Les Américains parlent aujourd'hui de promouvoir les intérêts mutuels avec leurs partenaires dans le monde. Il est question de renouer leurs relations avec les pays « amis et alliés » et renforcer davantage ces liens en ouvrant une « nouvelle page ». Ce sont là les propos du sous-secrétaire d'Etat américain chargé du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, Jeffry Feltman. « Le président Obama a pris des engagements pour renouer et promouvoir les intérêts mutuels avec les pays partenaires, amis et alliés », a-t-il indiqué, hier lors d'une conférence téléphonique organisée au siège de l'ambassade US à Alger et à laquelle ont été conviés cinq pays de la région, à savoir le Qatar, le Yémen, la Jordanie, le Liban et l'Egypte. De ce fait, il a estimé que la mise en ligne des quelques 250.000 documents/télégrammes diplomatiques secrets américains était « irresponsable », du fait des nuisances que apportées à la diplomatie US. Toutefois, a-t-il poursuivi, cela ne remet nullement en cause la politique extérieure américaine. Ce même responsable au département d'Etat a expliqué que les révélations de WikiLeaks n'ont pas été sans faire de dégâts. « WikiLeaks représente une attaque non seulement contre les Etats-Unis, mais également contre la communauté internationale », a-t-il déploré. Néanmoins, a-t-il affirmé, « nous œuvrons à renforcer nos mesures de sécurité pour éviter que ce genre de fuite ne vienne à avoir lieu dans l'avenir ». L'impact des fuites, faut-il le dire, a levé le voile sur plusieurs vérités au sujet de la volonté réelle et des coulisses diplomatiques américaines en sus de leur manière d'opérer. Ce qui a conduit, a-t-on dit, la Maison Blanche à exprimer ses regrets concernant la situation. « Il est important d'exprimer nos regrets à propos de ce qui s'est passé », a-t-elle souligné à ce propos. Le sous-secrétaire d'Etat américain, chargé du Moyen-orient et d'Afrique du Nord, a, en conclusion, fait savoir que son gouvernement a opté pour trois solutions/étapes, visant, a-t-il ajouté à « ne plus regarder vers le passé mais plutôt se focaliser sur l'avenir ». «Nous allons nous orienter vers trois étapes, maintenant. La première consiste à exprimer nos regrets, la seconde à protéger nos systèmes d'information et bases de données et la troisième à tourner la page », a-t-il déclaré. Pour l'heure, le nombre de câbles divulgués ne représente qu'une partie infime du réel contenu que le fondateur du site WikiLeaks a pu obtenir. Et les Etats-Unis ne sont pas encore au bout de leurs peines. Les dessous du monde diplomatique, quant à eux, continueront, certainement, à être dévoilés, au grand dam de l'administration Obama, au cours des semaines à venir. Les Américains parlent aujourd'hui de promouvoir les intérêts mutuels avec leurs partenaires dans le monde. Il est question de renouer leurs relations avec les pays « amis et alliés » et renforcer davantage ces liens en ouvrant une « nouvelle page ». Ce sont là les propos du sous-secrétaire d'Etat américain chargé du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, Jeffry Feltman. « Le président Obama a pris des engagements pour renouer et promouvoir les intérêts mutuels avec les pays partenaires, amis et alliés », a-t-il indiqué, hier lors d'une conférence téléphonique organisée au siège de l'ambassade US à Alger et à laquelle ont été conviés cinq pays de la région, à savoir le Qatar, le Yémen, la Jordanie, le Liban et l'Egypte. De ce fait, il a estimé que la mise en ligne des quelques 250.000 documents/télégrammes diplomatiques secrets américains était « irresponsable », du fait des nuisances que apportées à la diplomatie US. Toutefois, a-t-il poursuivi, cela ne remet nullement en cause la politique extérieure américaine. Ce même responsable au département d'Etat a expliqué que les révélations de WikiLeaks n'ont pas été sans faire de dégâts. « WikiLeaks représente une attaque non seulement contre les Etats-Unis, mais également contre la communauté internationale », a-t-il déploré. Néanmoins, a-t-il affirmé, « nous œuvrons à renforcer nos mesures de sécurité pour éviter que ce genre de fuite ne vienne à avoir lieu dans l'avenir ». L'impact des fuites, faut-il le dire, a levé le voile sur plusieurs vérités au sujet de la volonté réelle et des coulisses diplomatiques américaines en sus de leur manière d'opérer. Ce qui a conduit, a-t-on dit, la Maison Blanche à exprimer ses regrets concernant la situation. « Il est important d'exprimer nos regrets à propos de ce qui s'est passé », a-t-elle souligné à ce propos. Le sous-secrétaire d'Etat américain, chargé du Moyen-orient et d'Afrique du Nord, a, en conclusion, fait savoir que son gouvernement a opté pour trois solutions/étapes, visant, a-t-il ajouté à « ne plus regarder vers le passé mais plutôt se focaliser sur l'avenir ». «Nous allons nous orienter vers trois étapes, maintenant. La première consiste à exprimer nos regrets, la seconde à protéger nos systèmes d'information et bases de données et la troisième à tourner la page », a-t-il déclaré. Pour l'heure, le nombre de câbles divulgués ne représente qu'une partie infime du réel contenu que le fondateur du site WikiLeaks a pu obtenir. Et les Etats-Unis ne sont pas encore au bout de leurs peines. Les dessous du monde diplomatique, quant à eux, continueront, certainement, à être dévoilés, au grand dam de l'administration Obama, au cours des semaines à venir.