Des facilités sont accordées aux opérateurs économiques nationaux, notamment pour ce qui est des transactions commerciales et les opérations d'investissement dans la mesure où le marché de ce pays enclavé, le plus pauvre du monde, est un espace de transit de biens et de marchandises en raison de ses vastes frontières avec sept pays de l'Afrique sub-saharienne. Des facilités sont accordées aux opérateurs économiques nationaux, notamment pour ce qui est des transactions commerciales et les opérations d'investissement dans la mesure où le marché de ce pays enclavé, le plus pauvre du monde, est un espace de transit de biens et de marchandises en raison de ses vastes frontières avec sept pays de l'Afrique sub-saharienne. "Le marché nigérien accepte tous les produits algériens, mais il est impérieux de connaître les conditions de placement. Ce marché est en phase préliminaire d'industrialisation avec, toutefois des tentatives d'industrialisation sachant que de petites entreprises commencent à s'y installer. D'où les importantes opportunités offertes aux entreprises exportatrices algériennes, notamment celles spécialisées dans l'agro-pastoral et les boissons gazeuses" a déclaré, hier, Ali Bey Nasri, consultant et vice-président de l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), lors du séminaire géographique consacré à l'étude du marché du Niger, organisé au siège de l'Agence algérienne de développement du commerce extérieur (Algex). Jugeant que le marché nigérien est porteur pour les entreprises algériennes exportatrices, Nasri estime que des facilités sont accordées aux opérateurs économiques nationaux, notamment pour ce qui est des transactions commerciales et les opérations d'investissement dans la mesure où le marché de ce pays enclavé, le plus pauvre du monde, est un espace de transit de biens et de marchandises en raison de ses vastes frontières avec sept pays de l'Afrique sub-saharienne. Cependant, les exportateurs algériens doivent tenir compte des caractéristiques fondamentales de ce marché enclavé dont les coûts d'acheminement des marchandises et les délais sont élevés et excessifs. Néanmoins, ce handicap constitue paradoxalement un atout important pour les exportateurs algériens pourvu que des aménagements soient faits tout en prenant des décisions politiques et économiques adéquates. En fait, le marché nigérien est accessible aux exportateurs algériens, selon Nasri, précisant que "l'Algérie bénéficie de la proximité géographique et de la réactivité, car les produits algériens peuvent mettre quelques mois pour parvenir à Niamey, en passant par le port de transit, mais cela ne dépasse pas 4 mois". La recommandation formulée par ce consultant à l'adresse des opérateurs nationaux a trait à la facilité de rapprocher ce marché compte tenu de la distance séparant In Guezzam de la ville nigérienne de Arlit longue de 233 km, cependant la route doit être bitumée pour rendre les déplacements plus fluides et rapides. Pour bien aborder le marché nigérien, l'Algérie est astreinte de réaliser ce tronçon stratégique en créant une plateforme logistique à Tamanrasset. Aussi, le village minier d'extraction d'uranium d'Areva est porteur pour les exportateurs algériens, car il représente 62% des exportations du Niger et il est peuplé de 3.800 travailleurs capables de s'approvisionner en produits algériens (agroalimentaires, cosmétiques...). Les entreprises algériennes nécessitent un accompagnement pour s'installer sur le marché nigérien (à forte croissance ces dernières années) durablement sachant que l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach réalise des activités de recherche et d'exploration de pétrole au Niger et y active depuis de longues années. Le vice-président de l'Anexal évoque un problème de taille en indiquant que "l'externalisation des banques algériennes est indispensable pour la conquête des marchés extérieurs, notamment celui du Niger, car nous avons besoin d'être accompagnés (exportateurs) dans ce pays. il faut l'implantation et la présence d'une banque algérienne afin d'éviter l'arnaque et les lenteurs". La base de vie et de production d'uranium de l'entreprise française d'Areva peut constituer une excellente opportunité pour les exportateurs algériens qui peuvent placer tous leurs produits, car il s'agit d'une centrale d'achat personnalisée et bien ciblée, selon Ali Bey Nasri. A. A. "Le marché nigérien accepte tous les produits algériens, mais il est impérieux de connaître les conditions de placement. Ce marché est en phase préliminaire d'industrialisation avec, toutefois des tentatives d'industrialisation sachant que de petites entreprises commencent à s'y installer. D'où les importantes opportunités offertes aux entreprises exportatrices algériennes, notamment celles spécialisées dans l'agro-pastoral et les boissons gazeuses" a déclaré, hier, Ali Bey Nasri, consultant et vice-président de l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), lors du séminaire géographique consacré à l'étude du marché du Niger, organisé au siège de l'Agence algérienne de développement du commerce extérieur (Algex). Jugeant que le marché nigérien est porteur pour les entreprises algériennes exportatrices, Nasri estime que des facilités sont accordées aux opérateurs économiques nationaux, notamment pour ce qui est des transactions commerciales et les opérations d'investissement dans la mesure où le marché de ce pays enclavé, le plus pauvre du monde, est un espace de transit de biens et de marchandises en raison de ses vastes frontières avec sept pays de l'Afrique sub-saharienne. Cependant, les exportateurs algériens doivent tenir compte des caractéristiques fondamentales de ce marché enclavé dont les coûts d'acheminement des marchandises et les délais sont élevés et excessifs. Néanmoins, ce handicap constitue paradoxalement un atout important pour les exportateurs algériens pourvu que des aménagements soient faits tout en prenant des décisions politiques et économiques adéquates. En fait, le marché nigérien est accessible aux exportateurs algériens, selon Nasri, précisant que "l'Algérie bénéficie de la proximité géographique et de la réactivité, car les produits algériens peuvent mettre quelques mois pour parvenir à Niamey, en passant par le port de transit, mais cela ne dépasse pas 4 mois". La recommandation formulée par ce consultant à l'adresse des opérateurs nationaux a trait à la facilité de rapprocher ce marché compte tenu de la distance séparant In Guezzam de la ville nigérienne de Arlit longue de 233 km, cependant la route doit être bitumée pour rendre les déplacements plus fluides et rapides. Pour bien aborder le marché nigérien, l'Algérie est astreinte de réaliser ce tronçon stratégique en créant une plateforme logistique à Tamanrasset. Aussi, le village minier d'extraction d'uranium d'Areva est porteur pour les exportateurs algériens, car il représente 62% des exportations du Niger et il est peuplé de 3.800 travailleurs capables de s'approvisionner en produits algériens (agroalimentaires, cosmétiques...). Les entreprises algériennes nécessitent un accompagnement pour s'installer sur le marché nigérien (à forte croissance ces dernières années) durablement sachant que l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach réalise des activités de recherche et d'exploration de pétrole au Niger et y active depuis de longues années. Le vice-président de l'Anexal évoque un problème de taille en indiquant que "l'externalisation des banques algériennes est indispensable pour la conquête des marchés extérieurs, notamment celui du Niger, car nous avons besoin d'être accompagnés (exportateurs) dans ce pays. il faut l'implantation et la présence d'une banque algérienne afin d'éviter l'arnaque et les lenteurs". La base de vie et de production d'uranium de l'entreprise française d'Areva peut constituer une excellente opportunité pour les exportateurs algériens qui peuvent placer tous leurs produits, car il s'agit d'une centrale d'achat personnalisée et bien ciblée, selon Ali Bey Nasri. A. A.