Une délégation américaine composée de 11 personnes a réitéré, hier à Alger, son soutien et sa volonté à défendre la cause du peuple sahraoui en vue de son indépendance. Cette délégation, qui s'est rendue récemment dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf, est composée d'acteurs de la société civile solidaire avec le peuple sahraoui. Elle a été accueillie, hier, au siège de la commune d'Alger-Centre par Mehrez Lamari, le président et les membres du CNASPS, en présence d'une délégation de militants des droits de l'Homme venant des territoires occupés du Sahara occidental ainsi que du camp de l'indépendance de Gdeim Izik, situé à 12 km à l'est d'El Ayoun occupée. De retour des camps de réfugiés, les hôtes de la localité d'Alger-Centre, qui a été jumelée avec la wilaya d'El Ayoun, ont affiché leur étonnement quant à l'organisation dans les camps. «Nous sommes impressionnés par l'organisation sociale dans les camps de Tindouf et par l'ensemble des structures du gouvernement sahraoui en sus du taux de scolarisation qui y est remarqué sur les lieux », a affirmé le chef de la délégation américaine, David Lippiatt, également président de WE Internationale, qui est une organisation qui combat l'injustice et la pauvreté dans le monde. Il a, entre autres, relevé le rôle qu'a joué l'Algérie dans l'accueil de la population sahraouie. «Ce n'est pas une tâche facile d'apporter son soutien à un peuple durant 35 années, mais l'Algérie a beaucoup fait pour aider ce peuple », a-t-il affirmé à ce propos. Les témoignages des membres de la délégation ont été unanimes. Ils ont d'ailleurs appelé les Nations unies à assumer ses responsabilités et à protéger la population sahraouie des territoires occupés. Celle-ci, ont-ils tenu à préciser, est laissée pour compte alors que l'Onu se refuse d'élargir les prérogatives de la Minurso à protéger les droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental. Pour sa part, Mehrez Lamari a indiqué, que cette rencontre (avec la délégation US) s'inscrit dans le cadre de la solidarité avec le peuple sahraoui. « Cette rencontre précède d'une journée, l'organisation, pour aujourd'hui, de la conférence internationale sur la déclaration portant l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux » a-t-il ajouté. Parmi les personnes s'étant rendues dans les camps figurent le président de Défense Forum Fondation, le président de Institute of Liberty, le président de Young American Broadcasters, le directeur de NGO Focusing on Religions Persecution, Human Rights, en sus d'écrivains, d'un reporter de Washington et d'une photographe. Une délégation de militants des droits de l'Homme sahraoui, venue des territoires occupés du Sahara Occidental et du camp de l'indépendance de Gdeim Izik, d'El Ayoun occupée, a assisté à la rencontre. Une délégation américaine composée de 11 personnes a réitéré, hier à Alger, son soutien et sa volonté à défendre la cause du peuple sahraoui en vue de son indépendance. Cette délégation, qui s'est rendue récemment dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf, est composée d'acteurs de la société civile solidaire avec le peuple sahraoui. Elle a été accueillie, hier, au siège de la commune d'Alger-Centre par Mehrez Lamari, le président et les membres du CNASPS, en présence d'une délégation de militants des droits de l'Homme venant des territoires occupés du Sahara occidental ainsi que du camp de l'indépendance de Gdeim Izik, situé à 12 km à l'est d'El Ayoun occupée. De retour des camps de réfugiés, les hôtes de la localité d'Alger-Centre, qui a été jumelée avec la wilaya d'El Ayoun, ont affiché leur étonnement quant à l'organisation dans les camps. «Nous sommes impressionnés par l'organisation sociale dans les camps de Tindouf et par l'ensemble des structures du gouvernement sahraoui en sus du taux de scolarisation qui y est remarqué sur les lieux », a affirmé le chef de la délégation américaine, David Lippiatt, également président de WE Internationale, qui est une organisation qui combat l'injustice et la pauvreté dans le monde. Il a, entre autres, relevé le rôle qu'a joué l'Algérie dans l'accueil de la population sahraouie. «Ce n'est pas une tâche facile d'apporter son soutien à un peuple durant 35 années, mais l'Algérie a beaucoup fait pour aider ce peuple », a-t-il affirmé à ce propos. Les témoignages des membres de la délégation ont été unanimes. Ils ont d'ailleurs appelé les Nations unies à assumer ses responsabilités et à protéger la population sahraouie des territoires occupés. Celle-ci, ont-ils tenu à préciser, est laissée pour compte alors que l'Onu se refuse d'élargir les prérogatives de la Minurso à protéger les droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental. Pour sa part, Mehrez Lamari a indiqué, que cette rencontre (avec la délégation US) s'inscrit dans le cadre de la solidarité avec le peuple sahraoui. « Cette rencontre précède d'une journée, l'organisation, pour aujourd'hui, de la conférence internationale sur la déclaration portant l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux » a-t-il ajouté. Parmi les personnes s'étant rendues dans les camps figurent le président de Défense Forum Fondation, le président de Institute of Liberty, le président de Young American Broadcasters, le directeur de NGO Focusing on Religions Persecution, Human Rights, en sus d'écrivains, d'un reporter de Washington et d'une photographe. Une délégation de militants des droits de l'Homme sahraoui, venue des territoires occupés du Sahara Occidental et du camp de l'indépendance de Gdeim Izik, d'El Ayoun occupée, a assisté à la rencontre.