Hier à 15 heures, des dizaines de jeunes se sont regroupés à la rue Lamali ( route de l'hôpital) au centre-ville de Tizi Ouzou et ont commencé à jeter des pierres en direction du siège de la police situé à proximité du rond-point principal. Quelques minutes après, les éléments des brigades antiémeutes ont pris place à l'entrée du siège de la police. Les services de sécurité ont riposté en lançant régulièrement des bombes lacrymogènes, mais ils ne sont pas parvenus à dissuader ces jeunes qui n'ont pas renoncé à leur action. Les affrontements se poursuivaient au moment où nous mettons sous presse. En un clin d'œil la ville des Genêts s'est vidée. Tous les commerçants ont baissé rideau précipitamment. Certaines familles qui sortaient de l'hôpital au moment des émeutes ont eu beaucoup de mal à quitter les lieux. C'est un miracle qu'elles n'aient pas été touchées par les divers projectiles. Déjà jeudi dans la soirée, des citoyens, jeunes pour la plupart, ont barré la route qui longe l'hôpital de Tizi Ouzou. Des pneus et autres objets ont été brûlés pendant toute la soirée. Hier matin, des rumeurs concernant une grève générale ont circulé à Tizi Ouzou. Hier à 15 heures, des dizaines de jeunes se sont regroupés à la rue Lamali ( route de l'hôpital) au centre-ville de Tizi Ouzou et ont commencé à jeter des pierres en direction du siège de la police situé à proximité du rond-point principal. Quelques minutes après, les éléments des brigades antiémeutes ont pris place à l'entrée du siège de la police. Les services de sécurité ont riposté en lançant régulièrement des bombes lacrymogènes, mais ils ne sont pas parvenus à dissuader ces jeunes qui n'ont pas renoncé à leur action. Les affrontements se poursuivaient au moment où nous mettons sous presse. En un clin d'œil la ville des Genêts s'est vidée. Tous les commerçants ont baissé rideau précipitamment. Certaines familles qui sortaient de l'hôpital au moment des émeutes ont eu beaucoup de mal à quitter les lieux. C'est un miracle qu'elles n'aient pas été touchées par les divers projectiles. Déjà jeudi dans la soirée, des citoyens, jeunes pour la plupart, ont barré la route qui longe l'hôpital de Tizi Ouzou. Des pneus et autres objets ont été brûlés pendant toute la soirée. Hier matin, des rumeurs concernant une grève générale ont circulé à Tizi Ouzou.