El Biar qui était connue, auparavant, pour être l'une des localités les plus paisibles d'Alger, est devenue un vrai enfer en matière de circulation. En partant de la place Audin, passant par Ben Aknoun ou bien Bouzareah, tous les axes routiers passent par El-Biar, passage obligé et pénalisant pour des milliers d'automobilistes. El Biar qui était connue, auparavant, pour être l'une des localités les plus paisibles d'Alger, est devenue un vrai enfer en matière de circulation. En partant de la place Audin, passant par Ben Aknoun ou bien Bouzareah, tous les axes routiers passent par El-Biar, passage obligé et pénalisant pour des milliers d'automobilistes. Les routes de la capitale étouffent sous l'afflux immodéré d'usagers. Ils sont en effet des milliers à les emprunter chaque jour. Sur les différents axes à travers la capitale le problème rencontré par les citoyens reste le même : des bouchons à perte de vue. Cela autant durant les heures de pointe que durant les heures "normales" du reste de la journée. Cette situation exaspère les citadins et laisse planer une ambiance chargée de tension. En parlant de bouchons, on peut s'imaginer d'ores et déjà les files interminables de voitures. Klaxons stridents et même insultes et imprécations fusent de partout. C'est le quotidien de l'Algérois, qui en plus de toutes les nuisances de la vie urbaine doit en outre faire face à son pire « cauchemar » que sont les embouteillages. Cette situation a atteint un grave degré au niveau de la commune d'El Biar. Cette dernière était connue, auparavant, pour être l'une des circonscriptions les plus paisibles d'Alger. Elle est devenue, aujourd'hui un vrai enfer en matière de circulation. En partant de la place Audin, passant par Ben Aknoun ou bien Bouzareah, tous les axes routiers passent par El Biar, passage obligé et pénalisant pour les milliers d'automobilistes qui empruntent ces axes quotidiennement. Sachant que les distances sont peu importantes, mais le trajet sur ces axes prend entre 45 minutes à une heure de temps. Certains conducteurs des transports en commun prennent leur mal en patience en attendant une solution, tandis que d'autres préfèrent éviter tout simplement ces axes. Les chauffeurs de taxi, quant à eux, refusent catégoriquement de prendre des clients pour cette direction dès le début de l'après-midi. Comme cela est le cas au niveau de la station de taxi de la place Audin où les taxis se font de plus en plus rares à partir de 14h30, 15h00. Ceux qui continuent à circuler en dépit des multiples aléas optent pour emprunter des raccourcis, ce qui n'est pas toujours heureux puisque même ces chemins s'avèrent souvent être bondés à leurs tours. La route menant à El Achour, plus précisément au niveau de Oued El-Roumane, là où les deux voies se rejoignent connait un afflux particulièrement important de véhicules. « Chaque jour sur ces routes c'est l'enfer » c'est ce qu'accordent à dire plusieurs personnes. Bir Mourad-Raïs, quant à elle, sort du lot avec une moyenne d'attente arrivant jusqu'à 1h30 d'attente sur ses chemins et traverses. Le même scénario se répète un peu partout dans les rues de la wilaya d'Alger. Ce phénomène s'accentue encore plus en cas d'intempérie où le calvaire des automobilistes se voit démultiplié. A côté, la qualité souvent « effarante » de la chaussée et des travaux qui poussent chaque jours comme des champignons et qui n'en finissent pas, aggravent un peu plus cette situation créant un véritable chaos dans la circulation automobile. Diverses solutions ont pourtant été adoptées, entre trémies et ponts, mais rien n'y fait Alger ne peut plus faire face au nombre de véhicules en circulation sur ces routes qui n'ont jamais été conçues pour un nombre aussi important. Existe-t-il une solution-miracle ? Rien ne le laisse présager, en attendant continuons à avaler les gaz brûlés et à ronger notre frein dans ces embouteillages stressants au plus haut point. Les routes de la capitale étouffent sous l'afflux immodéré d'usagers. Ils sont en effet des milliers à les emprunter chaque jour. Sur les différents axes à travers la capitale le problème rencontré par les citoyens reste le même : des bouchons à perte de vue. Cela autant durant les heures de pointe que durant les heures "normales" du reste de la journée. Cette situation exaspère les citadins et laisse planer une ambiance chargée de tension. En parlant de bouchons, on peut s'imaginer d'ores et déjà les files interminables de voitures. Klaxons stridents et même insultes et imprécations fusent de partout. C'est le quotidien de l'Algérois, qui en plus de toutes les nuisances de la vie urbaine doit en outre faire face à son pire « cauchemar » que sont les embouteillages. Cette situation a atteint un grave degré au niveau de la commune d'El Biar. Cette dernière était connue, auparavant, pour être l'une des circonscriptions les plus paisibles d'Alger. Elle est devenue, aujourd'hui un vrai enfer en matière de circulation. En partant de la place Audin, passant par Ben Aknoun ou bien Bouzareah, tous les axes routiers passent par El Biar, passage obligé et pénalisant pour les milliers d'automobilistes qui empruntent ces axes quotidiennement. Sachant que les distances sont peu importantes, mais le trajet sur ces axes prend entre 45 minutes à une heure de temps. Certains conducteurs des transports en commun prennent leur mal en patience en attendant une solution, tandis que d'autres préfèrent éviter tout simplement ces axes. Les chauffeurs de taxi, quant à eux, refusent catégoriquement de prendre des clients pour cette direction dès le début de l'après-midi. Comme cela est le cas au niveau de la station de taxi de la place Audin où les taxis se font de plus en plus rares à partir de 14h30, 15h00. Ceux qui continuent à circuler en dépit des multiples aléas optent pour emprunter des raccourcis, ce qui n'est pas toujours heureux puisque même ces chemins s'avèrent souvent être bondés à leurs tours. La route menant à El Achour, plus précisément au niveau de Oued El-Roumane, là où les deux voies se rejoignent connait un afflux particulièrement important de véhicules. « Chaque jour sur ces routes c'est l'enfer » c'est ce qu'accordent à dire plusieurs personnes. Bir Mourad-Raïs, quant à elle, sort du lot avec une moyenne d'attente arrivant jusqu'à 1h30 d'attente sur ses chemins et traverses. Le même scénario se répète un peu partout dans les rues de la wilaya d'Alger. Ce phénomène s'accentue encore plus en cas d'intempérie où le calvaire des automobilistes se voit démultiplié. A côté, la qualité souvent « effarante » de la chaussée et des travaux qui poussent chaque jours comme des champignons et qui n'en finissent pas, aggravent un peu plus cette situation créant un véritable chaos dans la circulation automobile. Diverses solutions ont pourtant été adoptées, entre trémies et ponts, mais rien n'y fait Alger ne peut plus faire face au nombre de véhicules en circulation sur ces routes qui n'ont jamais été conçues pour un nombre aussi important. Existe-t-il une solution-miracle ? Rien ne le laisse présager, en attendant continuons à avaler les gaz brûlés et à ronger notre frein dans ces embouteillages stressants au plus haut point.