Le Premier ministre libanais, Saâd Hariri, chargé de gérer les affaires courantes du Liban après la chute de son gouvernement, a annoncé jeudi lors d'un discours à la Nation sa candidature à ce poste "en dépit des intimidations dans la rue ou ailleurs", ont rapporté des médias locaux. "Il y a un processus constitutionnel dont nous accepterons le résultat, quel qu'il soit, en dépit des intimidations dans la rue ou ailleurs", a annoncé M. Hariri lors de son discours retransmis en direct à la télévision d'Etat. "Nous participerons aux consultations parlementaires avec le président de la République lundi et je reste engagé à me porter candidat, conformément à la décision de mon groupe parlementaire", a-t-il ajouté, accusant ses adversaire de vouloir le "faire sortir de l'échiquier politique" et de l'"assassiner politiquement". Lors de son discours, M. Hariri a expliqué les développements de la situation dans son pays, en proie à une nouvelle crise politique après la chute de son gouvernement suite à la démission de ministres de l'opposition. Le Premier ministre libanais, Saâd Hariri, chargé de gérer les affaires courantes du Liban après la chute de son gouvernement, a annoncé jeudi lors d'un discours à la Nation sa candidature à ce poste "en dépit des intimidations dans la rue ou ailleurs", ont rapporté des médias locaux. "Il y a un processus constitutionnel dont nous accepterons le résultat, quel qu'il soit, en dépit des intimidations dans la rue ou ailleurs", a annoncé M. Hariri lors de son discours retransmis en direct à la télévision d'Etat. "Nous participerons aux consultations parlementaires avec le président de la République lundi et je reste engagé à me porter candidat, conformément à la décision de mon groupe parlementaire", a-t-il ajouté, accusant ses adversaire de vouloir le "faire sortir de l'échiquier politique" et de l'"assassiner politiquement". Lors de son discours, M. Hariri a expliqué les développements de la situation dans son pays, en proie à une nouvelle crise politique après la chute de son gouvernement suite à la démission de ministres de l'opposition.