L'Algérie affiche une nette amélioration de ses principaux indicateurs macro-économiques pour 2011, soutenue par une aisance financière de 157 milliards de dollars de réserves de change. Celle-ci s'est traduite par une intensification de ses investissements publics, ont estimé jeudi des experts. Confirmant les perspectives de croissance du gouvernement, la Banque mondiale a indiqué dans sa dernière publication «Perspectives économiques mondiales 2011», que la croissance de l'Algérie augmentera au rythme de 4,1% en 2011 et en 2012 contre 2,4 % en 2010. La BM a souligné que l'Algérie est l'un des «très rares» pays dans la région du Moyen-Orient et Afrique du nord, à maintenir un ratio positif de sa balance des comptes courants par rapport au PIB qui restera positive à 6,2 % du PIB en 2011 et à 3,4 % en 2012 contre 4,6 % en 2010. Le rapport de la BM confirme ainsi la consolidation des principaux indicateurs macro-économiques et financiers de l'Algérie, projetée par la loi de finances 2011, qui table sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 4% et de 6% hors hydrocarbures. La performance positive de l'économie algérienne a été, pour rappel, également confirmée par le Fonds monétaire international (FMI), qui mise sur une poursuite de la croissance du PIB en 2011 avec un rythme relativement plus soutenu par rapport à l'année précédente. L'Algérie continue d'enregistrer de bons résultats économiques malgré un contexte international incertain, affirmait, dans ce sens, le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, lors de sa visite à Alger en novembre dernier. Ainsi, le Fonds table sur une croissance positive de 4% pour l'Algérie l'année prochaine, soit le même chiffre avancé par le gouvernement. La croissance reste néanmoins tirée principalement par les investissements publics, pour lesquels a été allouée une nouvelle enveloppe de 286 milliards de dollars sur cinq ans. L'Algérie affiche une nette amélioration de ses principaux indicateurs macro-économiques pour 2011, soutenue par une aisance financière de 157 milliards de dollars de réserves de change. Celle-ci s'est traduite par une intensification de ses investissements publics, ont estimé jeudi des experts. Confirmant les perspectives de croissance du gouvernement, la Banque mondiale a indiqué dans sa dernière publication «Perspectives économiques mondiales 2011», que la croissance de l'Algérie augmentera au rythme de 4,1% en 2011 et en 2012 contre 2,4 % en 2010. La BM a souligné que l'Algérie est l'un des «très rares» pays dans la région du Moyen-Orient et Afrique du nord, à maintenir un ratio positif de sa balance des comptes courants par rapport au PIB qui restera positive à 6,2 % du PIB en 2011 et à 3,4 % en 2012 contre 4,6 % en 2010. Le rapport de la BM confirme ainsi la consolidation des principaux indicateurs macro-économiques et financiers de l'Algérie, projetée par la loi de finances 2011, qui table sur une croissance du Produit intérieur brut (PIB) de 4% et de 6% hors hydrocarbures. La performance positive de l'économie algérienne a été, pour rappel, également confirmée par le Fonds monétaire international (FMI), qui mise sur une poursuite de la croissance du PIB en 2011 avec un rythme relativement plus soutenu par rapport à l'année précédente. L'Algérie continue d'enregistrer de bons résultats économiques malgré un contexte international incertain, affirmait, dans ce sens, le patron du FMI, Dominique Strauss-Kahn, lors de sa visite à Alger en novembre dernier. Ainsi, le Fonds table sur une croissance positive de 4% pour l'Algérie l'année prochaine, soit le même chiffre avancé par le gouvernement. La croissance reste néanmoins tirée principalement par les investissements publics, pour lesquels a été allouée une nouvelle enveloppe de 286 milliards de dollars sur cinq ans.