La commune de Chabet El- Ameur, dans la wilaya de Boumerdès, accuse un grand retard en matière de développement. La population évolue dans un cadre de vie délétère dès lors que tous les projets lancés accusent du retard et la situation semble s'inscrire dans la durée. La commune de Chabet El- Ameur, dans la wilaya de Boumerdès, accuse un grand retard en matière de développement. La population évolue dans un cadre de vie délétère dès lors que tous les projets lancés accusent du retard et la situation semble s'inscrire dans la durée. Cette commune rurale enregistre un flagrant déficit en matière d'infrastructures de base. Sa population, qui avoisine les 40 mille habitants, se sent délaissée par les responsables locaux qui affichent un désintérêt total aux préoccupations de leurs concitoyens. Le chef-lieu de la commune est loin d'être un centre urbain digne de ce nom. Il offre une image d'une équipe communale défaillante. L'aménagement urbain est défaillant. Toutes les rues et ruelles de la ville sont défoncées, les quartiers et cités sont dans la gadoue, notamment en période de pluies. L'APC avait, en août 2009, transféré le marché des fruits et légumes qui se trouvait au boulevard du 1er-Novembre, centre-ville, pour entamer une opération d'aménagement urbain avec une enveloppe d'un million DA. Mais, à ce jour, rien n'a été fait sur le terrain et les automobilistes continuent d'endurer d'énormes difficultés pour y circuler. Ici, le squatt des lieux publics est légion. Plusieurs trottoirs sont squattés par des vendeurs à la sauvette et les piétons disputent la chaussée aux automobilistes. Un propriétaire de café a carrément squatté un trottoir et a fait l'extension de son commerce au grand dam des autorités locales. Outre cela, les infrastructures de base inscrites au profit de ladite commune sont soit à l'arrêt soit non lancées encore. Les travaux du projet de l'extension du siège de l'APC ont été suspendus en raison de la découverte de caves dans le sous-sol, ce qui contraint les responsables de l'APC à réévaluer l'étude du projet, ce qui constitue une entrave pour l'avancement du projet et pour dégager une rallonge financière. Le projet du nouveau lycée a été, à plusieurs reprises, ajourné. Il a été maintenu récemment et les travaux ont été lancés. Ce projet, faut-il le dire, est attendu par les citoyens, notamment les élèves, du fait de la surcharge de l'actuel lycée dont la capacité est de 600 places pédagogiques. Actuellement, le nombre de lycéens dépasse les 900 et plusieurs classes roulantes sont créées afin d'assurer à tous les élèves la poursuite de leurs études. En dépit de son inscription en 2008, le projet d'une bibliothèque communale, tant attendu par les férus de la lecture, ne verra, certainement, pas le jour, en raison des difficultés trouvées dans le choix de terrain. Les travaux de la crèche sont depuis une année à l'arrêt en raison du manque de l'enveloppe financière. Elle a consommé près de 17 millions et elle est actuellement abandonnée pour devenir le fief des ratés de la société. La polyclinique du centre-ville est submergée journellement par des milliers de citoyens en raison d'absence de centres de soins au niveau de leurs localités. Trois projets de salles de soins sont à l'arrêt depuis 2006. Ils ont consommés plusieurs millions DA sans qu'aucune salle soit ouverte. Il s'agit des salles de soins d'Ouled Ali, d'Ouled Boudoukhane et d'Ouled Tafat. Récemment, l'APC a demandé des rallonges financières pour l'achèvement des projets. Les villageois sont durement pénalisés par un déficit en tout genre. Plusieurs villages sont isolés en raison de la dégradation des routes. A titre illustratif, la route reliant les villages Aït Saïd et Azzouza au chef-lieu communal est dans un état lamentable. Toutes les plaintes des habitants n'ont pas reçu l'écho escompté auprès des responsables locaux. Les villageois réclament l'amélioration de leur cadre de vie, notamment en cette période de froid glacial où plusieurs villages, particulièrement ceux situés sur la chaîne montagneuse Lala Messâad, sont isolés en raison des neiges. Par ailleurs, les mécanismes de développement initiés par le gouvernement à l'exemple du Plan de proximité et de développement rural intégré (PPDRI) ne tient pas bon coup dans cette localité rurale. Les habitants des zones rurales réclament de plus en plus d'aides au logement rural, qui est actuellement en souffrance en raison des lenteurs administratives criantes. L'APC a, par ailleurs, bénéficié de quatre milliards dans le cadre des PCD 2010, ce qui est