La forte prévalence de l'hypertension artérielle (HTA) parmi la population adulte algérienne fait que cette maladie représente un véritable problème de santé publique. Plusieurs études scientifiques, menées aussi bien par le ministère de la Santé que par des chercheurs dans le cadre de travaux universitaires, montrent que cette affection aux conséquences particulièrement redoutables touche près de 30% des personnes adultes. Cette moyenne assez élevée, qui demeure toutefois très proche de celle observée dans les pays voisins et dans le monde, s'explique par plusieurs facteurs, dont le changement des habitudes alimentaires et le manque d'exercice physique. A l'horizon 2014, le nombre d'Algériens hypertendus atteindra les 4,5 millions d'individus, attestent le plus sérieusement du monde les spécialistes. Le pire est que l'HTA est le facteur déclenchant de quelque 90% des maladies d'où l'intérêt d'une rencontre scientifique qui sera organisée par le laboratoire MSD le sera encadrée par des experts algériens et français. La forte prévalence de l'hypertension artérielle (HTA) parmi la population adulte algérienne fait que cette maladie représente un véritable problème de santé publique. Plusieurs études scientifiques, menées aussi bien par le ministère de la Santé que par des chercheurs dans le cadre de travaux universitaires, montrent que cette affection aux conséquences particulièrement redoutables touche près de 30% des personnes adultes. Cette moyenne assez élevée, qui demeure toutefois très proche de celle observée dans les pays voisins et dans le monde, s'explique par plusieurs facteurs, dont le changement des habitudes alimentaires et le manque d'exercice physique. A l'horizon 2014, le nombre d'Algériens hypertendus atteindra les 4,5 millions d'individus, attestent le plus sérieusement du monde les spécialistes. Le pire est que l'HTA est le facteur déclenchant de quelque 90% des maladies d'où l'intérêt d'une rencontre scientifique qui sera organisée par le laboratoire MSD le sera encadrée par des experts algériens et français.