDR (Directeur Documentation et Recherches) au MALG, de Reda Rahal, de Jafar Skenazen et d'Ali Chérif Déroua, qui fut envoyé auprès de Nelson Mandela, président de l'ANC (Afrique du Sud) et de Schizano, président du F.R.E.L.I.M.O. (Mozambique). Placée sous le haut patronage du président de la république, cette manifestation est organisée en collaboration avec l'Office national de la culture et de l'information, de la Société Nationale Italienne des Hydrocarbures (ENI-Algérie) et de la Direction générale des archives nationales d'Algérie. Le colloque a pour but de vulgariser l'action d'un homme politique italien qui a ardemment défendu les positions du FLN relatives à l'indépendance de notre pays a-t-on expliqué hier lors d'une conférence de presse organisée au niveau de l'Institut culturel italien d'Alger. Outre des communications et des débats, le colloque comprend le recueil de témoignages de personnalités ayant côtoyé Enrico Mattei qui fut fondateur et Président de l'ENI de 1953 à 1962. Enrico Mattei naquit en 1906 dans les Marches en Italie et est mort en 1962. Sa mort survenue dans un accident d'avion, a été considérée comme suspecte par beaucoup. Elle avait inspiré du reste au cinéaste Francesco Rosi un film ayant pour titre «L'Affaire Mattei » (Il Caso Mattei), (Palme d'or au Festival de Cannes), un film qui réfutait la thèse de la mort accidentelle et qui faisait valoir la piste criminelle en ce sens que l'homme, en contrôlant le secteur de l'énergie en Italie, pouvait avoir remis en cause beaucoup d'intérêts. Le film « L'affaire Mattei » sera du reste projeté dans la soirée à la salle El Mouggar (à 19h00). A l'ouverture du colloque interviendra le Directeur de l'Institut Culturel Italien Maria Battaglia qui sera suivi par l'Ambassadeur d'Italie Giampaolo Cantini. On passera ensuite aux communications. Le volet communication Le volet communication avec débats comporte deux séances. La première qui s'étale de 9h 30 à 10h00 sera consacrée à la problématique de «L'Italie et la cause de l'indépendance algérienne». Me Ali Haroun, ancien membre du Haut Comité d'Etat, en animera une sous l'intitulé «le réseau de solidarité en Europe Occidentale», il cédera ensuite la tribune à Bruna Bagnato, professeur d'histoire des Relations Internationales à l'Université de Florence qui lui, traitera du thème de « L'Italie et la question algérienne : le Gouvernement, les partis et les forces sociales ». L'autre séance devant se dérouler de 10h 15 à 12 h00 traitera de la problématique suivante «La stratégie de Mattei en Afrique du Nord et le soutien à la cause nationale algérienne. Contacts et rencontres.». Bruna Bagnato aura à intervenir une seconde fois en donnant une communication sur «La politique de Mattei envers les pays producteurs et les rapports avec l'Afrique du Nord». Ce sera ensuite le tour de Lucia Nardi, responsable des relations Culturelles de l'Eni-Rome de nous parler de la «diplomatie parallèle» de l'ENI et le rôle des «hommes de Mattei» dans les pays de l'Afrique du Nord». Les communications de la matinée se clôtureront avec la projection d'une interview filmée d'un ancien «ambassadeur» envoyé spécial de Mattei pour les affaires pétrolières au Maghreb. Dans l'après-midi, elles reprendront entre 14h 00 et 15 h 00 avec l'intervention de Réda Malek, ancien chef du gouvernement, un des négociateurs d'Evian, d'Abdelhamid Mehri, ex, ministre du G.P.R.A. et d'Abdelmadjid Chikhi directeur des Archives nationales qui animeront une communication sur le thème «Les ressources du Sahara algérien dans les négociations d'Evian». Quant à Lucia Nardi et Noureddine Cherouati, PDG de SONATRACH, ils traiteront de «La politique du pétrole de Mattei et les rapports ENI-Sonatrach après l'Indépendance». Le volet témoignage Le volet témoignage comporte l'intervention de Daho Ould Kablia, ministre de l'Intérieur qui témoignera en tant qu'ancien membre du Malg (Ministère de l'Armement et des Liaisons Générales). D'autres parmi ses compagnons dans le même organisme de l'ALN le relaieront ainsi de Mohammed Kelladi, ancien DDR (Directeur Documentation et Recherches) au MALG, de Reda Rahal, de Jafar Skenazen et d'Ali Chérif Déroua, qui fut envoyé auprès de Nelson Mandela, président de l'ANC (Afrique du Sud) et de Schizano, président du F.R.E.L.I.M.O. (Mozambique).