Le débat politique pluraliste sera de retour à la Télévision algérienne. C'est ce qu'a promis, jeudi, le ministre de la Communication, Nacer Mehal en réponse à une question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN). « La Télévision algérienne prépare une nouvelle grille d'émissions dont celles consacrées au débat politique pluraliste », a-t-il annoncé. Le débat politique pluraliste sera de retour à la Télévision algérienne. C'est ce qu'a promis, jeudi, le ministre de la Communication, Nacer Mehal en réponse à une question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN). « La Télévision algérienne prépare une nouvelle grille d'émissions dont celles consacrées au débat politique pluraliste », a-t-il annoncé. Les préparatifs vont bon train et il ne « il ne restait plus qu'à définir le nouveau format du débat politique télévisé et à mobiliser les moyens nécessaires à la réalisation de ces émissions », selon le premier responsable du secteur qui s'est engagé à « mobiliser tous les moyens nécessaires à la concrétisation de cette nouvelle grille ». Le ministère de la Communication compte réunir tous les moyens et conditions pour la réussite de cette émission. « Un travail est également en train de se faire pour améliorer les compétences des journalistes en vue d'une meilleure performance de la Télévision », a-t-il assuré, après avoir souligné que des « dépassements ont été enregistrés par le passé lors d'émissions réalisées dans le cadre du débat politique, au préjudice de la déontologie professionnelle », insistant sur la nécessité de conférer « davantage d'efficacité et d'intégrité », à ces débats politiques pluralistes. Deux décennies plus tard, la TV algérienne va donc renouer avec les débats politiques pluralistes, une revendication maintes fois exprimée par la classe politique algérienne. C'est sous l'ère du gouvernement Hamrouche (1989-91), que l'Algérie connaîtra une certaine ouverture médiatique avec l'émission phare, Face à la presse, qui avait réuni tout l'aréopage des leaders politiques de l'époque. Une première dans le genre dans le monde arabe. Les débats chauds, souvent houleux et sans concessions de part et d'autre, donnaient l'impression que les citoyens avaient leur mot à dire sur la mode de gestion et de gouvernance du pays en général. L'ouverture fut stoppée en raison de certains dérapages enregistrés et pour ne pas refaire les mêmes erreurs du passé, la TV algérienne « est en train de préparer le format de ce débat télévisé pour déterminer comment il doit se dérouler et s'organiser, avec des journalistes compétents », a précisé M. Mehal, soulignant qu' «il est plus avantageux que des Algériens parlent de problèmes d'Algériens » pour que ce ne soit pas « les autres qui parlent de nos propres problèmes ». Selon le ministre, « il y a un travail de fond qui est en train de s'opérer » et il promet que, « les résultats de ce travail seront connus dans quelque temps », insistant sur la nécessité de « mobiliser et motiver » le journaliste, car, a-t-il dit, « il y a beaucoup de paramètres qui déterminent ce métier ». Dans ce cadre, Nacer Mahel, assure la profession que « les conventions de branche dans le secteur de la Communication sont en discussion et vont aboutir prochainement », indiquant avoir discuté récemment, à ce sujet, avec le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, et « décidé d'un programme qui sera appliqué pour pouvoir aboutir rapidement ». Selon le ministre, « les conventions, qu'elles soient de branche ou collectives, ne sont pas uniquement l'affaire du ministère de la Communication, mais impliquent l'ensemble des partenaires concernés », relevant dans ce contexte, que le journaliste doit être « motivé », et Nacer Mahel finit par asséner une vérité. « Pour moi, il ne faut pas qu'un journaliste soit toujours pauvre ». Les préparatifs vont bon train et il ne « il ne restait plus qu'à définir le nouveau format du débat politique télévisé et à mobiliser les moyens nécessaires à la réalisation de ces émissions », selon le premier responsable du secteur qui s'est engagé à « mobiliser tous les moyens nécessaires à la concrétisation de cette nouvelle grille ». Le ministère de la Communication compte réunir tous les moyens et conditions pour la réussite de cette émission. « Un travail est également en train de se faire pour améliorer les compétences des journalistes en vue d'une meilleure performance de la Télévision », a-t-il assuré, après avoir souligné que des « dépassements ont été enregistrés par le passé lors d'émissions réalisées dans le cadre du débat politique, au préjudice de la déontologie professionnelle », insistant sur la nécessité de conférer « davantage d'efficacité et d'intégrité », à ces débats politiques pluralistes. Deux décennies plus tard, la TV algérienne va donc renouer avec les débats politiques pluralistes, une revendication maintes fois exprimée par la classe politique algérienne. C'est sous l'ère du gouvernement Hamrouche (1989-91), que l'Algérie connaîtra une certaine ouverture médiatique avec l'émission phare, Face à la presse, qui avait réuni tout l'aréopage des leaders politiques de l'époque. Une première dans le genre dans le monde arabe. Les débats chauds, souvent houleux et sans concessions de part et d'autre, donnaient l'impression que les citoyens avaient leur mot à dire sur la mode de gestion et de gouvernance du pays en général. L'ouverture fut stoppée en raison de certains dérapages enregistrés et pour ne pas refaire les mêmes erreurs du passé, la TV algérienne « est en train de préparer le format de ce débat télévisé pour déterminer comment il doit se dérouler et s'organiser, avec des journalistes compétents », a précisé M. Mehal, soulignant qu' «il est plus avantageux que des Algériens parlent de problèmes d'Algériens » pour que ce ne soit pas « les autres qui parlent de nos propres problèmes ». Selon le ministre, « il y a un travail de fond qui est en train de s'opérer » et il promet que, « les résultats de ce travail seront connus dans quelque temps », insistant sur la nécessité de « mobiliser et motiver » le journaliste, car, a-t-il dit, « il y a beaucoup de paramètres qui déterminent ce métier ». Dans ce cadre, Nacer Mahel, assure la profession que « les conventions de branche dans le secteur de la Communication sont en discussion et vont aboutir prochainement », indiquant avoir discuté récemment, à ce sujet, avec le secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, et « décidé d'un programme qui sera appliqué pour pouvoir aboutir rapidement ». Selon le ministre, « les conventions, qu'elles soient de branche ou collectives, ne sont pas uniquement l'affaire du ministère de la Communication, mais impliquent l'ensemble des partenaires concernés », relevant dans ce contexte, que le journaliste doit être « motivé », et Nacer Mahel finit par asséner une vérité. « Pour moi, il ne faut pas qu'un journaliste soit toujours pauvre ».