Pour ce qui est de l'Algérie, l'expert a annoncé que notre pays, se dirige vers le système «e-gouvernement» et doit impérativement mettre en avant les TIC dans les administrations. Il a, dans ce sens, mis l'accent sur la sécurisation des réseaux informatique ainsi que sa mise à jour et la vigilance des spécialistes en la matière. Pour ce qui est de l'Algérie, l'expert a annoncé que notre pays, se dirige vers le système «e-gouvernement» et doit impérativement mettre en avant les TIC dans les administrations. Il a, dans ce sens, mis l'accent sur la sécurisation des réseaux informatique ainsi que sa mise à jour et la vigilance des spécialistes en la matière. «WikiLeaks, quels enseignements pour l'Algérie ?» est la question à laquelle a répondu, hier au centre Echaâb des études stratégiques, Derdouri Abdelaziz, Président-directeur général de la Société de sécurisation des réseaux informatiques SSRI. Animant une conférence sur le thème «WikiLeaks, phénomène et défis», Derdouri a, avant tout, tenu à faire savoir que «cette conférence n'a pas pour objectif de défendre ni de condamner les révélations de WikiLeaks». Qualifiant la condamnation américaine de «contradictoire», le conférencier a rappelé la position prise par le département américain quant à la liberté de l'accès à Internet, lors de la crise entre le moteur de recherche Google et la Chine. Une crise qui, rappelons-le, a fait bouger les camps diplomatiques des deux pays. «Les Américains agissent en fonction de leurs intérêts» a-t-il dit à ce propos. Il a indiqué qu'outre les pays ayant des causes stratégiques, un simple individu, utilisant à titre d'exemple une clef USB, pourrait, par négligence ou d'autres raisons tels que «le gain ou la vengeance», aider les hackers (pirate informatique) à divulguer des informations confidentielles. Derdouri a, dans ce sens, cité l'exemple du soldat américain Bradley Manning, accusé pour toutes les fuites divulguées par WikiLeaks, qui «téléchargeait des documents confidentiels en écoutant les chansons de Lady Gaga». Pour ce qui est de l'Algérie, concernée par quelque 800 documents, l'expert a annoncé que notre pays, qui se dirige vers le système «e-gouvernement», doit impérativement mettre en avant les TIC dans les administrations. Il a, dans ce sens, mis l'accent sur la sécurisation des réseaux informatique ainsi que sa mise à jour et la vigilance des spécialistes en la matière. Il faut dire que tirer les sonnettes d'alarme est synonyme de fortune pour les sociétés de sécurisation de réseaux informatiques. Citant, par ailleurs, que «nos ingénieurs sont encouragés à quitter le pays», le conférencier a fait entendre qu'une meilleure prise en charge de ces spécialistes qui sont, a-t-il estimé, «compétents», contribuerait davantage à résoudre ce genre de problème. D'autant plus que, a-t-il noté, l'Algérie figure sur la liste des infrastructures sensibles objectifs des cyber-attaques. Sur ce dernier point, Derdouri a révélé que «le département américain veut identifier les vulnérabilités dans la région du Sahel». Une chose que, a-t-il poursuivit «font plusieurs Etats, à l'instar de la France, la Grande-Bretagne ou l'Allemagne». D'autre part, Derdouri a considéré que les révélations de WikiLeaks ne sont pas manipulées par les USA. Dans ce sens, il y lieu de se demander pourquoi la zone la plus affectées par les virus transmettant des informations confidentielles à WikiLeaks est celle représentant le projet de l'ancien président américain George Walker Bush du Grand- Moyen-Orient, GMA ? Une zone reconnue par quelques experts occidentaux en géopolitique pour être le centre du monde. Il est toutefois utile de rappeler que la grippe aviaire et celle porcine n'ont fait que semer la peur dans le monde et n'ont été bénéfiques qu'au profit des sociétés de médicaments. «WikiLeaks, quels enseignements pour l'Algérie ?» est la question à laquelle a répondu, hier au centre Echaâb des études stratégiques, Derdouri Abdelaziz, Président-directeur général de la Société de sécurisation des réseaux informatiques SSRI. Animant une conférence sur le thème «WikiLeaks, phénomène et défis», Derdouri a, avant tout, tenu à faire savoir que «cette conférence n'a pas pour objectif de défendre ni de condamner les révélations de WikiLeaks». Qualifiant la condamnation américaine de «contradictoire», le conférencier a rappelé la position prise par le département américain quant à la liberté de l'accès à Internet, lors de la crise entre le moteur de recherche Google et la Chine. Une crise qui, rappelons-le, a fait bouger les camps diplomatiques des deux pays. «Les Américains agissent en fonction de leurs intérêts» a-t-il dit à ce propos. Il a indiqué qu'outre les pays ayant des causes stratégiques, un simple individu, utilisant à titre d'exemple une clef USB, pourrait, par négligence ou d'autres raisons tels que «le gain ou la vengeance», aider les hackers (pirate informatique) à divulguer des informations confidentielles. Derdouri a, dans ce sens, cité l'exemple du soldat américain Bradley Manning, accusé pour toutes les fuites divulguées par WikiLeaks, qui «téléchargeait des documents confidentiels en écoutant les chansons de Lady Gaga». Pour ce qui est de l'Algérie, concernée par quelque 800 documents, l'expert a annoncé que notre pays, qui se dirige vers le système «e-gouvernement», doit impérativement mettre en avant les TIC dans les administrations. Il a, dans ce sens, mis l'accent sur la sécurisation des réseaux informatique ainsi que sa mise à jour et la vigilance des spécialistes en la matière. Il faut dire que tirer les sonnettes d'alarme est synonyme de fortune pour les sociétés de sécurisation de réseaux informatiques. Citant, par ailleurs, que «nos ingénieurs sont encouragés à quitter le pays», le conférencier a fait entendre qu'une meilleure prise en charge de ces spécialistes qui sont, a-t-il estimé, «compétents», contribuerait davantage à résoudre ce genre de problème. D'autant plus que, a-t-il noté, l'Algérie figure sur la liste des infrastructures sensibles objectifs des cyber-attaques. Sur ce dernier point, Derdouri a révélé que «le département américain veut identifier les vulnérabilités dans la région du Sahel». Une chose que, a-t-il poursuivit «font plusieurs Etats, à l'instar de la France, la Grande-Bretagne ou l'Allemagne». D'autre part, Derdouri a considéré que les révélations de WikiLeaks ne sont pas manipulées par les USA. Dans ce sens, il y lieu de se demander pourquoi la zone la plus affectées par les virus transmettant des informations confidentielles à WikiLeaks est celle représentant le projet de l'ancien président américain George Walker Bush du Grand- Moyen-Orient, GMA ? Une zone reconnue par quelques experts occidentaux en géopolitique pour être le centre du monde. Il est toutefois utile de rappeler que la grippe aviaire et celle porcine n'ont fait que semer la peur dans le monde et n'ont été bénéfiques qu'au profit des sociétés de médicaments.