L'année 2010 dans le domaine du cinéma a mis à l'honneur le court-métrage. Selon le site électronique « A nous les écrans » dédié au cinéma algérien plus de 15 « petits films » devaient être réalisés en 2010 dont 10 sont destinés à la manifestation « Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011 ». L'année 2010 dans le domaine du cinéma a mis à l'honneur le court-métrage. Selon le site électronique « A nous les écrans » dédié au cinéma algérien plus de 15 « petits films » devaient être réalisés en 2010 dont 10 sont destinés à la manifestation « Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011 ». C'est le Fdatic (Fonds de développement des arts, des techniques et de l'industrie cinématographique) un organisme rattaché au ministère de la Culture qui a financé une bonne partie de ces films. Quant aux longs-métrages, parents pauvres de la production nationale, ils restent trop dépendants de l'aide des pouvoirs publics qu'ils ont de la peine à obtenir. Le constat peut se vérifier à la lumière de la participation algérienne au dernier festival international du film arabe d'Oran. Seulement deux longs-métrages y avaient été sélectionnés. Il s'agit d' «Essaha» (La place) de Dahmane Ouzid et de «Taxiphone» de Mohamed Soudani. Yaniss Koussim qui s'est investi dans le court-métrage a vu la chance lui sourire puisqu'il a reçu le coup de pouce financier escompté en tournant son second court-métrage de 20 mn sous le titre « Khouya » (Mon frère), un film qui a suivi « Khti » (Ma sœur) nous livrant ainsi sa fresque comme par dose homéopathique sur la condition féminine. Yaniss Koussim projette du reste de réaliser un long-métrage sous le titre « Bahara » (Marins), qui n'a rien à voir avec les harraga, lequel traite du même thème à savoir celui de la maltraitance dont est l'objet la femme. Son prochain film met en scène une veuve du nom de Fatma qui, après avoir perdu son mari pêcheur de son état, décide de le remplacer. Cet acte lui a valu les représailles de sa belle famille qui vont obliger Fatma à leur confier sa fille Karima. Vingt ans après, celle-ci retrouve sa mère, après avoir fui son mari qui venait de la battre violemment. N'empêche le thème de l'oppression de la femme y ressort comme une hantise ou une préoccupation dominante. On le retrouve chez Yasmine Chouikh (fille du couple Chouikh), dans son court-métrage « Djins » (Mauvais génies). « Djins » a aussi bénéficié du financement du Fdatic. Autre court-métrage ayant bénéficié du concours du Fdatic est « Garagouz » (prix spécial du jury du 7e festival international du film de Dubaï) d'Abdenour Zahazah. Produit par Lait Media¸« Garagouz » raconte l'histoire d'un marionnettiste en butte aux menées des extrémistes aux yeux de qui ce jeu reste une pratique illicite. Yahia Mouzahem qui a produit le film long-métrage « Ben Boulaïd » devra quant à lui finaliser le tournage de « Dar El Âadjaza » (La Maison de retraite), autre court-métrage qui veut cette fois-ci comme un comique qui rend compte de l'émigration massive des jeunes vers l'étranger vers 2030, le pays se retrouvant ainsi abandonné aux 3e voire, 4e âge. Sous le titre de « The Coup » (El inkilab ou le coup d'Etat), le court-métrage de Hassen Touati, pourrait faire l'événement. Y ont joué des comédiens de valeur à l'image de Mourad Khène, Tarik Abdelahafid et Mustpha Ayad. C'est le Fdatic (Fonds de développement des arts, des techniques et de l'industrie cinématographique) un organisme rattaché au ministère de la Culture qui a financé une bonne partie de ces films. Quant aux longs-métrages, parents pauvres de la production nationale, ils restent trop dépendants de l'aide des pouvoirs publics qu'ils ont de la peine à obtenir. Le constat peut se vérifier à la lumière de la participation algérienne au dernier festival international du film arabe d'Oran. Seulement deux longs-métrages y avaient été sélectionnés. Il s'agit d' «Essaha» (La place) de Dahmane Ouzid et de «Taxiphone» de Mohamed Soudani. Yaniss Koussim qui s'est investi dans le court-métrage a vu la chance lui sourire puisqu'il a reçu le coup de pouce financier escompté en tournant son second court-métrage de 20 mn sous le titre « Khouya » (Mon frère), un film qui a suivi « Khti » (Ma sœur) nous livrant ainsi sa fresque comme par dose homéopathique sur la condition féminine. Yaniss Koussim projette du reste de réaliser un long-métrage sous le titre « Bahara » (Marins), qui n'a rien à voir avec les harraga, lequel traite du même thème à savoir celui de la maltraitance dont est l'objet la femme. Son prochain film met en scène une veuve du nom de Fatma qui, après avoir perdu son mari pêcheur de son état, décide de le remplacer. Cet acte lui a valu les représailles de sa belle famille qui vont obliger Fatma à leur confier sa fille Karima. Vingt ans après, celle-ci retrouve sa mère, après avoir fui son mari qui venait de la battre violemment. N'empêche le thème de l'oppression de la femme y ressort comme une hantise ou une préoccupation dominante. On le retrouve chez Yasmine Chouikh (fille du couple Chouikh), dans son court-métrage « Djins » (Mauvais génies). « Djins » a aussi bénéficié du financement du Fdatic. Autre court-métrage ayant bénéficié du concours du Fdatic est « Garagouz » (prix spécial du jury du 7e festival international du film de Dubaï) d'Abdenour Zahazah. Produit par Lait Media¸« Garagouz » raconte l'histoire d'un marionnettiste en butte aux menées des extrémistes aux yeux de qui ce jeu reste une pratique illicite. Yahia Mouzahem qui a produit le film long-métrage « Ben Boulaïd » devra quant à lui finaliser le tournage de « Dar El Âadjaza » (La Maison de retraite), autre court-métrage qui veut cette fois-ci comme un comique qui rend compte de l'émigration massive des jeunes vers l'étranger vers 2030, le pays se retrouvant ainsi abandonné aux 3e voire, 4e âge. Sous le titre de « The Coup » (El inkilab ou le coup d'Etat), le court-métrage de Hassen Touati, pourrait faire l'événement. Y ont joué des comédiens de valeur à l'image de Mourad Khène, Tarik Abdelahafid et Mustpha Ayad.