Le Premier ministre se conforme ainsi à une disposition de la Constitution. L'article 84 de la Loi fondamentale stipule en effet que le gouvernement présente annuellement à l'APN une déclaration de politique générale qui donne lieu à un débat, comme il peut aussi le faire devant le Conseil de la nation. Le Premier ministre se conforme ainsi à une disposition de la Constitution. L'article 84 de la Loi fondamentale stipule en effet que le gouvernement présente annuellement à l'APN une déclaration de politique générale qui donne lieu à un débat, comme il peut aussi le faire devant le Conseil de la nation. Les membres du Conseil de la nation reçoivent aujourd'hui le Premier ministre. L'hôte du Sénat présentera à l'occasion la déclaration de politique générale du gouvernement. Ahmed Ouyahia a déjà fait le même exercice à l'APN le 21 octobre dernier. Le Premier ministre se conforme ainsi à une disposition de la Constitution. L'article 84 de la Loi fondamentale stipule en effet que le gouvernement présente annuellement à l'APN une déclaration de politique générale qui donne lieu à un débat, comme il peut aussi le faire devant le Conseil de la nation. Ouyahia présentera donc, comme cela a été le cas devant les députés de la chambre basse, le bilan d'activité du gouvernement. Un bilan qui comprend la période allant du mois de janvier 2009 au mois de juin, soit 18 mois. Il présentera aussi les grands axes du Programme quinquennal 2010-2014, lequel et doté d'une faramineuse enveloppe financière de 286 milliards de dollars. À l'APN le débat a été par moments fort intéressant et les élus du peuple ont eu à interpeller le Premier ministre sur nombre de questions qui préoccupent les citoyens. On rappelle ainsi qu'il a surtout été question du developpement du fléau de la corruption et de la multiplication des scandales financiers qui ont ébranlé de nombreuses institutions et entreprises dont Sonatrach, qui constitue de loin la plus importante entité économique du pays. Les députés ont eu aussi à interpeller le Premier ministre sur l'affaire Djezzy ainsi que sur les causes réelles à l'origine des retards de réalisation de pas mal de projets, ce qui n'a pas manqué d'avoir de fâcheuses incidences financières sur le Trésor public à cause de la problématique des réévaluations des coûts. Dans sa reponse, présentée le 31 octobre, le Premier ministre a donné moult explications aux élus du peuple, notamment sur l'affaire Djezzy lorsqu'il a réitéré la ferme volonté de l'Etat algérien d'acheter cette entreprise de téléphonie mobile. Ahmed Ouyahia s'est aussi distingué par ses attaques contre le parti du RCD dont les députés ne l'ont point ménagé lors des débats. Il est évident qu'une telle polémique ne risque pas de survenir au niveau du Conseil de la nation, mais il est certain, en revanche, que les interventions des sénateurs ne manqueront pas de pertinence puisqu'ils vont, à leur tour, interpeller Ahmed Ouyahia, sur les dossiers qui font l'actualité et sur les moyens que compte mettre en œuvre le gouvernement pour réaliser dans les délais, les meilleurs, les différents chantiers du Plan quinquennal 2010-2014. Comme ils ne manqueront pas d'attirer son attention sur la nécessité de préserver les deniers publics de toutes les convoitises malsaines, ce d'autant que ce gigantesque plan est doté d'un budget de 286 milliards de dollars. Les membres du Conseil de la nation reçoivent aujourd'hui le Premier ministre. L'hôte du Sénat présentera à l'occasion la déclaration de politique générale du gouvernement. Ahmed Ouyahia a déjà fait le même exercice à l'APN le 21 octobre dernier. Le Premier ministre se conforme ainsi à une disposition de la Constitution. L'article 84 de la Loi fondamentale stipule en effet que le gouvernement présente annuellement à l'APN une déclaration de politique générale qui donne lieu à un débat, comme il peut aussi le faire devant le Conseil de la nation. Ouyahia présentera donc, comme cela a été le cas devant les députés de la chambre basse, le bilan d'activité du gouvernement. Un bilan qui comprend la période allant du mois de janvier 2009 au mois de juin, soit 18 mois. Il présentera aussi les grands axes du Programme quinquennal 2010-2014, lequel et doté d'une faramineuse enveloppe financière de 286 milliards de dollars. À l'APN le débat a été par moments fort intéressant et les élus du peuple ont eu à interpeller le Premier ministre sur nombre de questions qui préoccupent les citoyens. On rappelle ainsi qu'il a surtout été question du developpement du fléau de la corruption et de la multiplication des scandales financiers qui ont ébranlé de nombreuses institutions et entreprises dont Sonatrach, qui constitue de loin la plus importante entité économique du pays. Les députés ont eu aussi à interpeller le Premier ministre sur l'affaire Djezzy ainsi que sur les causes réelles à l'origine des retards de réalisation de pas mal de projets, ce qui n'a pas manqué d'avoir de fâcheuses incidences financières sur le Trésor public à cause de la problématique des réévaluations des coûts. Dans sa reponse, présentée le 31 octobre, le Premier ministre a donné moult explications aux élus du peuple, notamment sur l'affaire Djezzy lorsqu'il a réitéré la ferme volonté de l'Etat algérien d'acheter cette entreprise de téléphonie mobile. Ahmed Ouyahia s'est aussi distingué par ses attaques contre le parti du RCD dont les députés ne l'ont point ménagé lors des débats. Il est évident qu'une telle polémique ne risque pas de survenir au niveau du Conseil de la nation, mais il est certain, en revanche, que les interventions des sénateurs ne manqueront pas de pertinence puisqu'ils vont, à leur tour, interpeller Ahmed Ouyahia, sur les dossiers qui font l'actualité et sur les moyens que compte mettre en œuvre le gouvernement pour réaliser dans les délais, les meilleurs, les différents chantiers du Plan quinquennal 2010-2014. Comme ils ne manqueront pas d'attirer son attention sur la nécessité de préserver les deniers publics de toutes les convoitises malsaines, ce d'autant que ce gigantesque plan est doté d'un budget de 286 milliards de dollars.