Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) maintient sa marche prévue ce matin à Alger, malgré le refus d'autorisation opposé par le ministère de l'Intérieur. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) maintient sa marche prévue ce matin à Alger, malgré le refus d'autorisation opposé par le ministère de l'Intérieur. Donc, de gros risques pèsent sur cette manifestation populaire à laquelle a appelé le parti de Saïd Sadi, qui veut briser l'interdiction de marcher sur la capitale décrétée depuis plusieurs années. Les pouvoirs public eux, ont opposé un niet catégorique à la requête du RCD. Pis, la wilaya d'Alger appelle les citoyens à la « sagesse et la vigilance » et à « ne pas répondre à d'éventuelles provocations ». Le RCD lui, a demandé auparavant à ses militants et autres marcheurs potentiels de se méfier de « l'intox et la désinformation », allant jusqu'à accuser un autre parti politique de fomenter un complot pour « parasiter » sa marche populaire. « Il est demandé aux citoyens de faire preuve de sagesse et de vigilance et de ne pas répondre à d'éventuelles provocations destinées à porter atteinte à leur tranquillité, leur quiétude et à leur sérénité », lit-on dans ce communiqué émanant de la wilaya d'Alger, qui rappelle que « les marches à Alger ne sont pas autorisées », et que « tout rassemblement sur la voie publique est considéré comme une atteinte à l'ordre public ». Le communiqué de la wilaya parle d'une manifestation initiée par « une association à caractère politique », sans citer le RCD, comme pour rappeler l'interdiction de marcher dans la capitale sur toutes les parties quelles qu'elles soient. Une association à caractère politique qui « porte un nom et s'appelle le Rassemblement pour la culture et la démocratie qui est un parti politique légal, dont les militants et les sympathisants ont payé, comme beaucoup d'Algériens, un lourd tribut pour voir nos concitoyens vivre dans la dignité dans leur pays », réplique de son côté le parti de Saïd Sadi. Ce dernier s'est fixé comme objectifs à travers la marche d'aujourd'hui, la libération des détenus arrêtés lors des dernières manifestations, la levée de l'état d'urgence, la restauration des libertés individuelles et collectives garanties par la Constitution et la dissolution de toutes les assemblées élues. Cependant, la marche risque de déraper et des affrontements entre les services de sécurité qui ne laisseront certainement pas les marcheurs d'organiser leur manifestation dans la capitale et les militants du RCD et autres sympathisants déterminés de briser le mot d'ordre d'interdiction imposé par les pouvoirs publics. Donc, de gros risques pèsent sur cette manifestation populaire à laquelle a appelé le parti de Saïd Sadi, qui veut briser l'interdiction de marcher sur la capitale décrétée depuis plusieurs années. Les pouvoirs public eux, ont opposé un niet catégorique à la requête du RCD. Pis, la wilaya d'Alger appelle les citoyens à la « sagesse et la vigilance » et à « ne pas répondre à d'éventuelles provocations ». Le RCD lui, a demandé auparavant à ses militants et autres marcheurs potentiels de se méfier de « l'intox et la désinformation », allant jusqu'à accuser un autre parti politique de fomenter un complot pour « parasiter » sa marche populaire. « Il est demandé aux citoyens de faire preuve de sagesse et de vigilance et de ne pas répondre à d'éventuelles provocations destinées à porter atteinte à leur tranquillité, leur quiétude et à leur sérénité », lit-on dans ce communiqué émanant de la wilaya d'Alger, qui rappelle que « les marches à Alger ne sont pas autorisées », et que « tout rassemblement sur la voie publique est considéré comme une atteinte à l'ordre public ». Le communiqué de la wilaya parle d'une manifestation initiée par « une association à caractère politique », sans citer le RCD, comme pour rappeler l'interdiction de marcher dans la capitale sur toutes les parties quelles qu'elles soient. Une association à caractère politique qui « porte un nom et s'appelle le Rassemblement pour la culture et la démocratie qui est un parti politique légal, dont les militants et les sympathisants ont payé, comme beaucoup d'Algériens, un lourd tribut pour voir nos concitoyens vivre dans la dignité dans leur pays », réplique de son côté le parti de Saïd Sadi. Ce dernier s'est fixé comme objectifs à travers la marche d'aujourd'hui, la libération des détenus arrêtés lors des dernières manifestations, la levée de l'état d'urgence, la restauration des libertés individuelles et collectives garanties par la Constitution et la dissolution de toutes les assemblées élues. Cependant, la marche risque de déraper et des affrontements entre les services de sécurité qui ne laisseront certainement pas les marcheurs d'organiser leur manifestation dans la capitale et les militants du RCD et autres sympathisants déterminés de briser le mot d'ordre d'interdiction imposé par les pouvoirs publics.