Les affrontements entre jeunes émeutiers et éléments des brigades antiémeutes ont repris, hier, dimanche aux environs de 13h alors que dans la soirée de samedi à dimanche passé, un groupe s'en est pris au bureau de poste de la Nouvelle-Ville. Il était environ 22h quand la poste a été prise l'assaut par un groupe de jeunes surexcités. L'entrée principale a été saccagée. Une fois à l'intérieur, les manifestants ont été surpris de découvrir que tout le matériel qui s'y trouvait avait disparu. En effet, nous avons appris que le matériel de valeur, dont les micro-ordinateurs particulièrement ciblés par les émeutiers, se trouvant à l'intérieur des institutions publiques (postes, banques, caisses…) ont été déplacés vers des lieux sûrs. Trois jours après le début des escarmouches dans la ville de Tizi-Ouzou, il a été constaté que ce sont particulièrement les agences bancaires et postales qui constituent la cible préviligiée des émeutiers. Depuis le premier jour des affrontements, un groupe constitué d'une vingtaine de jeunes a tenté, à maintes reprises, de s'en prendre au siège principal de la Banque Nationale d'Algérie (BNA), situé au boulevard Abane-Ramdane. Mais les éléments des brigades antiémeutes veillaient au grain. Cette agence bancaire n'est pas seule puisque l'ensemble des banques de la ville de Tizi-Ouzou et celles de la Nouvelle-Ville ont bénéficié d'un dispositif sécuritaire particulier. On a appris qu'une cellule de crise a été créée au niveau de la wilaya. La mission de cette dernière est de prendre les mesures nécessaires pour gérer les incidents qui étaient, hier, à leur troisième jour. Les émeutes ont causé d'énormes désagréments aux citoyens de la wilaya qui ne savent plus à quel saint se vouer. Hier, la route nationale numéro 12 a été barrée par des émeutiers, ce qui a pénalisé les milliers d'automobilistes venus des daïras d'Azazga, Bouzeguène, Aïn El Hammam, Larbâa Nath Irathen, Azeffoun. Ces derniers ont été contraints d'effectuer un long détour en passant par Tala Atmane et Ouaguenoun. Un bouchon de plus de dix kilomètres s'est constitué au niveau du lieudit «Le pont de Bougie», à l'entrée nord-est de la ville de Tizi-Ouzou. Les citoyens, surtout les femmes et les personnes âgées qui se sont déplacées à Tizi-Ouzou hier, dimanche matin, ont vécu un vrai calvaire au commencement des émeutes à 13h. La majorité pensait que la vie allait suivre son cours normal mais en début d'après-midi, et en un clin d'œil, le boulevard Abane- Ramdane s'est vidé. Des affrontements ont opposé les émeutiers aux forces de l'ordre. Les affrontements entre jeunes émeutiers et éléments des brigades antiémeutes ont repris, hier, dimanche aux environs de 13h alors que dans la soirée de samedi à dimanche passé, un groupe s'en est pris au bureau de poste de la Nouvelle-Ville. Il était environ 22h quand la poste a été prise l'assaut par un groupe de jeunes surexcités. L'entrée principale a été saccagée. Une fois à l'intérieur, les manifestants ont été surpris de découvrir que tout le matériel qui s'y trouvait avait disparu. En effet, nous avons appris que le matériel de valeur, dont les micro-ordinateurs particulièrement ciblés par les émeutiers, se trouvant à l'intérieur des institutions publiques (postes, banques, caisses…) ont été déplacés vers des lieux sûrs. Trois jours après le début des escarmouches dans la ville de Tizi-Ouzou, il a été constaté que ce sont particulièrement les agences bancaires et postales qui constituent la cible préviligiée des émeutiers. Depuis le premier jour des affrontements, un groupe constitué d'une vingtaine de jeunes a tenté, à maintes reprises, de s'en prendre au siège principal de la Banque Nationale d'Algérie (BNA), situé au boulevard Abane-Ramdane. Mais les éléments des brigades antiémeutes veillaient au grain. Cette agence bancaire n'est pas seule puisque l'ensemble des banques de la ville de Tizi-Ouzou et celles de la Nouvelle-Ville ont bénéficié d'un dispositif sécuritaire particulier. On a appris qu'une cellule de crise a été créée au niveau de la wilaya. La mission de cette dernière est de prendre les mesures nécessaires pour gérer les incidents qui étaient, hier, à leur troisième jour. Les émeutes ont causé d'énormes désagréments aux citoyens de la wilaya qui ne savent plus à quel saint se vouer. Hier, la route nationale numéro 12 a été barrée par des émeutiers, ce qui a pénalisé les milliers d'automobilistes venus des daïras d'Azazga, Bouzeguène, Aïn El Hammam, Larbâa Nath Irathen, Azeffoun. Ces derniers ont été contraints d'effectuer un long détour en passant par Tala Atmane et Ouaguenoun. Un bouchon de plus de dix kilomètres s'est constitué au niveau du lieudit «Le pont de Bougie», à l'entrée nord-est de la ville de Tizi-Ouzou. Les citoyens, surtout les femmes et les personnes âgées qui se sont déplacées à Tizi-Ouzou hier, dimanche matin, ont vécu un vrai calvaire au commencement des émeutes à 13h. La majorité pensait que la vie allait suivre son cours normal mais en début d'après-midi, et en un clin d'œil, le boulevard Abane- Ramdane s'est vidé. Des affrontements ont opposé les émeutiers aux forces de l'ordre.