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L'aveu d'échec des Etats-Unis
Gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 12 - 2010

Les Etats-Unis changent de stratégie, il «n'exige» plus le gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie comme préalable pour relancer le processus des négociations de paix comme énoncé par le président Barak Obama en septembre, mais préfèrent se concentrer sur les «problèmes centraux» du pays. C'est ce qu'a annoncé mardi dernier un responsable de la Maison Blanche.
Les Etats-Unis changent de stratégie, il «n'exige» plus le gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie comme préalable pour relancer le processus des négociations de paix comme énoncé par le président Barak Obama en septembre, mais préfèrent se concentrer sur les «problèmes centraux» du pays. C'est ce qu'a annoncé mardi dernier un responsable de la Maison Blanche.
Les Etats-Unis ont donc abandonné l'idée d'obtenir un gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie afin de relancer les négociations de paix. Cette nouvelle approche, qui tourne le dos à la stratégie énoncée par le président Barack Obama en septembre, devrait être discutée la semaine prochaine au département d'Etat à Washington, où négociateurs israéliens et palestiniens sont attendus, a confirmé le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley rapporte le journal Le monde dans sa livraison d'hier. Philip Crowley a expliqué que les Etats-Unis ont tout tenté pour parvenir à un moratoire afin de créer les conditions d'un retour aux négociations. Malgré des efforts considérables ceux-ci n'ont pas abouti à la création de fondations solides pour cimenter l'objectif commun d'un « accord cadre » Le porte-parole a assuré qu'il ne s'agissait "pas d'un changement de stratégie". "Il pourrait bien s'agir d'un changement de tactique", a-t-il toutefois concédé. Cette annonce, qui n'est pas une surprise, est venue confirmer des informations des médias israéliens, qui avaient indiqué plus tôt mardi que les Etats-Unis avaient pris acte de leur incapacité de relancer les négociations par un gel de la colonisation et cherchaient une "autre voie" pour parvenir à leurs fins. Cependant les Etats-Unis restent engagés pour parvenir à un accord sur le « statut permanent » qui déboucherait sur un règlement définitif entre Palestiniens et Israéliens. C'est l'objectif des Américains qu'ils se seraient assignés depuis le début et sont déterminés à poursuivre leurs efforts pour que la semaine prochaine négociateurs palestiniens et israéliens se rendent à Washington selon un responsable américain qui a tenu à garder l'anonymat. Les Américains vont avoir des discussions avec les deux parties en conflit ainsi que d'autres partenaires internationaux pour tenter de parvenir à créer les bases de l'accord cadre et toutes les questions relatives au « statut permanent »
Que dira le président de l'Autorité palestinienne
Le président Abbas,qui est actuellement en visite officielle en Grèce, a reçu la réponse formelle des Etats-Unis. Son porte-parole Nabil Abou Roudeina a fait savoir à la partie américaine que la Direction palestinienne et les frères arabes allaient étudier la réponse officielle américaine et ensuite faire connaitre la position américaine. Depuis Ramallah, un responsable palestinien a réagi à l'annonce américaine en accusant le gouvernement israélien d'avoir rejeté la paix. "En refusant de donner une réponse claire aux Etats-Unis, Israël a refusé de geler la colonisation et de donner une chance à la paix dans la région", a regretté ce responsable sous couvert de l'anonymat. Les Etats-Unis avaient déjà informé jeudi l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas de l'échec de leurs efforts pour obtenir d'Israël un nouveau moratoire sur la colonisation dans les territoires occupés. Pour reprendre les négociations, les Palestiniens exigent un gel de la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, occupée et annexée. Le "changement de tactique" américain intervient seulement trois mois après la relance solennelle des négociations directes par M. Obama lors d'un sommet à la Maison Blanche en présence du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et du président palestinien Mahmoud Abbas. A l'époque, M. Obama, qui a fait de la résolution du conflit israélo-palestinien l'un des grands objectifs de son mandat, avait défini l'objectif de parvenir à une solution à deux Etats dans un délai d'un an. En attendant deux pays viennent de reconnaître l'Etat palestinien avec ses frontières d'avant 1967, il s'agit en premier du Brésil suivi de l'Argentine
Les Etats-Unis ont donc abandonné l'idée d'obtenir un gel de la colonisation israélienne en Cisjordanie afin de relancer les négociations de paix. Cette nouvelle approche, qui tourne le dos à la stratégie énoncée par le président Barack Obama en septembre, devrait être discutée la semaine prochaine au département d'Etat à Washington, où négociateurs israéliens et palestiniens sont attendus, a confirmé le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley rapporte le journal Le monde dans sa livraison d'hier. Philip Crowley a expliqué que les Etats-Unis ont tout tenté pour parvenir à un moratoire afin de créer les conditions d'un retour aux négociations. Malgré des efforts considérables ceux-ci n'ont pas abouti à la création de fondations solides pour cimenter l'objectif commun d'un « accord cadre » Le porte-parole a assuré qu'il ne s'agissait "pas d'un changement de stratégie". "Il pourrait bien s'agir d'un changement de tactique", a-t-il toutefois concédé. Cette annonce, qui n'est pas une surprise, est venue confirmer des informations des médias israéliens, qui avaient indiqué plus tôt mardi que les Etats-Unis avaient pris acte de leur incapacité de relancer les négociations par un gel de la colonisation et cherchaient une "autre voie" pour parvenir à leurs fins. Cependant les Etats-Unis restent engagés pour parvenir à un accord sur le « statut permanent » qui déboucherait sur un règlement définitif entre Palestiniens et Israéliens. C'est l'objectif des Américains qu'ils se seraient assignés depuis le début et sont déterminés à poursuivre leurs efforts pour que la semaine prochaine négociateurs palestiniens et israéliens se rendent à Washington selon un responsable américain qui a tenu à garder l'anonymat. Les Américains vont avoir des discussions avec les deux parties en conflit ainsi que d'autres partenaires internationaux pour tenter de parvenir à créer les bases de l'accord cadre et toutes les questions relatives au « statut permanent »
Que dira le président de l'Autorité palestinienne
Le président Abbas,qui est actuellement en visite officielle en Grèce, a reçu la réponse formelle des Etats-Unis. Son porte-parole Nabil Abou Roudeina a fait savoir à la partie américaine que la Direction palestinienne et les frères arabes allaient étudier la réponse officielle américaine et ensuite faire connaitre la position américaine. Depuis Ramallah, un responsable palestinien a réagi à l'annonce américaine en accusant le gouvernement israélien d'avoir rejeté la paix. "En refusant de donner une réponse claire aux Etats-Unis, Israël a refusé de geler la colonisation et de donner une chance à la paix dans la région", a regretté ce responsable sous couvert de l'anonymat. Les Etats-Unis avaient déjà informé jeudi l'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas de l'échec de leurs efforts pour obtenir d'Israël un nouveau moratoire sur la colonisation dans les territoires occupés. Pour reprendre les négociations, les Palestiniens exigent un gel de la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, occupée et annexée. Le "changement de tactique" américain intervient seulement trois mois après la relance solennelle des négociations directes par M. Obama lors d'un sommet à la Maison Blanche en présence du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et du président palestinien Mahmoud Abbas. A l'époque, M. Obama, qui a fait de la résolution du conflit israélo-palestinien l'un des grands objectifs de son mandat, avait défini l'objectif de parvenir à une solution à deux Etats dans un délai d'un an. En attendant deux pays viennent de reconnaître l'Etat palestinien avec ses frontières d'avant 1967, il s'agit en premier du Brésil suivi de l'Argentine


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