Il faut savoir qu'une personne handicapée subit une souffrance permanente, qui vient non seulement de sa douleur mais aussi et surtout de son sentiment d'impuissance et de désespoir, des sentiments parfaitement justifiés notamment dans une société qui n'accorde, hélas, pas beaucoup d'attention à cette frange, encore marginalisées. le handicapé, notamment démuni, est aujourd'hui pris pour un fardeau, un très lourd, que ne peut pas assumer un parent seul face aux lourdes charges de vie. Handicapés moteurs ou mentaux, font hélas, de nos jours, l'objet de moqueries au lieu d'être soutenus et assistés par la société civile avant les autorités concernés. Cela participe dans la marginalisation de ces êtres. Nous nous concentrons aujourd'hui en tant que membre actif dans le mouvement associatif et la société à sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur la souffrance de ces personnes qui dans leur majorité, sont sans ressources financières ; elles ont besoin d'aide sur le plan médicosocial, mais aussi sur le plan psychologique. Il est temps de passer à la mise en place d'une réelle stratégie d'insertion sociale des personnes handicapées moteurs et une meilleures prise en charge des handiacpés mentaux qui errent dans nos rues au lieu d'être dans des centres spécialisés il est malheureux de constater que les personnes handicapées aujourd'hui ne cessent de se noyer dans des problèmes de définition de taux d'incapacité pour pouvoir arracher une prise en charge sociale et quelle prise en charge! mais des milliers d'autres sont aujourd'hui abandonnés, sans même ces quelques sous dérisoires. il est temps de se mobiliser aujourd'hui en tant que société civile, loin des mesures administratives et des conditions ouvrant droit à l'aide de la CNAS, p tendre nos mains vers ces malheureux sans comptabiliser la valeur financière de nos aides, sans même matérialiser nos aides, pour faire quelque chose pour soulager les peines de ces personnes souffrant d'incapacités mentale ou physique et les aider à s'insérer pour ceux qui le peuvent dans la vie active sans préjugés. O.B *Présidente de l'association Nour d'aide aux personnes handicapées d'Alger Il faut savoir qu'une personne handicapée subit une souffrance permanente, qui vient non seulement de sa douleur mais aussi et surtout de son sentiment d'impuissance et de désespoir, des sentiments parfaitement justifiés notamment dans une société qui n'accorde, hélas, pas beaucoup d'attention à cette frange, encore marginalisées. le handicapé, notamment démuni, est aujourd'hui pris pour un fardeau, un très lourd, que ne peut pas assumer un parent seul face aux lourdes charges de vie. Handicapés moteurs ou mentaux, font hélas, de nos jours, l'objet de moqueries au lieu d'être soutenus et assistés par la société civile avant les autorités concernés. Cela participe dans la marginalisation de ces êtres. Nous nous concentrons aujourd'hui en tant que membre actif dans le mouvement associatif et la société à sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur la souffrance de ces personnes qui dans leur majorité, sont sans ressources financières ; elles ont besoin d'aide sur le plan médicosocial, mais aussi sur le plan psychologique. Il est temps de passer à la mise en place d'une réelle stratégie d'insertion sociale des personnes handicapées moteurs et une meilleures prise en charge des handiacpés mentaux qui errent dans nos rues au lieu d'être dans des centres spécialisés il est malheureux de constater que les personnes handicapées aujourd'hui ne cessent de se noyer dans des problèmes de définition de taux d'incapacité pour pouvoir arracher une prise en charge sociale et quelle prise en charge! mais des milliers d'autres sont aujourd'hui abandonnés, sans même ces quelques sous dérisoires. il est temps de se mobiliser aujourd'hui en tant que société civile, loin des mesures administratives et des conditions ouvrant droit à l'aide de la CNAS, p tendre nos mains vers ces malheureux sans comptabiliser la valeur financière de nos aides, sans même matérialiser nos aides, pour faire quelque chose pour soulager les peines de ces personnes souffrant d'incapacités mentale ou physique et les aider à s'insérer pour ceux qui le peuvent dans la vie active sans préjugés. O.B *Présidente de l'association Nour d'aide aux personnes handicapées d'Alger