insuffisant pour l'amorce des opérations de développement qui piétinent depuis plusieurs années. A noter que l'APC avait connu, en 2007, un blocage de l'assemblée qui a duré une année avant qu'un compromis n‘ait été trouvé entre deux formations politiques, le FLN et le RND. Cette commune rurale enregistre un flagrant déficit en matière d'infrastructures de base. Sa population, qui avoisine les 40 mille habitants, se sent délaissée par les responsables locaux qui affichent un désintérêt total aux préoccupations de leurs concitoyens. Le chef-lieu de la commune est loin d'être un centre urbain digne de ce nom. Il offre une image d'une équipe communale défaillante. L'aménagement urbain est défaillant. Toutes les rues et ruelles de la ville sont défoncées, les quartiers et cités sont dans la gadoue, notamment en période de pluies. L'APC avait, en août 2009, transféré le marché des fruits et légumes qui se trouvait au boulevard du 1er-Novembre, centre-ville, pour entamer une opération d'aménagement urbain avec une enveloppe d'un million DA. Mais, à ce jour, rien n'a été fait sur le terrain et les automobilistes continuent d'endurer d'énormes difficultés pour y circuler. Ici, le squatt des lieux publics est légion. Plusieurs trottoirs sont squattés par des vendeurs à la sauvette et les piétons disputent la chaussée aux automobilistes. Un propriétaire de café a carrément squatté un trottoir et a fait l'extension de son commerce au grand dam des autorités locales. Outre cela, les infrastructures de base inscrites au profit de ladite commune sont soit à l'arrêt soit non lancées encore. Les travaux du projet de l'extension du siège de l'APC ont été suspendus en raison de la découverte de caves dans le sous-sol, ce qui contraint les responsables de l'APC à réévaluer l'étude du projet, ce qui constitue une entrave pour l'avancement du projet et pour dégager une rallonge financière. Le projet du nouveau lycée a été, à plusieurs reprises, ajourné. Il a été maintenu récemment et les travaux ont été lancés. Ce projet, faut-il le dire, est attendu par les citoyens, notamment les élèves, du fait de la surcharge de l'actuel lycée dont la capacité est de 600 places pédagogiques. Actuellement, le nombre de lycéens dépasse les 900 et plusieurs classes roulantes sont créées afin d'assurer à tous les élèves la poursuite de leurs études. En dépit de son inscription en 2008, le projet d'une bibliothèque communale, tant attendu par les férus de la lecture, ne verra, certainement, pas le jour, en raison des difficultés trouvées dans le choix de terrain. Les travaux de la crèche sont depuis une année à l'arrêt en raison du manque de l'enveloppe financière. Elle a consommé près de 17 millions et elle est actuellement abandonnée pour devenir le fief des ratés de la société. La polyclinique du centre-ville est submergée journellement par des milliers de citoyens en raison d'absence de centres de soins au niveau de leurs localités. Trois projets de salles de soins sont à l'arrêt depuis 2006. Ils ont consommés plusieurs millions DA sans qu'aucune salle soit ouverte. Il s'agit des salles de soins d'Ouled Ali, d'Ouled Boudoukhane et d'Ouled Tafat. Récemment, l'APC a demandé des rallonges financières pour l'achèvement des projets. Les villageois sont durement pénalisés par un déficit en tout genre. Plusieurs villages sont isolés en raison de la dégradation des routes. A titre illustratif, la route reliant les villages Aït Saïd et Azzouza au chef-lieu communal est dans un état lamentable. Toutes les plaintes des habitants n'ont pas reçu l'écho escompté auprès des responsables locaux. Les villageois réclament l'amélioration de leur cadre de vie, notamment en cette période de froid glacial où plusieurs villages, particulièrement ceux situés sur la chaîne montagneuse Lala Messâad, sont isolés en raison des neiges. Par ailleurs, les mécanismes de développement initiés par le gouvernement à l'exemple du Plan de proximité et de développement rural intégré (PPDRI) ne tient pas bon coup dans cette localité rurale. Les habitants des zones rurales réclament de plus en plus d'aides au logement rural, qui est actuellement en souffrance en raison des lenteurs administratives criantes. L'APC a, par ailleurs, bénéficié de quatre milliards dans le cadre des PCD 2010, ce qui est insuffisant pour l'amorce des opérations de développement qui piétinent depuis plusieurs années. A noter que l'APC avait connu, en 2007, un blocage de l'assemblée qui a duré une année avant qu'un compromis n‘ait été trouvé entre deux formations politiques, le FLN et le RND.